De Carlisle à la Ville Rose

Author: daussea Page 1 of 5

Final trip to Provence

Every student has some special memory of the final final trip to Provence.

Melynda :

On my vacation to Aix en Provence, I saw the gorgeous region of Cassis.  In the morning, I was able to walk through the town market.  One of the items that this regions is known for is their heavenly smelling lavender.  Right on the beach of the Mediterranean Sea, one could not help but bath in the scent of the ocean.  Not bad for my first time at the beach!

 

 

 

 

Ryan :

Provence is the most famous region in France with its unique scenery creating a part of that fame. Even if you can’t see it in the photo above, Provence has a reputation for very blue skies, which is one reason why Provence is depicted in many paintings.  It is countryside with a lot of low-lying vegetation and trees without many leaves because of the makeup of the soil and the lack of rain. The region has a lot of wind because of the Mistral, which can create high-speed winds in the region. It is a beautiful countryside with a lot of character that helps to create the popularity of the region.

 

 

 

Josh:

Although it rained, I found Aix-en-Provence to be very pretty. As a city, it is vibrant, chic, and above all young. If you desire, you can buy only organic product. You have to rely on the frequent street markets, the grocery stores, and the street venders because the cost of living is quite expensive, but you can always support local producers. Having seen all of these shops and having spoken with a woman who sells organic soap, it seems to me that this city is very conscientious.

 

 

 

 

Sarah H:

During our visit to Provence we hiked in the Calanques. We started our adventure in the village of Cassis. Then we climbed the calaque called Port-Miou. The landscape was incredible and we all took many beautiful photos of the blue water (a blue similar to what you would find on a post card). We continued to walk until 12:30 or 1 when we stopped to eat a picnic of sandwiches we had brought from Aix. After we hiked a bit higher before turning around to return to Cassis. During our free time in Cassis the members of the group all explored different areas. Some people ate ice cream in a cafe while others rested on the beach. After, once we had returned to the bus, we were all very tired but we agreed that we had passed an agreeable day.

 

 

 

 

Megan :

The town of Cassis is a great place to visit, as well as an ancient fishing port.  Walking

through the tiny town’s village streets, you stumble upon beautiful old buildings painted

in the beautiful pastel colors of the Provence region.  The town boasts medieval

fountains, an open-air artists’ market, and a gorgeous harbor.  Cassis used to be just a

small fishing port, but these smaller boats now share the harbor with some impressive

yachts and tourists boats that take people out to explore the calanques and the pristine

blue water of the Mediterranean.

 

Carina :

On the 3rd day of our vacation, we went to Sénanque Abbey, an abbey for Cistercian monks located between Aix-en-Provence and the town Roussillon. During our visit, we saw the monk’s room, the church, and the decision-making room. In particular, I was struck by how hard the life of a monk was in the past. Our guide told us that the monks of the middle ages slept on the ground on a straw mattress. Of course, there was no heating in that era, so the only comfort the monks had was that they slept on ground that had been cooked (which holds more heat). All the monks slept in the same room, and they only had little curtains around their mattress for privacy. In addition, during the summer, the monks would get up at 2 am! However, today the life of a monk isn’t so hard. All the monks have their own heated room with a bed.

 

 

 

 

 

Julia :

Completely different from any other town in France the bright and contrasting colors of Roussillon are nothing less than impressive.  We walked through the ochre footpath to marvel at the natural pigmented formations that have existed since the prehistoric time.  I didn’t like Roussillon because of its antiquity or for its UNESCO status, but for its natural and powerful beauty.

 

 

 

 

Beth:

I could not have imagined a better day for my birthday in the Calanques. The weather was beautiful with an amazing sky – it was a blue that you can only see in the Calanques. The hike was difficult at times with the rocks and the slopes, but it was worth it to see the views. At each turn the hills and the Mediterranean Sea seemed to be even more beautiful. When it was time for out picnic, we were very happy to eat and take a nap in the sun.

