Ma vie à Toulouse est différente de celle à Dickinson dans plusieurs façons, mais j’ai été étonnée par les ressources pour les étudiants étrangers. À mon université, l’Institut d’Études politiques (IEP), je vais compléter le CEP- le Certificat d’Études politiques. Avec ce programme, les cours de français- de la langue, mais aussi de la culture — sont vraiment impeccables ! Les professeurs comprennent que le contenu des cours, et en plus la méthode, sont différents de la norme pour leurs étudiants. En fait, ils sont très aimables et compréhensifs. Aussi, à la bibliothèque, on peut trouver le Centre de Ressources de Langue pour les matériels et l’aide scolaires.

 

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L’entrée de l’Institut d’Etudes Politiques

Au Centre Dickinson il y a plein d’outils aussi. Par exemple, les ordinateurs avec le logiciel Antidote, un programme pour corriger les documents en français. Ce logiciel est très pratique, parce qu’il montre les explications pour toutes les corrections. En plus, le Centre Dickinson recrute les étudiants français pour coordonner un tutorat. Cela est très nécessaire quand les périodes de devoirs finaux arrivent ! Aussi, Dickinson a coordonné des visites universitaires avec les étudiants qui assistent déjà à chaque université. Pour moi, j’étais vraiment plus à l’aise la première journée des cours, parce je connaissais le plan de l’IEP et savais où étaient les salles pour mes cours. En plus, si je ne peux pas comprendre le professeur et il y a des trous dans mes notes, je peux demander à ma guide- elle a gardé toutes ses notes de la première et deuxième année !

 

 
Si vous avez envie de sortir le soir, il existe beaucoup de « clubs de conversation » pour améliorer votre compréhension de la langue et votre accent. Un des clubs au bar Cactus, qui est tout près de mon université, est très sympa ! La semaine dernière, j’ai rencontré un garçon qui vient de la Belgique, une fille de la Nouvelle-Zélande, et aussi un garçon de la République tchèque. Tous se retrouvent là avec un désir de s’assimiler plus dans la culture française.

 

 
C’est vrai, le programme de Toulouse peut être une expérience un peu difficile au début. Mais, pour moi, tous les outils au Centre Dickinson, à mon université, et enfin dans la ville elle-même, servent à diminuer les malentendus et le choc culturel.

 

-Grace McCrocklin