Scooters en France

November 25, 2018

Description

J’ai pris cette photo le dix-huit novembre quand je suis allée au marché de Saint-Aubin avec mon hôte, Jean-Philippe. Nous sommes allés par scooter et c’était la première fois que j’ai monté sur son scooter. Nous avons besoin de porter des gants et des casques. Jean-Philippe m’a dit que c’est illégal en France de ne pas porter des gants quand on est sur un scooter. J’ai demandé pourquoi et il m’a répondu que si on tombe et a un accident c’est pour protéger les mains. Après, j’ai demandé s’il avait déjà eu un accident et il m’a répondu oui une fois, avec sa fille Léna mais personne n’était blessé. Il m’a décrit l’accident et comment le conducteur d’une voiture garée a ouvert sa porte et le scooter a frappé la porte et est tombé. Après écoutant cette histoire j’étais un peu moins à l’aise qu’avant, mais en fin de compte je me sentais en sécurité et lui faisais confiance

Interprétation

Je trouve que les scooters sont très populaires en France et en Europe en général. On peut voir les scooters dans la rue chaque jour et quand j’ai parlé avec mes hôtes, ils m’ont dit que toutes leurs amies ont des scooters. Ils m’ont expliqué que les scooters sont assez populaires parce que le prix de l’essence pour un scooter est beaucoup moins chère que pour une voiture.

Il y a même des services de partage de scooter partout en Europe. Il a commencé avec des services pour les petits scooters électriques comme Lime et Bird, mais maintenant il y a des services qui ont de grands scooters comme Yugo et Scoot. Encore, ces services rendent le transport plus accessible et aussi moins chère.

Avec l’augmentation des scooters en Europe, je n’avais pas entendu parlé des accidents. Le manque de dispositifs de sécurité pour les scooters m’effraie un peu.

Evaluation

Je trouve que l’augmentation des scooters en Europe est pour la plupart une chose très positive parce qu’il permit plus de gens d’avoir un moyen de transport qui n’est pas chère. Mais je trouvais sur l’internet qu’il y a beaucoup d’accidents chaque année. Je pense que le manque de sécurité reflète les valeurs de la société française, surtout dans l’alimentation. Les Français continuent de ne pasteurise pas leur fromage tandis que c’est interdit de faire cela aux États- Unis. Je trouve que les Français donnent la priorité de la qualité de vie sur la sécurité de la vie. Je trouve qu’ils prennent plus de risques.

Note finale : 16

 


LES CAHIERS D’ESTHER

November 20, 2018

 

J’ai eu le plaisir de lire Les cahiers d’Esther: Histoires de mes 10 ans, une bande dessinée sur la vie et les expériences d’une fille de 10 ans. Esther vit dans le 17ème arrondissement de Paris avec sa mère, son père et son grand frère. Dans ce livre, l’auteur illustre les histoires que lui raconte une jeune fille de manière authentique et réaliste. Lire cette livre était très nostalgique pour moi et m’a rappelé à quel point il était merveilleux d’être un enfant. À l’âge de 10 ans, nous sommes assez vieux pour être initiés à des sujets adultes et complexes, mais pas encore assez mûrs pour les comprendre complètement. Esther explore les thèmes de l’amitié, de la musique, des films de Disney, des secrets, mais aussi de sujets plus lourds tels que le terrorisme, le racisme, le divorce et le suicide. Cela me rappelle de mes propres expériences en découvrant les aspects positifs et négatifs du monde. Bien que ses analyses sur ces sujets soient plutôt superficielles, il est amusant de penser à une période plus simple de la vie.

Cette bande dessinée est également unique pour moi car elle explore ces sujets d’une perspective français. Elle explore les différences entre les écoles publiques et privées, soulignant même de manière subtile les problèmes de sécurité et d’inégalité des revenus. Elle se souvient des attaques de Charlie Hebdo mais n’a pas vraiment compris la signification de l’événement. Au lieu d’être extrêmement craintive ou anxieuse, elle s’est plutôt concentrée sur le conflit qu’elle avait avec son meilleur ami pendant ce temps. Cela est similaire pour de nombreux sujets du livre. Ses récits donnent un aperçu de la vie d’une enfant qui grandit en France, mais je pense qu’elle est trop jeune pour avoir pleinement formé une identité culturelle. Elle apprécie les chansons, les films et les traditions françaises, mais est toujours influencée par Beyoncé et de nombreuses traditions américaines qui se sont mondialisées.

