L’exploration des espaces français : le ballet

October 22, 2017

Le Théâtre du Capitole

Description

On peut voir le sol noir d’une scène qui est cachée par un rideau rouge, un orchestre qui est en train de s’échauffe, et de couches de sièges en velours au Théâtre du Capitole. Le théâtre est en train de remplit de spectateurs qui sont là de voir Giselle, un ballet classique qui ouvre la saison du ballet au Théâtre du Capitole. Avant la performance, il y a spectateurs qui observent l’orchestre prépare, prennent de photos pour commémorer leurs expériences et lisent le programme ou bavardent avec d’autres. Le sentiment convivial est souligné avec de lumières dans chaque loge qui sont reflétées par la feuille d’or et les rideaux peints sur les murs. Le théâtre luxueux offre de spectateurs un cadre intime pour regarder une forme d’art extraordinaire. Même si le théâtre n’était pas plein entièrement pour un samedi soir, l’environnement était sympathique pour d’amateurs de ballet de tous âges.

 

Interprétation

Cette image représente deux idées : de soutien et de découverte. Du soutien parce que les spectateurs sont là pour montrer leur soutien pour des danseurs ou l’équipe créative du ballet, mais aussi pour aider les arts à Toulouse. De la découverte parce que pour quelques spectateurs peut-être c’est leur première expérience avec le ballet, mais pour tous ceux qui le voient c’est la possibilité de trouver et suivre l’histoire de Giselle. Avant la performance la salle de spectacle est bourdonnant avec d’enthousiasme et quand il commence il y a un silence qui est rempli rapidement avec la musique de l’orchestre. Après le grand rideau rouge est soulevé, le public est entraîné dans un autre monde. Par conséquent, les sens au théâtre bougent avec l’histoire et les émotions dans la musique et la danse, qui créent la joie, la peur et la tristesse.

 

Evaluation

J’étais ravie quand j’ai vu que le Théâtre du Capitole présentait Giselle, car il est le premier ballet que j’ai vu avec ma mère quand j’étais petite. Les espaces artistiques à Toulouse sont évidemment très différents que les espaces pour d’autres activités culturelles – comme le Stade Ernest Wallon où j’ai regardé le match de rugby. Pendant que même les arts et les sports offrent d’orgueil pour des Toulousains, chaque espace manifeste un public qui est entièrement et sans surprise diffère l’un l’autre. Bien que mon billet pour le ballet ait été dix euros, en comparaison avec le billet de rugby qui a été vingt-et-un euros, la salle de spectacle n’était pas remplie comme le stade. Peut-être que la raison est à cause de la pléthore d’évènements d’art qui sont libres ou remis pour les étudiants, et donc la jeunesse n’a pas besoin de ou envie d’être présent aux tous spectacles artistiques. Dans l’ensemble, les arts continuent de fournir un espace pour des Toulousains de se rendre compte d’art dans toutes ses formes.


La ville rose, la vie verte

October 18, 2017
Compostage

Compostage

Description

Cette photo montre un système public du compostage. C’était pris dans le jardin du Grand Rond à Toulouse. Le compostage est une méthode pour réduire le déchet inhérent dans la préparation de la nourriture ou l’aménagement paysager. À Toulouse, des composteurs sont installés dans le Jardin des Plantes, le Jardin du Grand-Rond et le Jardin Royal. J’aime beaucoup que la ville offre ces opportunités, comme chez moi et à l’université, je fais du compost.

 

Interprétation

« La ville rose est-elle verte ? » Ce n’est pas seulement une question que je me demande souvent, c’est aussi le nom d’un programme que Prof. Ngong a créé avec Dickinson. Nous l’avons discuté en brièvement en parlant de Toulouse et je pense que la réponse est très compliquée. Mes hôtes trouvent que le développent durable est important et ils choisissent souvent des options ‘vertes’ ou ‘bio’, même s’ils ne profitent pas de compostage public.

 

Les universités et la ville nous encouragent d’utiliser les vélos ; j’ai discuté avec un homme qui expliquait que (selon lui) c’est plus cher de posséder et utiliser une voiture ici qu’aux Etats-Unis, en addition d’être moins nécessaire. Quand j’ai demandé s’il trouvait les Français sensibilisés aux problèmes de l’environnement, il disait vigoureusement oui. Presque tout le monde aime me rappeler que les Etats-Unis ont déclaré l’intention d’abandonner les accords de Paris. (Oui, je sais !)

