Un Calendrier des Pompiers et le Respect du Travail

Ce soir, en mangeant le dîner avec mon famille d’accueil, il y avait quelqu’un à la porte.

C’est très rare chez nous qu’il y aura quelqu’un à la porte que ni moi, ni Muriel ni Luis n’attendais. Et pourtant, quand mon hôtesse m’a expliqué que c’était les pompiers qui venaient pour collecter de l’argent, je savais que mon sujet de journal changera. Pour l’instant, je ne peux pas confirmer que ce qui m’as arrivée, car mes recherches à trouver des autres organisations des pompiers ont trouvés pour l’instant aucune description d’événements similaires. Heureusement, mon famille d’accueil insiste que les éboueurs, les premiers répondants, et les conducteurs d’ambulance le font aussi !

Avec aucun raison de douter mon famille d’accueil, l’interaction qui venait de se passer devant moi m’a fait beaucoup pensé aux différences entre les relations des citoyens et les services publique de l’état ici en France. Jusqu’au moment, un des plus large contraste entre la France et les Etats-Unis est entre les rapports des citoyens et des soldats. Aux Etats-Unis, on entend souvent qu’il faut « soutenir les troupes », lorsque en France- pays militaire majeure de l’Europe Continentale, – l’armée n’est pas exactement loué par la population générale. Par contre, en ouvrant les yeux un peu aux signes dans la société Française, on peut bien constater encore une révérence pour les professions des classes populaire qui n’existe plus au courant dominant de la culture Américaine. Ce n’est pas qu’un seul exemple. Ça se voie en descendant du bus ou on remercie le conducteur, ou parmi les concurrences du MOF « Meilleur ouvrier en France », ou en mon cas ce soir, la décision d’acheter le calendrier des pompiers.

Quoi, enfin, pourrait ces petites anecdotes culturelles me faire apprendre sur la société française ? Encore une fois, les actualités économiques influencent la vie culturelle de nos sociétés. Pourtant qu’aux Etats-Unis on aimerait bien que la prochaine génération devient des petits Steve Jobs ou Mark Zuckerberg, en France on redonne une certaine dignité a des carrières des ouvriers avec qui on interagi tous les jours. Cela n’est pas pour dire qu’il n’y a pas de pompiers aux Etats-Unis, ni d’entreprises d’informatique ici en France. C’est plutôt pour mettre une emphase sur la manière dont on discute les choix professionnels, et que peut être la vie quotidienne aux Etats-Unis serai un peu mieux si les gens qui cherche à soutenir notre société, pas à le « perturber », était valorisé aussi.



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