 

 

 

 

 

Mai-Anh:

My favorite activity during our voyage in Provence was definitely the hike in the Calanques. The colors of the Calanques were without equal: the bright blue-green of the water, the vibrant green of the trees, and the white of the cliffs combined to be a feast for the eyes. Furthermore, our guide expertly brought us to specific areas in the Calanques where the view left us speechless. We also passed a very pleasant lunch in picnicking and laying out in the sun. All-in-all, this hike was one of my favorite experiences in France and I would very much like to return to the Calanques and to Cassis in the summer when it must surely be even more magnificent.”

Le voyage de fin d’année en Provence

Chaque participant au voyage de fin d’année vous livre ses impressions sur notre séjour en Provence:

Melynda:

Pendent mes vacances à Aix en Provance, j’ai vu la belle région de CaSsis.  Le matin, j’ai marché à travers le marché de la ville.  L’un des produits qui est très connu DANS cette région est la lavande.  De plus, directement sur la plage de la mer méditérranée, on ne pouvait pas s’empêcher de se baigner dans le parfum de la mer.  Pas mal pour ma première fois à la plage!

Ryan:

 La Provence est la région la plus célèbre de France et son paysage méditerranéen unique crée une part de cette célébrité. Même si on ne peut pas le voir dans la photo, le ciel en Provence a une réputation d’être très bleu, notamment en hiver et au printemps, qui est une raison pour laquelle la Provence est dans beaucoup de peintures.  C’est un paysage avec beaucoup d’ herbes qui ne sont pas très grandes et les arbres n’ont pas beaucoup de feuilles à cause de la terre et du manque de l’eau.  C’est une région avec beaucoup de vent grâce au mistral qui crée des vents importants dans la région.  C’est une campagne très belle avec beaucoup de caractère qui aide à créer la renommée de la région.

Josh:

Bien qu’il ait plu, j’ai trouvé Aix-en-Provence très jolie. Elle est pleine de vie, chic, et surtout jeune. Si l’on veut, on ne peut acheter que des produits bios. On doit faire confiance aux marchés fréquents, aux épiceries, et aux vendeurs de rue parce que le coût de la vie est tellement cher, mais on peut toujours soutenir les producteurs locaux. En ayant vu tous ces magasins et en avant parlé avec une vendeuse de savon bio, il me semblait qu’elle était une ville très consciencieuse.

Sarah H:

Pendant notre séjour en Provence on a fait une randonnée dans les calanques. On a commencé notre excursion dans le village de Cassis. Après on a continué avec la calanque de Port-Miou. Le paysage était incroyable et on a tous pris de belles photos de la mer avec une eau bleue (mais un bleu comme on trouverait seulement sur une carte postale). On a continué de marcher jusqu’à 12 h 30 ou 13 h quand on a mangé un pique-nique qu’on vait apporté d’Aix. Après on a marché un peu encore et qu’on est redescendu pour explorer le village de Cassis. On a passé une heure libre à Cassis ou les membres du groupe ont fait des activités différentes. Quelques personnes ont mangé une glace dans un café et d’autres se sont reposées sur la plage. Après dans le bus, on était tous fatigués, mais c’était une journée très agréable.

Mai-Anh:

Mon activité préférée pendant notre voyage en Provence était certainement la randonnée dans les Calanques. Les couleurs des Calanques étaient sans égal : le bleu-vert brillant de l’eau, le vert vif des arbres, et le blanc des Calanques se combinent pour devenir un régal pour les yeux. De plus, notre guide a nous amené avec expertise dans les lieux où la vue nous laissait sans voix. On a également passé un très bon déjeuner en faisant un pique-nique et en nous allongeant sous le soleil.  Somme toute, cette randonnée est une de mes expériences préférées en France et je veux bien retourner aux Calanques et à Cassis pendant l’été quand cela va être surement encore plus magnifique.

Megan :

La ville de Cassis est un formidable endroit à visiter, ainsi qu’un ancien port de pêche. En marchant à travers les rues du petit village, on voit quelques beaux anciens bâtiments, peints avec les couleurs pastels de la région de Provence.  La ville possède des fontaines médiévales, un marché d’artistes en plein air, et un port magnifique.  Cassis était seulement un petit port de pêche, mais maintenant les petits bateaux partagent la mer avec les yachts et bateaux touristiques que les gens prennent pour découvrir les calanques et l’eau bleue de la vierge Méditerranée.