 

Evaluation

Les Français sont plus prêts à prendre les transports en commun ou de choisir l’agriculture biologique que les Américains, mais il y a des aspects de leur vie quotidienne qui ne correspond pas au but d’une vie plus durable. Fumer, c’est une habitude qui produit beaucoup de déchet ; en plus, souvent les fumeurs jettent leurs mégots sur le trottoir, pas dans un récipient.

Emporter son café devient de plus en plus acceptable, mais ici on ne voit que rarement les thermos. Apporter sa propre tasse, c’est connu aux Etats-Unis, mais pas encore ici !

Est-ce que Toulouse est verte ? Non, parce que toute les villes modernes ont un impact énorme sur l’environnement et le climat. Mais c’est vrai que Toulouse fait des efforts pour le minimiser ; en offrant des modes de transport et des initiatives pour ses citoyens. Cela donne un modèle pour les autres et offre des possibilités pour l’amélioration.


Anxiété et voitures

October 17, 2017

Description :

Cette photo montre une petite rue dans Toulouse proche de ma maison. Pour les Toulousaines, il n’y a rien de bizarre ou inquiétant sur cette photo. Mais à mon avis, comme une nouvelle habitante dans cette ville, quand j’ai vu cette rue, j’ai vu les possibilités d’avoir un accident de voiture. Ici, les rues sont très étroites et à cause de cette structure, les autres voitures ont besoin de conduire très proche d’une à l’autre. Ici, c’est normal d’avoir ce type de proximité en la rue et les conducteurs roule à toute vitesse sortir de leurs couloirs sans peur. En addition de cette proximité entre les voitures qui passe, sur la côte de la route, il y a des voitures qui sont garées assez proche à l’une de l’autre.

Comment un résultat de ces très petites étroites rues, la façon de conduire devait s’adapter en conséquence ? Apres, j’ai eu des expériences en voiture avec ma famille d‘accueil et regardé comment les autres Toulousaines, la façon de conduire que j’ai vu sur la route, les règles de la route ici en France sont très différentes de celle des États-Unis. Les voitures se dépassent très vite, et faire des manœuvres qui ressemblent plus aèdes autos tamponneuses ou même à Mario Kart. Alors, comment et pourquoi conduire si différent ici en France ?

Interprétation :

Selon à mes hôtes d’accueil, Toulouse est une ville très ancienne, de l’époque roman. Peut être la manière de conduire est à cause de la structure des rues anciennes en Toulouse. À Toulouse, les rues ne sont pas adaptées pour la quantité des voitures qu’il y a aujourd’hui.

Mes hôtes d’accueil m’ont expliqué que « Notamment, Toulouse était créé dans une époque romane ou il n’existe pas les voitures. Donc il n’y avait pas de raison d’avoir de plus grandes rues. Et quand finalement la voiture était inventée, les architectures essayent de construire à partir de la structure existante prenant en considération la possibilité de la croissance future de la population.» Ensuite, Toulouse est devenu une ville avec rues trop petite pour sus tenir la quantité de personnes maintenant. En résulte de ça, les voitures doit être plus petite pour naviguer dans les rues.

Cependant, même si les voitures sont plus petites ici en France, beaucoup de Français choisissent de faire du vélo ou de faire de la moto pour aller au leur travail. Mon hôte par exemple utilise une moto pour se rendre au matin, simplement parce qu’il est difficile de naviguer et de trouver un espace du parking ici à Toulouse.

Évaluation :

Contrairement à la France, les villes des États-Unis ont été créées plus tard. En plus d’avoir des grands espaces, il est plus facile de construire de plus grandes routes. Peut-être, la raison que la manière de conduire me choque beaucoup est parce que je me suis habitué d’avoir ces grandes routes. Pour moi, les voitures qui vont plus vite et qui conduisent assez près d’autres voitures me donnent un peu d’anxiété. Mais peut-être que j’ai seulement besoin plus de temps pour m’ajuster. Si autres Toulousaines peuvent prospérer dans une ville qui devrait avoir beaucoup plus d’accidents de la route sans peur, je le peux aussi. J’espère qu’à la fin de mon séjour ici, cette anxiété va diminuer et j’espère que je ne vais pas être écrasé par les voitures toulousai


Les militants

October 17, 2017

Cinéma Utopia à Tournefeuille

Description:

Samedi dernière je suis passée la moitié de ma journée à Tournefeuille, une ville très sympa et calme sud de Toulouse. J’ai pris le métro jusqu’à l’arrêt qui s’appelle les Arènes est après j’ai pris le bus 65 à l’abri du bus de l’église Tournefeuille. Je l’ai trouvé difficile de trouver le Cinéma Utopia parce que c’est un bâtiment caché parmi d’autres édifices bien connus dans le centre-ville. En somme, j’étais à Tournefeuille pour assister à la journée festive de migration organiser par Amnesty International avec cinq autres ONGs dont l’association où je fais mon service civique faisaient partie. Pendant cette journée intéressante j’ai entendu le mot “les militants” souvent.

