L’exploration des espaces français : Le métro

Le métro

 

Description

On peut voir un jour typique de la ligne B du métro – des passagers, des chaises (même vacantes et prises), des éléments qui donnent au métro son apparence (la couleur des murs et le motif et la couleur des coussins et du sol). Au centre, il y a deux figures qui sont visibles dans le reflet de la vitre (une femme et moi-même). Près de la fenêtre, il y a un rappel pour comment utiliser correctement les strapontins et au-dessus on peut voir l’appel d’urgence. À gauche, on peut voir les jambes, les baskets et le sac à dos d’un jeune homme, tandis qu’à droit, une vieille femme tient une barre d’acier. Les gens se lèvent ou s’asseyent, chaque dans leur propre monde. Il y a un effort de jamais faire attention aux autres passagers, avec des personnes qui écoutent de la musique avec des écouteurs, pendant que des autres évitent du contact visuel. Donc même si cette photo manque l’interaction entre les voyageurs, il existe une communication silencieuse entre eux.

 

Interprétation

Typique, froid, rien de spécial – ces mots décrient mon expérience dans le métro parce que chaque jour est la même. Par conséquent, une explication pour cette photo est à cause de la standardisation du trajet. Bien que le métro soit littéralement chaud, le trajet est sans intérêt et donc il devient froid dans un sens émotif. Le métro est un endroit du mouvement : les gens dans chaque tram sont fugaces et ils se concentrent sur leur destination plutôt que leur moment dans le métro. Puisque chaque personne est dans leur-propre esprit, c’est difficile de faciliter une connexion humaine qui renforce le sens de froid. Malgré que je n’aime pas la standardisation de mes voyages dans le métro, je suis coupable de faire la même chose parce que j’essaie d’imiter l’esprit d’autres passagers.

 

Elaboration

Puisque je suis en train de faire une étude des espaces communs en France, je crois que le métro est un parfait exemple d’un endroit qui est plein de contradictions. J’apprécie toujours mes voyages dans le métro, bien qu’ils manquent la connexion humaine. Même si le tram est rempli avec les gens de toutes religions, origines, et âges, il existe une compréhension universelle que le trajet est un autre moment dans le jour pour réfléchir. Tandis qu’il y a des moments où le métro est vivant (le samedi soir par exemple), il reste la sainteté de la compréhension entre les passagers : parlerait avec vos amis, ignorerait les autres, concentrerait sur votre destination. Il y a une juxtaposition entre la communauté-centrique mode de vie en France et les interactions dans les espaces communs, qui permettent la notion de l’individualisme bien que l’espace soit partagé physiquement.



One Response to “L’exploration des espaces français : Le métro”

  1.   jlebowitz Says:

    J’aime beaucoup ce poste, Emma. Je pense que c’est un peu ironique qu’un endroit bondé comme le métro n’est pas amical. Il y a de nombreuses personnes, mais personne n’engage avec des autres. Ton post m’intéresse aussi, car on décrit la vie quotidienne ici qui n’est pas trop différente que celle aux Etas Unis. A New York, le métro est similaire et il y a aussi un sentiment froid et isolé.

    -Josh

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