Carina :

Le 3e jour de nos vacances, nous sommes allés à l’abbaye de Sénanque, une abbaye de moines cisterciens qui se trouve entre Aix-en-Provence et la ville de Roussillon. Pendant notre visite, on a vu la chambre des moines, l’église, et la salle de décision. J’ai été particulièrement frappée par la dure vie des moines, surtout dans le passé. Notre guide nous a expliqués que les moines du Moyens-Age dormaient par terre sur des matelas de paille. Bien sûr, il n’y avait pas de chauffage à cette époque-là, donc leur seul confort pendant l’hiver froid était le fait qu’ils dormaient sur la terre cuite (qui retient la chaleur). Ils dormaient tous dans la même chambre, et ils n’avaient que des petits rideaux autour de leur matelas pour garder une certaine intimité. En plus, pendant l’été les moines se levaient à 2 heures du matin ! Pourtant, aujourd’hui, la vie d’un moine est moins dure. Tous les moines de l’abbaye ont leur propre chambre chauffée avec un lit, et ils se lèvent à 4 heures du matin.

Julia:

Complètement unique de tout autre village en France, l’ocre de Roussillon nous impressionne avec ses couleurs vivantes et contrastantes. On s’est promené sur le Sentier des Ocres pour s’émerveiller des formations naturelles qui existent depuis la préhistoire.  Le village de Roussillon ne m’a pas plu pour l’histoire ancienne ni pour ses titres d’UNESCO, il m’a plu pour ce qu’il est, pour sa beauté naturelle et impressionnante.

Beth:

Je ne pouvais pas avoir imaginé une meilleure journée pour mon anniversaire que de faire la randonnée dans les Calanques. Le temps était beau avec un ciel sensationnel – c’était un bleu que l’on ne voit que dans les Calanques. La randonnée était difficile parfois avec les pierres et un peu d’escalade mais cela valait la peine pour voir la vue. À chaque détour les collines et la mer méditerranée semblaient être plus belles encore. Quand c’était l’heure pour notre pique-nique, nous étions très contentes de manger et faire une sieste sous le soleil.

Elections in France

Ellen Aldin

The United States is not the only country with presidential elections in 2012; France has them too.  For my internship, I have the opportunity to work in a polling station, and here’s what I noticed for the April 23 elections:

 

–        The voting process is very communal.  When a person votes, he has a conversation with the people that are working there; it’s a social event! Also, instead of having absentee ballots, the French that cannot be present at their polling place on Election Day vote by procuration, which is giving the right to vote to someone else in your place.  In this case, the person that cannot vote has to communicate his choice to the person to whom he has given procuration, an extremely personal choice in the United States.  However, in France, one can discuss the election and personal choices regarding the elections pretty freely; it’s not as private.

–        The votes are revealed publicly.  At my polling place, when the voting had finished, the envelopes with the ballots inside were opened in front of a small crowd, which was open to the public.  When the workers opened the envelopes, they said the name on the ballot inside out loud so that everyone present could hear the trends in that particular polling place at the same time.

 

But this process is going to continue; in France, the presidential elections use a two-step system.  This means that the first election has over 2 candidates, and the purpose of this election is to take the two candidates with the most votes to go head to head against each other in the second election.  The winner of this second election wins the presidency.  The first election already happened and Nicolas Sarkozy and François Hollande are the candidates for the second election on May 7.  Therefore, there will be another election and I can see the nuances between the two elections in a French presidential election.

Les Elections en France

par Ellen Aldin

Les Etats-Unis ne sont pas le seul pays qui a des élections présidentielles en 2012 ; la France en a aussi.  Pour mon stage, j’ai eu l’opportunité de travailler dans un bureau de vote, et voilà ce que j’ai remarqué :

 

–        Le processus de vote est très social. Quand un électeur vote, il parle beaucoup avec les gens qui travaillent dans le bureau de vote ; c’est un vrai événement social ! De plus, au lieu d’avoir les « absentee ballots », les français  qui ne peuvent pas être présents au bureau de vote pour la journée des élections votent par procuration, c’est à dire ils donnent leur droit de vote à quelqu’un d’autre.  Dans ce cas, la personne qui ne peut pas voter doit discuter de son choix avec la personne à laquelle elle a donné la procuration, un choix très personnel aux Etats-Unis.  Cependant, en France, on peut discuter de l’élection et de son choix assez librement ; ce n’est pas un choix si privé.

