Quand même nous sommes tous fliqués

Tic tac tic tac

Tic flaq tic flaq

Fliq Flaq Fliq Flaq

Fliq fliq fliq fliq

fliq fliq fliq fliq…

fliq-er fliq-er fliq-er fliq-er…

Comme une horloge se fait tic tac

 

Description:

Quand je pense à ce que j’ai vu près de la place Capitol devant la côte du Zara au coin de la Rue Lafayette j’entends une horloge qui se fait tic-tac dans ma tête. J’entends << fliq flaq fliq flaq >> un son qui commence à me “fliquer”. L’histoire que nos yeux, nous les piétons, avons témoignés et que l’homme, l’être humain qui – de qui son humanité était en question et pire menacé à travers la manière dont le policier lui a crié dans la rue – nous a tous “fliqués”. Mes yeux ont pris conscient d’une histoire tragique de deux hommes qui ont appris à faire du terrain francais et surtout toulousain.

Plus précisément, j’ai vu un policier qui a arrêté un homme d’origine, qui me semble, Maghreb. J’ai vu l’homme qui a été arrêté en train de supplier le policier à lui parler comme un être humain. Il a dit “ s’il vous plaît Monsieur…. nous sommes tous des Français…. pourquoi vous me parlez comme ça?…s’il vous plaît un petit peu de respect….” Ainsi que j’ai passé dernier l’homme arrêté tout de suite j’ai entendu le policier dit “… Ta gueule ! …” Je me suis tourné mon dos en train d’observer les visages des passants dans la Rue Lafayette qui ont aussi vécu cet expérience avec moi. À partir de cette instant j’ai bien compris que nous sommes tous “fliqués” par les policiers.

 

Interpretation:

Ils nous “fliquent”

On essaie d’avoir le contrôle de nos vies

Mais quand même nos actions sont “fliquées” par eux

Une institution qui nous “flique” – nos comportements

Qu’ils soient dans le cadre de celle que l’État français prononce comme un bon citoyen français

Le mot ‘bon’ égale à civiliser

Et si on n’est pas considéré civiliser

Donc cela produise des différends types d’histoires

 

La prose qui se trouve ci-dessus est mon avis des policiers. J’ai partagé mes avis avec une amie qui a passé plus que cinq ans en France, donc elle a bien saisi les cultures françaises et surtout une vie quotidienne française. Après la première explication de ce que j’ai vu et mes sentiments par rapport à ce que tout mon être a vit elle m’a dit qu’elle n’a pas compris. Comme habitude je me suis répétée mes pensées sur le fait avec les explications de chacun de mes impressions et plus de détails sur mes thèses; heureusement, je pense à un moment elle m’a compris. Mais comme mes jugements, à mon avis, sont nouvelles à elle, elle n’avait pas les mots à me reprendre. Elle m’a dit qu’elle a compris mes sentiments, mais en même temps j’ai vu dans son comportement qu’elle avait un air flou. Pour être sûr que j’ai bien interprété mes idées, je lui ai demandé encore ce qu’elle m’avait dit le jour où on s’est parlé et elle m’a dit que “j’avais l’impression que tu pensais que ça n’arrivait pas en France.” J’ai pensé plutôt que cela ne va pas arriver pendant mes séjours à Toulouse, je me suis dit quelle est la probabilité que je vois quelqu’un a été arrêté ? Ce que j’appréciais de comment elle a réagi aux choses j’ai exprimé c’était que ses oreilles étaient à mon écoute et qu’elle sympathisait avec l’homme qui a été arrêté et la mauvaise manière dont le policier l’a traité. Si je me souviens bien on a terminé notre conversation sur cette histoire   

Evaluation:

Un homme qui donne l’impression qu’il a plus d’humanité que l’homme il a saisi dans la pouvoir de ses paroles – quand il a publiquement pris la porte parole à lui en disant qu’il travaille. Il est un gardien de la paix ou un flic? Ou est-ce que l’activité de “fliquer” les personnes dans les contextes sociales et mentales font partir de la description d’un policier?



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