Les français à l’étranger

Dans cette photo, on peut voir un café français que j’ai trouvé à Berlin, qui m’a rappelé de mes expériences à Toulouse. La période de vacances vient de terminer, et j’ai passé 10 jours en dehors de la France, à Rome, à Budapest et à Berlin à la fin. J’avais été concerné de ne pas parler français pendant toutes les vacances et que j’allais oublier mes compétences que j’ai développées à Toulouse. Même-si je n’ai pas mangé de cuisine française à l’étranger, j’ai parlé français plusieurs fois dans chaque pays que j’ai visité.

 

Interprétation

Pendant les vacances, il y avait deux interactions en français qui m’ont frappées. Une de ces interactions s’est passé à un restaurant de ramen à Berlin. Mon ami et moi étions assis à une table longue où il y avait deux cartes ; une était écrite en allemand et l’autre était écrite en anglais. Il y avait un groupe de français qui est arrivé, est tout les clients dans le groupe essayaient de déchiffrer la carte en allemand. Voyant qu’ils avaient du mal, j’ai dit brièvement en français qu’il y avait une carte en anglais s’il serait plus facile pour eux. C’était juste un petit geste, mais je me sentais bien car j’ai aidé d’autres gens avec mon français.

La deuxième interaction s’est passée à Budapest. J’étais dans un bar avec mon cousin, et nous avons entendu un couple qui parlait français à une autre table. Nous avons demandé d’où ils viennent, et nous avons appris qu’ils étaient français. Ensuite, nous avons commencé une conversation avec eux qui a duré plus qu’une heure.

Je n’avais pas anticipé que je trouverais d’autres personnes qui parlaient français, particulièrement en Hongrie. Il est devenu évident que ces deux interactions en français représentaient un sentiment de confort pour moi et pour les français que j’ai rencontrés. Dans ces situations que j’ai appris le pouvoir de la langue française d’unifier des personnes à l’étranger.

 

Évaluation

Ces interactions que j’ai eues représentaient une transition intéressante. À Toulouse, un des aspects qui est une grande source de difficulté est le fait que toutes mes interactions se passent en français, qui est naturellement plus difficile que ma langue maternelle. Cependant, à l’étranger, la langue française a eu l’effet contraire. À Budapest et à Berlin, le français était une source de confort et de familiarité. Les deux groupes français avec qui je parlais se sentaient dans la même façon ; tout le monde était plaisamment surpris d’entendre le français dans des autres pays. Donc, ces expériences pendant les vacances montrent mon développement linguistique à Toulouse. Je me rends compte que les aspects de la culture française qui m’ont troublés au début du programme deviennent plus normaux, surtout quand je voyage en dehors de la France.



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