–        On dépouille les votes en public.  A mon bureau de vote, quand le scrutin a été fini, les enveloppes avec les bulletins de vote ont été ouvertes devant un petit comité d’électeurs, et le dépouillement est ouvert à tous. Quand les travailleurs ont ouvert les enveloppes, ils ont indiqué le nom du candidat sur le papier pour que le public puisse l’entendre, et ils pouvaient voir les tendances du bureau de vote au moment où le dépouillement se faisait.

 

Mais ce processus sera de nouveau mis en oeuvre ; dans ses élections présidentielles, la France utilise un système à deux tours.  Le premier tour est déjà passé, mais le deuxième tour sera le 7 mai.  Donc, on va le refaire, et je pourrai voir les nuances entre les deux tours d’une élection présidentielle en France.

 

The Queen’s smile

By Christina Socci

It is impossible to talk about French desserts without referencing Marcel Proust. Just thinking about our visit to the Léonard Parli calisson factory in Aix-en-Provence is enough to remind me of madeleines and memories. To summarize this revolutionary and infrequently punctuated section of Remembrance of Things Passed, Proust stumbles upon the link between everyday experiences and memory after taking a bite of a madeleine dipped in tea. This famous eureka moment inspired him to question why the past is hidden in the most innocuous of things, waiting to leap out, unbidden, from the smell of the ocean or the scrap of a forgotten melody.

Of course, Proust explains it best: “But when from a long-distant past nothing subsists, after the people are dead, after the things are broken and scattered, taste and smell alone, more fragile but more enduring, more unsubstantial, more persistent, more faithful, remain poised a long time, like souls, remembering, waiting, hoping, amid the ruins of all the rest, and bear unflinchingly, in the tiny and almost impalpable drop of their essence, the vast structure of recollection.”

I like to think of these small, powerful bits of sensory detritus that we encounter on a daily basis as unexpected yet welcome visitors, magi if you will, bearing gifts of memory. In spite of all of the time that has passed, the sound of someone shuffling a deck of cards makes me think of playing “War” with my great-grandmother. The smell of fresh basil brings me back home to Sunday afternoons spent watching my dad make meatballs and gravy. And now, the taste of calissons reminds me of the magic of Provence and the experience of studying abroad as a whole. Proust can keep his madeleines—pass me another calisson, please.

 

 

Le sourire de la Reine

Par Christina Socci

Il est impossible de parler des desserts français sans une référence à Marcel Proust. Même la pensée de notre visite à l’usine des calissons à Aix-en-Provence me rappelle les madeleines et les souvenirs. Pour résumer cette section révolutionnaire et rarement ponctuée de son chef-d’œuvre, A la Recherche du Temps Perdu, Proust a découvert le lien entre les expériences quotidiennes et la mémoire après avoir pris une bouchée d’une madeleine trempée dans du thé. Il s’est inspiré de ce moment célèbre pour s’interroger sur la raison pour laquelle le passé est caché dans les choses les plus innocentes, attendant de surgir, spontanément, de l’odeur de l’océan ou du petit morceau d’une mélodie oubliée.

Bien sûr, c’est Proust qui l’explique le mieux : « Mais, quand d’un passé ancien rien ne subsiste, après la mort des êtres, après la destruction des choses seules, plus frêles mais plus vivaces, plus immatérielles, plus persistantes, plus fidèles, l’odeur et la saveur restent encore longtemps, comme des âmes, à se rappeler, à attendre, à espérer, sur la ruine de tout le reste, à porter sans fléchir, sur leur gouttelette presque impalpable, l’édifice immense du souvenir ».

