Rattraper, c’est trop!

Observation:

Depuis mon arrivée en France, j’ai noté que les Français sont très particuliers avec les rattrapages. Quand un prof rate le cours, ou si quelqu’un rate un atelier de loisir, on souligne l’importance de le rattraper aussi vite que possible. Dans mon cours de littérature, un jour la prof nous a libéré 30 minutes en avance et puis la prochaine fois que nous étions au cours, elle a été pressée pour trouver 30 minutes, après le cours ou un autre jour, pour rattraper ! De plus, à mon projet de bénévolat, deux enfants avaient raté un atelier du coup Sophie les a gardés deux heures de plus ce jour-là pour rattraper. De mes amis français, j’entends les histoires des cours rattrapés samedi matin, ce qui me semble horrible! Aux États-Unis, personne n’est préoccupé par les rattrapages, surtout pour les loisirs comme un atelier d’art. Si un prof rate un cours, c’est annulé et c’est fini. On n’essaie pas à le rattraper un autre jour. Pourquoi est-ce que les Français sont très préoccupés par les rattrapages ?

 

Interprétation:

Tous les deux, les universités et l’Art’chéo sont réglementés par l’état et la mairie de Toulouse alors les heures d’engagement sont peut-être importantes. À l’institut Catholique, les heures d’un cours sont l’aspect le plus significatif pour l’étudiant. On voit une force donnée aux heures plutôt que la difficulté des devoirs, car ils sont rangées par rapport aux nombres d’heures. En effet, on veut vraiment profiter d’un cours ou d’un atelier et le gouvernement français considère les heures qu’on fait quelque chose l’aspect le plus profitant. Donc, il est probable que les rattrapages fassent partie de cette idéologie de l’importance des heures indiquées par l’état. En outre, j’en ai demandé à un ami universitaire qui m’a expliqué que les Français veulent vraiment profiter au maximum de la vie donc les rattrapages sont importants. Ils permettent quelqu’un de profiter bien d’un cours ou un loisir afin de gagner le maximum.

 

Evaluation:

A mon avis, je trouve tous les rattrapages pénibles. Si on rate, on rate et c’est fini. Je suis d’accord que les heures de pratique sont très importantes afin d’avancer dans tel un tel sujet, mais il y a un moment où ce n’est pas la peine. Cela dit, il est intéressant de comparer les État-Unis et La France à propos de ce sujet. À l’université américaine, les étudiants sont considérés plutôt comme les adultes avec une responsabilité pour leur apprentissage. Il est évident dans les cours et les attitudes des profs envers les sujets des cours et les devoirs. En France, j’ai l’impression que les étudiants sont considérés plus comme lycéens avancé, ce qui est peut-être vrai mais dissemblable aux États-Unis. La structure des cours universitaires français est très rigide et modérée à ce que le prof préfère. Ce manque de responsabilité par rapport à l’apprentissage par l’étudiant me semble la force de l’importance sur les rattrapages. Les étudiants sont dépendants de l’état pour les enseigner grâce au système de Socialisme et de dépendance au gouvernement tandis qu’aux États-Unis, l’esprit de responsabilité et d’avancer soi-même est très fortement présent. Par ailleurs, cette différence d’esprit culturel nous conduit vers deux chemins distincts à propos de l’état et l’éducation et comment ils se manifestent dans les rattrapages quotidiens. 

 

Note final : 15,5



Leave a Reply