Interprétation:

J’ai demandé de mon chef pourquoi beaucoup de personnes ont employé cette terminologie pendant la journée. Il m’a dit que c’était une manière à décrire les bénévolats. La plupart des participants d’événement étaient les bénévolats des ONGs comme Médecins du Monde, Médecins Sans Frontière, Amnesty International, Comité catholique contre la faim et pour la développement-Terre Solidaire, Réseau des Etudiants Toulousains en Soutien aux Exilés et Réfugiés, Fédération des Conseils de Parents d’Élèves – 31, et enfin le Réseau Education Sans Frontières. Selon mon chef, il m’a bien expliqué qu’on appelle les bénévolats les militant à cause du fait qu’ils sont passionnés d’un certain sujet, c’est la raison pour laquelle ils sont souvent décrits comme des militant parce qu’ils ont un trait caractéristique que les gens ont vu comme militant. En effet ils sont militants pour une cause.

Evaluation:

J’étais contente que mon chef m’a expliqué le sens du mot, parce que cela fait longtemps que je n’ai pas compris le sens du mot. J’ai su la définition du mot, mais je n’avais pas compris pourquoi le mot est utilisé dans le contexte des ONGs. L’usage du mot montre la mettre en application d’une partie de la divise française, la “solidarité”. Je trouve que la journée festive à Tournefeuille était un rassemblement pour la solidarité autour du sujet de la migration. En conclusion, j’étais une témoigne à la solidarité des Français pour les gens en situation de précarité ici en France et d’ailleurs.


Les différentes cultures universitaires françaises et américaines

October 17, 2017
Campus

Vue du campus

Description :

J’ai pris cette photo du campus de l’Université de Jean Jaurès d’une des fenêtres de la Bibliothèque Universitaire. Je m’étais installer pour finir quelques devoirs quand j’ai levé la tête pour voir cette vue panoramique du campus. C’était la première fois que j’apercevais le campus de cette perspective et je voulais prendre une photo pour garder le souvenir de ce campus récemment rénové. Depuis mon perchoir, j’ai pu observer le bâtiment « Érasme » des langues, littératures, et civilisations modernes. La photo nous permet aussi de voir « le Gymnase », le bâtiment « le Gai Savoir » des lettres, musique, et philosophie, et le bâtiment « Olympe de Gouges », qui abrite l’histoire, l’histoire de l’art, l’anthropologie, et l’archéologie. De plus, on peut aussi remarquer les vastes espaces verts et de détente pour les étudiants.

Interprétation :

Une analyse objective de cette image ne révèle pas énormément de différence entre les campus universitaires français et américain. Depuis que je suis à l’UT2J (l’Université Toulouse 2 Jean Jaurès), je me demande comment les étudiants français voient le rôle du campus universitaire. D’abord, le campus n’est pas nécessairement un lieu de sociabilité. Bien sûr, j’observe qu’il y a plusieurs élèves qui se parlent et qui participent à des activités ensemble sur le campus. Par contre, une étudiante en L3 à l’UT2J m’a expliqué que les étudiants français aiment bien retrouver leurs amis sur le campus universitaire s’ils ont des pauses a la même heure. Par contre, la majorité d’entre eux se retrouve en ville, a l’extérieur du campus. Si les étudiants français se fréquentent sur le campus universitaire, c’est parce qu’ils sont là pour une raison spécifique : leurs études.

