La bande dessinée française

BD Fnac

Bandes dessinées à la Fnac

Description : Ceci est une photo qui montre à peu près un cinquième de l’assortiment de bandes dessinées (BD) à la Fnac de Toulouse à Jean Jaurès. La section des bandes dessinés s’étale à travers plusieurs étagères et l’espace est recouvert de petites tables d’exposition qui promu les nouveautés ainsi que les choix favoris du personnel de la Fnac. Les couleurs et titres des albums fondent ensemble pour crée un royaume bande dessinées apparemment interminable. Chaque BD est organisée à sa place avec soin – on peut trouver une BD par son auteur, son genre, son titre, où même son style artistique. Certains enfants se précipitent vers les albums pour jeunes plus connus comme « Les Schtroumpfs » ou « Kid Paddle », tandis que d’autres adultes découvrent une BD au titre plus inconnu dans un coin. Je me suis senti obligé de prendre cette photo car pour moi, la relation entre la France et ses bandes dessinées est vraiment unique.

Interprétation : Mais d’où vient ce lien culturel qui est tellement fort que l’on peut trouver le nouvel album « Astérix » dans n’importe quel supermarché ou station essence ? D’après mes discussions avec d’autres français, on ne sait pas vraiment mais on ne s’en plaint pas ! Plutôt, les français m’ont parler du rôle de la BD dans le quotidien de la culture française. Par exemple, mon hôtesse m’a parlée d’une bande dessinée récente qui avait été présenté à la station de radio « France Culture » et avait été créé d’après l’œuvre d’Albert Camus, « l’Hôte ». Un autre exemple s’est présenté quand l’assistante du Centre Dickinson m’a parlé d’une exposition à Paris qui se concentrer sur le rôle de la bande dessinées dans la représentation de la culture juive. Pour certaine famille comme la mienne, la lecture de la bande dessinées est presque une tradition qui est transmise de génération en génération. Les blagues où certaines citations des bandes dessinées s’ancrent dans les expressions familiale (comme une des plusieurs citations culte « d’Astérix » : « nous n’avons peur que d’une chose : que le ciel nous tombe sur la tête »). De plus, la bande dessinées française peut-être apprécier comme une œuvre d’art dans certains cas. Elle s’exprime de plusieurs manières dans la culture française et ceci pourrait peut-être aider à expliquer son succès continu.

Évaluation : La bande dessinée américaine commence tout juste à se rattraper à la BD franco-belge. L’américain Richard McGuire a gagné le Fauve d’or, le prix du meilleur album au Festival d’Angoulême, en 2016. De plus, je trouve que la perception des américains de la bande évolue depuis la fin des années 1980. La bande dessinée américaine n’est plus seulement lié au « comics », qui ne sont que composé de quelques planches afin de rapidement accentuer un gag. Maintenant, on peut trouver des distinctions entres les termes « graphic novel », « graphic narrative », et « comic » que l’on ne trouvait pas avant. Malgré cette évolution importante, je ne pense pas que la bande dessinée est traitée avec autant de respect aux États-Unis. On voit toujours les « comics » comme étant enfantin et simple. De plus, il est rare de rentré dans une libraire américaine qui offre une sélection aussi variée de BDs que les librairies françaises. Les deux cultures ont une interpretation variée de la bande dessinée qui je pense continuera de se développer avec le temps.

 



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