La valeur de ce livre est de montrer à quoi ressemble une enfance plus moderne. Elle parle des sujets qui n’étaient pas courants il y a 20 ans et permet aux adultes de comprendre la perception du monde du point de vue d’un enfant de 10 ans. Bien que certains aspects du livre ont exploré des sujets français avec lesquels je ne suis pas familier, ils sont suffisamment banale pour comprendre de nombreuses situations dans lesquelles elle s’est retrouvée.

Note finale : 16, Bonne exploration de la vie d’Esther et la forme du BD.


La richesse du pélican

November 20, 2018

« Pourquoi les riches sont-ils de plus en plus riches et les pauvres de plus en plus pauvres? » Par Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon est dans un format que je n’ai jamais vu avant. La BD utilise un mélange des dessins et des textes plus longs pour parler des sujets comme l’inégalité, la lutte des classes, et la transmission de la richesse entre les générations. Les deux auteurs sont les sociologues et comme étudiante en sociologie moi-même, j’ai déjà lu beaucoup de textes sociologiques mais jamais avec ce format de présentation. Je pense que le livre essaie d’expliquer les concepts compliqués sur l’inégalité économique en France, et la plupart des dessins sont là pour élucider et souligner les idées d’une manière facile à comprendre. Par exemple, il y avait les piles des pièces qui représentent le revenu de la classe dirigeante et un dessin d’un super-héros fictif qui s’appelle « la super riche » avec tous les éléments de son costume qui représentent « les relations sociales », « l’argent », « la richesse », et « la culture ».

Pour moi, c’était la première fois de voir ce contraste entre un sujet assez sérieux avec les dessins assez simples — même que j’ai déjà vu les dessins satiriques dans les journaux américains, cette bande dessinée est l’utilisation la plus en profondeur d’illustrations avec le contenu sociologique. Un métaphore très forte dans la BD est celle du pélican. Avec un poème et un dessin des pélicans qui sont assis l’un sur l’autre, les auteurs donnent les commentaires sur la transmission de la richesse et des inégalités entre les générations. Le poème parle de la naissance successive des pélicans comme une métaphore et dit que « cela peut durer pendant très longtemps si l’on ne fait pas d’omelette avant » — donc, nous devons changer la société et les cycles de la pauvreté et la richesse pour arrêter l’inégalité. Aux États-Unis, les bandes dessinées sont souvent illustrées avec un humour juvénile ou des sujets stupides et vulgaires. Je trouve qu’avec ce livre, ça élève l’art de la bande dessinée en comparaison avec les États-Unis, parce que c’est un type de dessin qu’on peut utiliser avec tous les sujets, mêmes les sujets des sciences humaines et sociales.

Note finale : 16, Bonne explication du texte, y compris le métaphor.


“Culottées: Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent”

November 20, 2018

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J’ai lu la BD de Pénélope Bagieu “Culottées: Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent et j’ai choisi ” qui est composé des petits histoires des femmes célèbres de partout dans le monde. J’ai choisi l’histoire d’une femme australienne qui s’appelait Annette Kellerman, la “sirène”.

La BD raconte l’histoire de la vie d’Annette, commençant en le 6 juillet 1886, et comment elle a attrapé la polio quand elle était petite et comment un médecin conseille de la mettre à la natation pour stimuler ses muscles. Ce conseil a lancé la carrière de la natation à la dimension spectaculaire. Elle apparaît dans beaucoup des filmes et aussi a révolutionné les maillots, qui à l’époque étaient lourds et inconfortables. Les nouvelles maillots s’appelaient les “Kellerman’s”. Tout au long de sa carrière elle a aidé les femmes à libérer leur corps.

J’ai choisi cette histoire parce que j’adore la natation aussi et j’aime beaucoup le féminisme. Ce livre est féministe et j’étais vraiment étonnée parce que dans mon expérience en France, j’ai trouvé que le féminisme est beaucoup moins répandu qu’aux Etats- Unis. Je trouve que beaucoup des femmes en France ont honte de dire qu’elles sont des féministes. Elles l’associent avec les idées radicaux qui mettent les femmes dans une position superior des hommes. En réalité, les féministes veulent seulement que les femmes sont égaux avec les hommes.

