Une dynamique de pouvoir?

Description

Dans ma première semaine à L’Institute Catholique de Toulouse (ICT), j’ai observé les relations sociales entre les étudiants et les professeurs. Tous mes cours durant deux heures. Dans chacun, un professeur parle pendant la totalité des deux heures.  Cependant, après environ une heure, il y a une pause brève pour dix minutes. Surtout l’attention et l’engagement des étudiants changent avec chaque professeur. Ici je propose à évaluer la manière de l’enseignement d’un professeur qui est strict et sympa dans le même temps.

Interprétation

Quelques cours ont des étudiants qui sont très engagés et qui posent beaucoup de questions. Les autres? Pas de tout. La professeur qui commande la plus respect et la plus attention des étudiants est un homme que je l’appellerai M. DEANGELO. Il est un petit homme italien qui est, essentiellement, une encyclopédie. Il pose les questions très dures à la classe, ce qui attrape l’attention des étudiants. En outre, il parle avec ses mains et utilise les étudiants pour les exemples. Ensemble, ces choses engagent les étudiants, qui ont un respect total pour M. DEANGELO. Même s’il est très strict pendant ses discours, il est flexible en ce qui concerne le début et la fin du cours. Ses cours peuvent commencer plus tard que l’emploi de temps l’avait programmé. Pendant le cours, un demi des étudiants prend une pause cigarette sans faute dans le jardin qui a un panneau qui dit <<L’INTERDICTION À FUMER.>> Quand je suis allée en France pour la première, j’étais étonné par les habitudes de fumer des jeunes. J’ai parlé avec mes hôtes concernant ce phénomène. Ils ont dit que ce n’est pas rare à voir les grands groupes de lycéens en train de fumer—juste à côté de son lycée! Cela étant dit, DEANGELO utilise ce moment à faire des blagues concernant les fumeurs de l’ICT. Tout le monde rit parce qu’il aime DEANGELO, même s’il se moque. C’est-à-dire qu’il est le maitre dans la salle de classe.

Évaluation

Sans doute, il existe aux universitaires français une dynamique de pouvoir entre les étudiants et les professeurs plus accentuée qu’aux États-Unis. Cependant, je n’ai pas un problème avec ça. Étant un étudiant à Bowdoin, j’ai observé trop de professeurs qui permit quelques étudiants à diriger le cours. C’est une perte de temps.  Pour moi, je préfère une salle de classe ou le prof parle plus que les étudiants parce qu’il connaît plus des choses que les étudiants. J’offre l’exemple de M. DEANGELO—un professeur strict et sympa dans le même temps. Pour moi, c’est parfait.



4 Responses to “Une dynamique de pouvoir?”

  1.   maia Says:

    Isabelle et Maia

    Nous trouvons que la dynamique du pouvoir en cours est trop stricte. Quand nous avons des questions dans les cours à UT2J, il n’est pas possible d’arrêter le cours pour les poser ; on ne peut pas demander aux profs de répéter, on ne peut pas poser des questions à propos le contenu du cours sans avant les demander à plusieurs étudiants, et on ne peut pas parler aux profs à l’extérieur du cours. Nous préférons la dynamique aux Etat-Unis où on peut parler avec les profs de leur sujet, demander des questions pour être sûre que nous fassions le bon travail. Aussi les cours ici sont beaucoup plus difficiles donc nous avons beaucoup plus de besoin de parler avec les experts, mais on n’en peut pas. C’est dur de réussir dans telles circonstances.

  2.   Okung Says:

    J’ai observé aussi qu’il y a quelques étudiants qui sont si engagés en classe comme mes petits cours. Dans mon cours de littérature, les étudiants sont plus attentifs parce qu’il faut qu’on écrive tout ce que le prof à dit. Mais avec les cours qui sont plus grands, je trouve que les étudiants dirigent la classe plus souvent, peut-être parce que c’est plus facile à recevoir les notes d’amis ou plutôt, dans les classes plus grandes, les profs utilisent beaucoup plus d’aide visuelles. Je préfère les cours plus petits pour entendre le prof plus clairement parce qu’il y a moins des étudiants qui le dirigent.

  3.   Allie Says:

    Je suis en accord avec cet avis pour la plupart. Je pense que si on est dans la salle de classe en n’apprenant pas, c’est, comme il a dit, un perte de temps. Néanmoins, je crois que c’est juste nécessaire de soyez stricte avec les étudiants qui parlent avec les autres – ces étudiants sont une distraction pour les autres – mais je pense que si un individu ne paie pas attention en étant sur leur portable, c’est seulement une distraction pour lui et c’est leur choix qui n’affecte pas la class. Je pense qu’en ce cas, le professeur ne doit pas faire rien.

  4.   ryanm Says:

    Je trouve cette interpretation des dynamiques de pouvoir dans les cours français intéressante. Pendant la première semaine de mes propres cours à UT2J, je me suis rendu compte d’un modèle similaire avec le pouvoir des professeurs. Je pense que cette façon d’enseignement peut être effective, mais même-si un professeur est intelligent et dynamique, il est difficile à rester engagé pendant les deux heures du cours. Pour moi, tous mes professeurs sont actifs est intéressants à écouter, mais je devient fatigué après la première heure du cours. Malgré l’observation que les professeurs ont plus de contrôle sur les dynamiques des cours en France, je ne pense pas qu’il y a une différence significative entre la France et les États-Unis dans ce cas. Dans les deux contextes, si un professeur peut inspirer ses étudiants, le professeur a le pouvoir dans la salle.

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