Les espaces universitaires français sont créés avec cette idée en tête. Par exemple, la cafétéria universitaire est ouverte que pendant la pause du déjeuner et même si plusieurs étudiants mangent et discutent ensemble à la cafeteria, l’espace de la cafeteria n’a pas été conçu comme espace de socialisation constante entre les élèves. Un autre exemple est la bibliothèque universitaire (BU). J’étais étonner quand j’ai entendu aux haut-parleurs de la BU que la bibliothèque fermait à 19h30. Oui, la BU de l’UT2J est un bel espace où les étudiants peuvent faire de la recherche ou travailler ensemble, mais ses horaires sont centrés autour de la notion que la vie universitaire se termine quand les derniers cours de la journée se termine. Mais alors, où est-ce que les étudiants français font leurs devoirs ? Ceren et d’autres étudiants de l’UT2J m’ont informé que la majorité des élèves se rendent plus tôt à la bibliothèque universitaire pour passer la matinée à travailler, ils travaillaient depuis chez eux, ou ils fréquentent des salons de thé avec du Wi-Fi.

Évaluation :

Les campus universitaires américains sont pour la plupart des espaces à multi-usages. Ils sont à la fois des espaces conviviales, des espaces d’études, des lieux de recréations, et des espaces résidentiel. Non seulement est-ce que les campus universitaires américains ont plusieurs usages, ils sont aussi des espaces normalement ouverts aux étudiants vingt-quatre heures sur vingt-quatre et sept jour sur sept. En revanche, malgré le fait que les espaces universitaires français ont aussi plusieurs usages, la culture universitaire sur le campus est plus centrée sur les études et les cours, tandis que les espaces à l’extérieur du campus contribuent aussi beaucoup à la vie étudiante. Je ne prétends pas qu’un système est meilleur que l’autre. Je trouve que la notion du « campus life » américaine facilite les rencontres, les échanges d’idées dans chaque aspect de la vie étudiante, et renforce la notion d’une communauté liée à son université. Par contre, le système français reflète la culture d’indépendance et d’autodétermination des étudiants français. Les étudiants français suivent leurs cours, mais ils ont aussi l’opportunité de s’exprimer et de vivre dans plusieurs autres espaces.

 


Une conférence avec Benoît Hamon

October 17, 2017

Description

Ceci est une photo que j’ai prise à une conférence avec Benoît Hamon vendredi dernier. M. Hamon était le candidat du Parti socialiste pendant la dernière élection présidentielle, et a gagné seulement 6% du vote pendant le premier rang des élections. En juillet, il a quitté le Parti socialiste pour créer son propre mouvement. La conférence était dans un amphithéâtre à Sciences Po, plein avec près de 250 étudiants. Le thème de la conférence était « D’être de gauche aujourd’hui ». J’ai noté que personne ne portait des vêtements très formels, même M. Hamon, et que personne ne portait des t-shirts politiques, sauf un homme qui portait un t-shirt du slogan d’Obama.

Hamon a parlé pour près de 45 minutes, et puis il a répondu aux questions des étudiants. Pour moi, c’était étrange que les gens qui ont demandé les questions étaient très directe. Ils étaient plus ou moins polis, mais ce n’était pas comme je parlerais à Hillary Clinton, par exemple.

Interprétation

La nature de la conférence pourrait expliquer par rappeler les différences entre le système politique en France et le système politique aux États-Unis. J’ai l’impression que le pouvoir de l’exécutif en France a un sens plus personnel, parce qu’on vote directement pour le président.

La nature de la conférence était peut-être une conséquence de la nature de Sciences Po. Le système politique vient de Sciences Po parce que la plupart des gens politiques suivent les cours à Sciences Po. Il y a plus des connexions entre le système universitaire et les hommes politiques, donc c’est un événement moins formel. J’ai décidé de porter des vêtements un peu plus formels que les autres, parce que c’est meilleur d’être trop bien habillée que d’être mal habillée.

Tous les étudiants étaient très ravis d’être là, mais restent critiquant. Ils étaient à l’aise dans cet environnement. C’était comme un cours magistral, mais plus captivant. Par mon hôtesse, l’élection n’avait pas d’un candidat bon. Quand on peut avoir un favori entre les gens qu’on n’aime pas, c’est différent d’avoir un candidat qui parle à vos intérêts. Aux États-Unis, le système de deux partis forme une idée qu’il y a (en générale) le bon a une cote et le mal à l’autre cote.

Évaluation

C’était une expérience vraiment positive. J’ai appris beaucoup de gauche française. C’est toujours difficile pour moi de comprendre quelques éléments de la société française, et je crois que c’est parce que la société américaine est plus capitaliste que la société française. Après la conférence avec M. Hamon, c’était plus clair que les idées marxistes restent dans les valeurs économiques et sociales. Les intérêts qui sont plus forts surtout étaient les sujets qui parlent de l’économie, du travail, de la sécurité sociale. Il y a des valeurs de la politique et des hommes politiques qui sont vraiment différentes entre les États-Unis et la France.