J’ai pensé que ce livre et cette histoire ont mon cette ideal très bien. Il n’y a pas beaucoup des livres qui sont écrits seulement sur l’histoire des femmes. Il y a plein des livres écrits sur les histoires des hommes. Donc, je pense que le livre ont introduire les idéaux féministes très bien dans une manière espiègle avec des dialogues et dessins drôles pour retirer la gravité qui les gens associent avec le féminisme.

Note finale : 15 Bon retour sur les perspectives dites “feministes” en France et aux Etats Unis.


Les inégalités sous forme de BD

November 20, 2018

J’ai lu la BD « C’est quoi, les inégalités ? » de Jacques Azam. Dans la BD il y a quatre grandes parties, « Les inégalités entre les peuples », « Les inégalités économique », « L’égalité entre les sexes » et « Ceux qui luttent » et dans chaque partie l’auteur réponds aux questions autour du thème en la forme de BD. J’ai trouvé cette BD intéressante parce que d’habitude je lis les BDs qui racontent les histoires et qui sont un divertissement, mais cette BD, bien que ce soit captivant à lire, c’était très informative. Je me sentais heureuse en lisant cette BD parce que je trouve que l’auteur a abordé un sujet difficile d’une manière compréhensible pour une grande variété de lecteurs. Même que les inégalités sont un sujet complexe, l’auteur a intégré beaucoup de détails dans cette BD. Ceci dit, c’était encore très intéressante et facile à lire.

Cela m’a fait réfléchir à la manière dont on parle des inégalités dans notre société et si c’est différent en France qu’aux États-Unis. J’ai appris une façon dont la France essaie de parler des inégalités et de partager l’histoire et l’état actuel des inégalités avec ses citoyens. Dans cette BD je vois une fierté d’état et le territoire français, mais je vois aussi un désir d’améliorer la France et de changer le monde pour le mieux. Parce que les images illustrent l’histoire très clairement et l’information présenter dans le texte est intéressant et compréhensible, je pense que cette BD est une très bonne façon d’éduquer les citoyens français sur les inégalités.

 

Note final : 16, Bonne implication par un choix de BD pas aussi joyeuse que d’autres dans la séléction, mais qui comporte beaucoup de leçons sur la socièté.


L’Iran de Marjane Satrapi

November 20, 2018

Persepolis, de Marjane Satrapi, est un BD que j’ai lu il y a longtemps en anglais; il m’a marqué dans le passé et je trouve que je l’aime beaucoup aujourd’hui encore. Un mémoire graphique, Persepolis décrit l’enfance de Marjane Satrapi — l’auteure elle-même — en Iran pendant le temps juste avant et juste après la révolution de 1979.

Je trouve que le voix de Marjane, en simultanée avec les images si caractéristique à cette livre, révèle un naïveté très sage. Sa voix dénote un développement interne, intellectuelle, émotionnel, d’une manière qui est renforcée par la force de ses images. En lisant, on peut suivre comment ses pensées mènent à des nouveaux pensées et de nouveaux pensées encore. On observe ses conversations avec elle-même, avec dieu, qui la rend visite dans sa chambre, avec ses parents. On voit comment les pensées de Marjane sont influencés par le monde et le temps qu’elle occupe. “C’était amusant de voir comme dieu et Marx se ressemblaient. Peut-être que Marx était un peu plus frisé.” Satrapi nous a ouvert sa propre monde, ses idoles et ses croyance fugaces mais fortes.

On voix également le chaos et l’ordre dans sa monde. Les images du livre sont souvent remplis d’un fond tout blanc ou tout noir — on voit devant un fond blanc les révolutionnaire de son pays, placés en posture respectueuse, montrant un ordre interne, selon laquelle Marjane vit sa vie; on voit devant un fond noir sa prise en conscience de les semblance entre dieu et Marx — dénotant un virage philosophique que Marjane prends quand la révolution en Iran commence a se concrétiser. On voit le même fond noir quand dieu sort de sa chambre pour la dernière fois après une bagarre entre les deux et Marjane se trouve désespérée jusqu’à ce qu’elle va dans la chambre de ses parents pour leur demander de participer aux manifestations contre le roi. C’est le désordre interne, néanmoins un sûreté admirable, qui caractérise ces années pour Satrapi.

En vrai, ce sont des années tumultueuse pour Marjanie et pour Iran en même temps. Persepolis révèle une narration personnelle dans le tissu de l’histoire politique d’Iran. Dès le début, la complexité de l’histoire de la terre perse nous est montrée. “Marjane a hérité de tout ca, elle a réalisé le premier album de bandes dessinées iranien” (Introduction). Dès son enfance, elle doit faire face à des contradiction au niveaux du contexte sociale et politique dans lesquels elle réside, et des contradiction dans sa propre famille, dans ses propres pensées.

 

Note finale : 16 Très bonne exploration, de l’usage de la BD. Elle est auteure ET illustratrice.


La BD en France

November 20, 2018

Cette image montre le page de titre du BD que j’ai lu. J’ai lu le BD, “Les Cahiers d’Esther” par Riad Sattouf, un BD qui s’agit d’une fille qui a 11 ans et qui habite à Paris. Elle fait ses études dans un collège de prestige du centre de Paris et cette histoire montre les difficultés d’être une fille au collège. La fille est la narratrice de cette histoire et cela permet au lecteur d’avoir une meilleure perception de sa vie. La manière dont ce BD est écrit est comme si le lecteur est dans la tête d’Ester. Le lecteur sent les sentiments d’Esther et comprend les leçons qu’elle apprend pendant sa vie en étudiant dans ce collège et en vivant en Paris. Elle veut changer certaines aspects de sa vie pour l’améliorer. Par exemple, elle veut avoir des biens matériels qu’elle ne possède pas et elle veut sembler plus âgée pour impressionner un mec dans sa classe. L’histoire montre comment elle imagine sa vie si elle possédait ses qualités ou ses objets qu’elle croit vont améliorer sa vie. En lisant ce BD, on se souvient du temps quand on était au collège, parce que les émotions et les idées qu’elle sent et pense, on les a senti et pensé quand on avait 11 ans.

J’ai remarqué qu’il y avait beaucoup de références aux Etats-Unis dans les premières pages que j’ai lu. Il y avait une partie sur l’élection du Président Trump qui a décrit les réactions des gens français de sa victoire. Le père d’Esther était étonné et affecté que Donald Trump a gagné l’élection et les autres élèves  au collège avaient le même réponse. Je ne savais pas que les français étaient assez affectés par le résultat d’elections américaines, bien que je comprend que ce résultat ne touche que les américains. Il y avait aussi une partie sur les portables et l’importance de l’iPhone dans la culture de jeunesse. Esther est fâchée qu’elle est la seule personne dans son collège qui n’a pas un smartphone, mais surtout un iPhone. Cette partie m’a montré encore, l’influence de la culture américaine sur la France et surtout sur les jeunes.

Note finale: 15, Retour intéressant sur le phénomène de la mondialisation vue par une jeune française.


Persepolis et la BD en France

November 20, 2018

Les BD ne sont pas considérés comme une «littérature de qualité» aux États-Unis, mais ils sont très populaires parmi les enfants et les adultes en France. Après avoir lu Persepolis de Marjane Satrapi, je comprends comment le format d’une BD peut illustrer une histoire pour adultes de la même manière qu’un livre traditionnel, sans porter atteinte à la gravité du contenu. Persepolis est un récit autobiographique de l’enfance en Iran au cours de la tourmente politique des années 1980. L’histoire était très informative, car le format de la BD permettait à Satrapi de donner un contexte plus détaillé à la situation politique en Iran grâce à l’utilisation de flashbacks et de narrations à la troisième personne. De plus, les illustrations ont contribué au ton du BD sans simplifier le message. L’attention de Satrapi sur le contexte historique du Shah iranien et les atteintes aux droits de la personne commises par le régime m’a fait réfléchir sur les concepts français des Droits de l’homme et des libertés, fournissant en définitive des comparaisons éclairantes entre le gouvernement français et le gouvernement iranien.

Note finale : 15, Bon retour sur l’usage de la forme et le fond pour bien faire passer et sentir l’histoire racontée.


La France aux yeux d’une fille

November 20, 2018

 

Cette image montre le titre et l’auteur d’une BD que j’ai lue pendant le cours. Les deux BDs que j’ai lues sont écrites par deux filles qui ont environ 11 ou 12 ans. Mais, la BD qui s’appelle « Les Cahiers d’Esther » m’a enseigné le plus sur la culture en France.

Dans cette BD, chaque page concerne une partie de la vie différente. Par exemple, le personnage principal, Esther, parle de son collège, de ses amis, de ses vêtements, de la technologie, et de ses valeurs. Avec chaque catégorie, j’ai appris quelque chose du nouveau sur la vie d’un adolescent en France. D’abord, j’ai remarqué que les jeunes filles françaises ont certaines tendances de la mode très similaires que les jeunes filles américaines. Esther parle de son petit pull, un type de vêtement qui est aussi à la mode aux États-Unis. Alors, cela m’a rappelé que malgré les différences entre la culture américaine et la culture française, il y a beaucoup de similitudes. Ensuite, Esther parle de cliques et de groupes sociaux au collège. En général, elle pense qu’il y a des jeunes qui sont « cools » et des jeunes qui ne sont pas trop « cools ». Elle décrit qu’il y a un groupe des garçons sportifs qui sont toujours ensemble et qui ne sont pas vraiment gentils. Quand j’ai lu cela, j’ai pensé à la même clique qui est stéréotypée aux États-Unis.

De plus, j’ai appris beaucoup sur les valeurs d’une adolescente française. Un grand thème de la BD est le féminisme. Esther parle du fait qu’il faut avoir des déesses féminines pour que les filles aient quelqu’un à qui elles peuvent poser des questions et demander de l’aide. Elle discute aussi de la violence des garçons au collège. Les garçons sont bêtes, à son avis, et ils harcèlent souvent les filles et les garçons plus jeunes. En général, elle essaie de valoriser les filles dans tous les cas. J’ai toujours pensé que les Américains sont en général plus libéraux que les Français par rapport aux problèmes sociaux, mais cette BD m’a montré qu’il y a des jeunes français qui ont des valeurs considérées comme libérales aussi.

Finalement, Esther parle beaucoup sur les Américains. Elle dit souvent « LOL », un anglicisme, et il y a une partie de la BD sur Trump et son élection. Ces parties de la BD m’ont rappelé le grand effet que les États-Unis ont sur la France, et sur les autres pays en général.

Note finale : 16, De bons commentaires sur les effets de la mindialisation sur une jeune française.


L’identité des femmes

November 20, 2018

J’ai lu la BD Culottés 2 (Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent) par Pénélope Bagieu. Il s’agit des histoires des femmes de partout dans le monde qui ont fait quelque chose d’important pour l’histoire du monde et des femmes. Chaque femme a sa propre histoire. J’ai lu les histoires sur Temple Grandin et Cheryl Bridges. Les deux viennent des États-Unis et ont fait quelque chose nouvelle pour les femmes. Cette photo montre Grandin qui explique à un homme ce qu’il fait avec les vaches et le traitement des animaux. Il avait des relations très différentes entre les genres. C’était une leçon de l’histoire et par rapport à la France, cette BD était bon pour montrer comment les femmes peuvent avoir une voix dans la vie. Les femmes étaient autorisées de voter très tard en France, alors c’est un exemple encore de comment les femmes peuvent faire des choses très important ; ce n’est pas pour les hommes de toujours faire quelque chose pour la première fois. La BD a parlé de l’identité et la confiance. Dans un pays très structuré et uniforme comme la France, c’est intéressant de voir des exemples des femmes comme un chef qui vie contra la forme. Les deux femmes, Grandin et Bridges étaient confronté au sexisme et malheureusement c’est toujours quelque chose qui se passe. Cette BD montre comment les femmes peuvent créer leurs propres identités indépendantes des hommes et de l’état. Comme la France est un pays riche en diversité, c’était important de choisir les femmes qui venaient de partout dans le monde. Cela pourrait montrer que tous les gens ont quelques choses à ajouter, et maintenant avec toutes les discussions d’immigration, c’est important de s’en souvenir. La BD n’a jamais dit la nationalité des femmes, mais seulement où elles étaient nées. La culture de féminisme n’a pas un pays, c’est pour tout le monde.

Note finale : 16, Bon commentaire sur la thématique du féminisme au travers des pays.