Le Déclin

Description

La semaine dernière j’ai reçu une mauvaise note dans une de mes cours. Bien sûr, je n’étais pas du tout contente et j’ai passé une journée tristement. Mais, en fait ce n’était pas la note qui m’a déprimé, c’était vraiment l’expérience de la distribution. C’était comme ça : le temps était gris, il y avait du tonnerre et d’éclair en dehors… Mon professeur a brandi ma rédaction, et elle a demandé à toute classe si personne ne me connaît. Évidemment elle avait oublié mon nom. Elle a ondulé ma composition en l’air devant tout le monde, ma note en stylo rouge et au centre. Quelle horreur, j’ai rougi violemment! Je me suis dénoncée que c’était la mienne, et j’ai commencé mon marché de honte au bureau de mon prof. Arrivant en face de mon prof, j’ai bégayé mon nom, et elle m’a donné ma composition. Elle m’a informé de ton sec que je vais reprendre l’examen la semaine prochaine. Un coup de tonnerre. Je suis sortie en chaloupent, très pitoyablement, je pense.

Interprétation

Je n’ai jamais reçu une note dans ce manier. C’était vachement choquent d’avoir tous mes défauts défilé devant mes collègues, et en fait j’ai passé un moment plaisante de m’apitoyer sur mon sort. Après j’ai traversé les étapes du chagrin, j’étais revigoré et je me suis souvienne que c’était seulement une note, et de plus, j’ai la possibilité de le reprendre la semaine prochaine. Mais cet épisode m’a causé de réfléchir beaucoup de relations entre les professeurs et étudiants en France. Je trouve qu’il y a une barrière entre les deux ici. L’écart de respect formel est plus grand ici, et il y a plus de rituels qui indiquent et garde le respect des étudiants pour leurs professeurs. Les étudiants toujours attendre à l’extérieure de la porte pour le professeur d’indiquer qu’elle est prête, ils frappent dans les mains après les cours, ils adressent toujours le professeur vachement respectueusement avec « vous », bien sûr, et un milieu des autres petites rituelles.

Explication

Je ne pense pas que les professeurs américaines traitent leurs étudiants comme des enfants. Bof, ok, peut-être un peu… Mais c’est plus compliqué que simplement cela. L’échange des idées entre les deux est plus ouvert à mon avis. Les professeurs américains (basé sur mes expériences à Dickinson – alors c’est possible seulement que j’ai de la chance avec l’université) pensent des étudiants sont des gens avec idées originales. Nous avons des connaissances inexploitées. A Sciences Po, le but des cours est simplement de partager de l’information. C’est un maniéré beaucoup plus directe. Le rôle des étudiants est d’absorber le plus de faits que possible. C’est un rôle isolant, à mon avis, et possiblement c’est facile pour les professeurs d’oublier que les étudiants sont des fleurs uniques et fragiles quelquefois… En fait, je vais survivre, mais je comprends un peu plus maintenant la rigueur des écoles françaises, et comment la relation entre étudiant et professeur faire fonctionner ici. C’est peut-être pourquoi il y a des liens plus forts entre les étudiants ici ! Avant je n’ai pas compris complètement le code civil, mais maintenant je vais me préparer.



One Response to “Le Déclin”

  1.   stutzmae Says:

    Tout d’abord, je suis désolé que tu aies eu une expérience comme ça. Il semble terrifiant. Cependant, je suis encouragé que tu as trouvé que l’expérience être une expérience apprentissage. Je suis d’accord que le système d’ici est très différent. J’ai reçu ma note de peinture dans une liste que mon professeur a dite à toute la classe. C’était un peu terrifiant bien sûr, parce qu’en général, les notes aux États-Unis sont gardées privées. Je pense que votre évaluation était fascinante et vraie. Les cours doivent être un dialogue et pas juste une méthode passer des informations d’un professeur à un étudiant. Est-ce que tu penses que c’est le cas seulement à DIckinson ou à toutes les universités américaines ? Peut-être, tu peux parler avec ton professeur afin de comprendre comment faire meilleure ? Bon courage !

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