L’inscription universitaire


Description

Il y a quelques semaines, je suis allée à l’Université de Toulouse Jean Jaurès pour la première fois. Pour y aller, on doit prendre le métro vers l’arrêt Mirail Université, et puis l’université est juste là. Une grande arche est à l’entrée, et en général, l’université est très moderne avec les bâtiments nouveaux — c’est très différé de Dickinson ! La première étape d’inscription est l’inscription administrative. Je suis allée au bureau des relations internationales pour leur donner un formulaire, et puis j’ai reçu ma carte étudiante. Après l’inscription administrative, j’ai créé mon emploi de temps. Ces processus sont très différés qu’aux États-Unis, parce qu’on doit aller dans chaque bâtiment académique pour trouver les emplois de temps pour chaque UFR sur les tableaux d’affichage. Après qu’on crée un emploi de temps soi-même, on doit aller aux plusieurs cours pour finaliser les choix et inscrire pédagogiquement pour être permis de suivre le cours.

Interpretation

J’ai discuté mes expériences avec mes hôtes, parce que pour moi, ces étapes étaient difficiles et pas très claires. Ils ont dit que c’est normal, et que c’est la méthode typique pour tous les étudiants français. De plus, ils comprennent que je suis un peu perdue à cause de mon perspectif américain, et pour me rassurer, ils disent que tout le monde a le même problème de moi et que même si ce n’est pas la méthode d’inscription normale pour moi, beaucoup des étudiants le font chaque année. Ils ne sont pas dits les raisons pour laquelle c’est la norme pour les universités françaises, parce qu’ils ne connaissent pas des autres systèmes. Je pense qu’une explication potentielle pour ce système de bureaucratie universitaire peut être le fait que tous les étudiants savent ce qu’ils étudient avant de commencer l’université, donc leur programme d’études peut être plus strict. Si tout le monde dans chaque UFR suivit les mêmes cours, ce système marche pour eux. L’idée de « Liberal arts » est illogique aux Français parce que leurs études ont plus de structure et moins de liberté. Avec cette perspective, l’université française semble plus logique – les étudiants n’ont pas besoin les choix de n’importe quelle matière, et ils suivent juste les cours dans leurs disciplines. Entre les UFR différentes, la méthode pour créer des emplois du temps est très variée, mais ce n’est pas un problème pour les Français à cause de la rigidité de leurs programmes académiques.

Evaluation

Pour moi, cette expérience était un peu frustrante et inefficace, mais je pense qu’elle m’a forcé de comprendre le système universitaire français de la perspective d’un étudiant. La connaissance directe des attitudes françaises envers l’éducation et l’administration d’une université me permet de mieux comprendre les valeurs culturelles. Dans mes cours universitaires à Dickinson, j’ai étudié les études supérieures en France, mais l’expérience réelle est beaucoup plus utile dans ma compréhension de mes études sur la France. Les cours commencent demain, et malgré le fait que Dickinson et sa philosophie de « Liberal arts » me manquent, j’ai hâte de découvrir un nouveau style d’éducation universitaire. Avec mes expériences premières les deux dernières semaines, j’ai la confiance dans moi-même, et je sais que je peux commencer à comprendre ce nouveau système plus impersonnel et bureaucratique.



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