En voyageant

October 17, 2017

Description:

Elle est nouvelle, innovante, pratique et pas cher. L’enterprise qui s’appelle BlaBlaCar est une méthode de transport apprécié par les voyageurs en France et Europe globalement. Pour une distance d’une heure ou plus en voiture, BlaBlaCar est pratique pour tous. On peut reserver une place dans une voiture d’une personne qui est déjà en cours à cet endroit. Cette application permet au conducteur et au voyageur de communiquer. En plus, on peut trouver un prix agréable et un rendez-vous approprié. C’est moins cher que le train et bien sûr l’avion, donc c’est très pratique à utiliser BlaBlaCar pour un voyage dans une ville voisine.

Interprétation:

Avant j’avais utilisé cette méthode de transport, j’en ai discuté avec mes hôtes. Au début, j’étais inquiète de dépendre d’une personne étrangère pour mes programmes de voyages. En outre, je n’ai jamais utilisé quelque chose qui est similaire à BlaBlaCar aux États-Unis. Cependant, mes hôtes m’ont dit que ça marche parce qu’on peut réviser les notes de chaque conducteur avant l’achat avec eux. Si un conducteur a beaucoup de mauvaises notes, il est recommandé d’éviter un voyage dans cette voiture. Toutefois, c’est rare d’avoir une mauvaise expérience. En plus, c’est un bon moyen de rencontrer une autre personne et de parler en français.

Évaluation:

Dans un monde avec de plus en plus de voyages partout, cette méthode de voyager est un soulagement pour le voyageur courant et son portefeuille. En général, un achat moins cher a un compromis. Par exemple, on peut acheter des chaussures qui sont moins cher, mais ils tombent en morceaux en raison de leur mauvaise qualité. Cependant, on peut avoir le beurre et l’argent du beurre. D’après mon expérience, il n’y a pas une meilleure option pour voyager sur une courte distance. Donc, j’ai trouvé que cette méthode de transport est une exception à la tendance de la valeur monétaire pendant mon séjour en France.


Le Consumérisme

October 17, 2017

Source: http://www.fdesouche.com/663279-toulouse-31-des-hordes-de-pilleurs-deboulent-dans-les-magasins

Description

       Voilà est une image des magasins de Toulouse. Les filles et les garçons de Toulouse portent habituellement les vêtements à la mode. Il y a des essentielles : les vestes en cuir, le rouge à lèvres, les marinières. Mais il y a aussi une culture forte de l’individualisme : les jeunes portent les singularités des magasins vintage, et ils mélangent uniquement et de façon créative les articles. Les symboles américains sont aussi à la mode, je trouve. Aux magasins rétro dans le quartier près de Carmes, il y a toujours une section pour les pulls avec les logos américains, qui sont généralement plus chers que les pulls quelconques.

Interprétation

En général, je trouve que les vêtements français sont inspirants et artistiques. Je perçois que les gens portent ce qu’ils pensent exprimer leurs personnalités et styles personnels. L’intégration des symboles dans l’expression des tendances est intéressante. Mais en mêmes temps, je me demande si les gens comprennent tous qu’ils portent. Dans le métro la semaine dernière, j’ai vu un garçon à la mode sur le quai opposite qui portait une veste avec beaucoup des écussons. Un des badges était un drapeau confédéré des États-Unis. J’étais un peu choqué de voir ce symbole ici en France, malgré que ce soit partout en Carlisle, Pennsylvanie. J’ai relaté l’expérience à mon hôtesse, qui m’a dit que, comme j’attendais, l’homme n’à pas comprendre probablement la signifiance du drapeau. J’espère vraiment que j’aurais pu parler avec l’homme pour lui demander. En réflexion, je me souvienne autres instances moins flagrant quand j’ai vu des symboles américains dans un contexte un peu inattendu. Une fille qui portait la chemise d’un scout américain, un pull de UMass au magasin vintage qui a coûté 40 euros, les chapeaux des Yankees partout…

Évaluation

L’industrie des vêtements est puissante, encore en France, ou l’attention des effets sur l’environnement est plus forte. Les magasins grands comme Zara, Pimkie et H&M sont partout, et très populaires. Je pense que c’est juste une façon de la vie aux grandes villes de voir plus de l’influence du consumérisme. C’est une tradition américaine, bien sûr, mais c’est aussi fort ici et partout le monde. Et la question de drapeau confédéré : si l’homme qui le portait était vraiment ignorant, je pense qu’il est une alerte pour les consommateurs de n’achètent pas les choses qu’ils ne comprennent pas. Juste comment les Américains portent les caractères asiatiques qu’ils ne peuvent pas traduire… Habituellement il manifeste des bêtises pas graves, mais quelquefois, comme avec le drapeau confédéré, l’ignorance manifeste avec une erreur offensante.