Je tiens à considérer ces petites, fortes miettes de détritus sensoriels que nous trouvons chaque jour comme des visiteurs imprévus pourtant bienvenus, des rois mages si vous me permettez, qui apportent les cadeaux des souvenirs. En dépit du temps qui est passé, le bruit produit quand quelqu’un mélange des cartes me fait penser aux jeux de « Bataille » avec mon arrière-grand-mère. L’odeur du basilic frais me ramène chez moi pendant les dimanches près-midis du passés à regarder mon père faire des boulettes de viande et de la sauce tomate. A partir de maintenant, le goût des calissons me rappellera la magie de la Provence et de mon séjour d’études dans l’ensemble. Proust peut garder ses madeleines— passez-moi un autre calisson, s’il vous plaît.

The adventures of Sarah and Lauren during winter break

Sarah in Marroco

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

During my winter break, I visited the city of Marrakech in southern Morocco. I along with twenty-seven other Americans, spent the weekend exploring the city but we also took trips to the Ourika valley and the Atlas Mountains. In Marrakech, we visited the souks, the Jamma El Fna Square, the Ben Youssef Mosque and the Marrakech Museum. Outside the city, we visited a Berber family (the native people to this region of Morocco) who live just outside the city, where we drank mint tea and ate traditional Berber bread.

Morocco’s national drink is mint tea, a green tea with a ton of sugar in it; it’s delicious. One, night, we ate dinner in the Djemma el Fna , where we were served brochettes of grilled chicken, beef, lamb, and vegetables, as well bread, olives, fries, and mint tea. It was an interesting experience because while we were eating dinner outside, many people approached us tried to sell us food and cigarettes, and children tried to sell us packages of tissues. We also ate lots of tajines and couscous during our stay.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

One of the most exciting parts of the trips was going canyoning in the Atlas mountains. It was an exhilarating experience climbing down waterfalls, and jumping and wading  through the streams. We began our journey a little bit late (everything in Morocco happens about two hours after it’s scheduled to begin) so by the time we finished it was dark outside but it was still an amazing afternoon.

It was also fun to explore the souks and barter with the shop owners. In one store I, along with three friends, found scarves we liked. The shop owner originally said they cost 200 durhams each (20 euros) and we offered 200 durhams for four scarves. He said no and went down to 150 each etc… When he wouldn’t go any lower (we were at about 70 durhams each) we said thank you and walked away. About thirty seconds later he followed us and agreed to sell us four scarves for what we had originally offered.

 

I loved my time in Morocco. It was nice to not have to plan anything but to follow a schedule and have someone else be in charge. It was also nice to spend time in a culture so different from any I had previously visited (even though the cat calls did start get to annoying). In the end, it was nice to come back to my home in Toulouse.

 

 

 

 

 

 

 

 

Lauren in Lisbon

Lisbon is an incredible beautiful city, and the beach is equally as gorgeous as the city! After spending a few days wandering the around, we decided that we needed a bit of sun and relaxation. Despite how difficult it was to find the right bus to get us there, it ended up being the best part of our trip! Discovering the other side of the Atlantic, I think, is the most impressive experience I have had in my european travels to date.

 

Paris

Paris, by the students

Last month we spent 5 days in Paris and every student experienced it differently.

 

Anna and  French tradition

We are all familiar with the timeless photo of the french man on his bike, wearing his béret and carrying his baguette.  I had been told that this stereotype of France no longer existed but perhaps the style has just been modernized.  Just outside of Notre Dame, I took this photo of this man on his bike with is hat.  Times may have changed but I was happy to see that this stereotype had not completely dissapeared !

 

 

 

 

 

 

 

Take Me to the River : Thoughts on the Seine

All descriptions of ancient civilizations begin with the same observation: all of them were built by a river. Beyond the logical explanations for this necessary ingredient in the great recipe book of human development (Create Your Own Prehistoric Settlement! Just Add Water), the very concept of water holds an almost magical place in the human imagination. Think of old sailing maps: there be dragons drawn in the vast blank spaces of ocean. Of course, considering our history, this is especially true for rivers. From Joni Mitchell to Joseph Conrad, rivers are all at once responsible for supporting a stabilized kind of life in one location and representative of the limitless and terrifying unknown that is, to quote Pocahontas, just around the river bend.

And the Seine? