Sans Panneaux, Sans Problème

Description : Chaque jour, je vois le même carrefour à côté d’une école maternelle qui n’a pas de panneaux-stops pour les voitures. Je l’ai trouvé bizarre, parce qu’il n’y a pas beaucoup de rues aux États-Unis qui n’ont ni feux tricolores ni panneaux-stops, particulièrement près d’un lieu où il y a beaucoup d’enfants. Ce n’est pas assez anormal aux États-Unis d’avoir des carrefours sans panneaux ou feux dans les banlieues, parce qu’il n’y a pas beaucoup de trafic. Mais dans ce contexte, où il y a une école maternelle, je suis certaine qu’aux États-Unis, il y aurait des panneaux, au moins. Quelquefois quand je traversais ce croisement, il y avait des voitures qui avançaient très vite et qui arrêtaient assez soudainement.

Interprétation : Il y a quelques explications de cette intersection à Toulouse. D’abord, les piétons ici n’ont pas la priorité sur les rues, donc ce n’est pas un vrai danger pour les enfants s’il n’y a pas les panneaux ou un passage piéton. Une autre explication est que les Français, quand ils conduisent, sont plus attentifs que les conducteurs aux États-Unis. Cela veut dire qu’ils ont le réflexe d’arrêter immédiatement quand il y a une autre voiture ou une personne qui traverse le carrefour. J’ai demandé à mes hôtes s’ils pensent que c’est une intersection bizarre et ils m’ont dit que non, parce qu’à Toulouse la moitié des croisements assez petits (dans les chemins) ont la même structure.

Évaluation : Chaque fois, j’étais surprise qu’il n’y ait pas plus d’accidents là, avec les autres voitures (parce que c’est un croisement simple en colline sans panneaux), mais aussi avec les gens et enfants de l’école maternelle. J’ai trouvé que les choses qui me surprennent, comme cette intersection près d’une école maternelle sans panneaux, sont vraiment normales ici. C’est clair qu’il y a des attentes différentes pour les Français en ce qui concerne les règles de la rue. De plus, c’est une différence culturelle de société où les parents sont responsables de toutes les actions de ses enfants. Aux États-Unis, quand un enfant court dans la rue pour traverser l’intersection ou trouver une balle, c’est toujours la faute de voiture et le conducteur pour son manque d’attention à la rue. Mais ici, quand un enfant fait quelque chose comme cela, c’est la faute de ses parents pour échouer à lui enseigner les règles de la société. Donc, avec ces différences, il est évident qu’ici la formulation de bons citoyens qui comprennent les règles de la rue commence très tôt. Par conséquent, ce carrefour est normal à Toulouse et ce n’est pas un vrai danger des enfants comme j’ai pensé.

MacKenzie

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