Le Marché Comme Microcosme de la Ville

October 17, 2017

Description :

Ce weekend, j’avais l’occasion de voyager avec un de mes copains de Grinnell, et sa sœur au département Pyrénées-Atlantiques, en particulier à la ville de Biarritz. Avant d’arriver, j’avais un itinéraire dans la tête qui était toute a fait typique des voyageurs à Biarritz : de passer le maximum quantité de temps à la plage possible. Mais lorsque la plage ne m’a pas du tout déçu, je suis ravi de dire que je crois que c’était en fait Les Halles de Biarritz, ou bien la marché, que j’ai apprécié le plus.

Interprétation :

Pour moi, le marché de Biarritz était tout d’abord un microcosme excellent des différentes cotes de la ville de Biarritz. Premièrement, est bien connue comme l’un des meilleures destinations touristiques en France, et avec bonne raison. Lorsque nous avons visité le Samedi Matin, ce n’était pas très difficile de constater qu’on était quelques un parmi presque des centaines de touristes. Deuxièmement, le marché nous avons donné l’opportunité de voire, et bien sûr de gouter, quelques spécialités basques. Moi j’ai surtout aime le fromage de brebis au lait cru, et un verre de « sagarno », qui est un vin de pomme. Mais enfin mon interprétation sera encore incomplète sans partager cette constatation qui est très simple mais pour moi très intéressant : Biarritz est une ville incroyablement et indéniablement française.

Réaction :

Pour élaborer, Biarritz était pour moi un excellent exemple d’une diffèrent manière de la « mission civilisatrice » en France. Lorsque Biarritz a une cote qui est surtout Basque, c’est en construisant la corniche et les Halles, en construisant l’Hôtel du Palais dans le 19eme siècle et en fournissant la ville de Biarritz avec des milliers de vacanciers chaque année qu’aux longs de quelques siècles, c’est devenu vraiment une ville française. Enfin c’est grâce à cette intégration économique, qu’on voie dérouler a chaque matin au marché, qui est responsable de l’intégration plutôt harmonieuse d’un notre région avec une culture minoritaire en France.


Le Musee Paul Dupuy

October 17, 2017

Je vous montre une photo qui s’appelle Toulousaine #8. C’est une photo prise par une photographe qui s’appelle Diana Lui. Cette photo est montrée au Musée Paul Dupuy à Toulouse dans une exposition qui s’appelle Résidence 1+2. Diana Liu est française, mais elle a de l’origine marocaine. Généralement, elle prend les photos des femmes comme elle, les femmes qui habitent en France, mais ont des origines étrangères. Samedi, je suis allé au Musée Paul Dupuy pour le vernissage d’exposition. Au vernissage, il y avait plein du monde avec des origines et des âges très différents et tout le monde a fait une dégustation de vin aussi dans la cour du musée.

Pour moi, c’est la meilleure photo de l’exposition. J’aime bien les couleurs de jaune et de violette dans cette photo. Ça montre une juxtaposition dans le vernissage parce que l’autre partie du vernissage a les photos toute en Noires et blanches. Donc c’est très étonnant de voir une photo en couleur après seulement le noir et le blanc. J’ai noté que dans l’exposition il y avait une lumière qui a souligné les couleurs sur la robe de la femme. À l’exposition j’ai parlé avec un curateur du musée. Il m’a expliqué que l’exposition montre comment Toulouse interagie avec le reste du monde, comment on peut trouver notre propre place dans le monde. Après visiter le Musée je me suis connecté à Internet et j’ai trouvé que l’exposition de la Résidence 1+2 était au Musée des Abattoirs l’année dernière.

Je pense que cette exposition reflète l’esprit de Toulouse. Comme l’exposition, la ville de Toulouse est vraiment internationale. Il y a des gens qui viennent des endroits très différents grâce aux universités et industries. À Science-Po, par exemple, on a beaucoup d’étudiants en échange avec des programmes comme MONDUS et Airbus est une entreprise globale, qui travaille dans tout le monde.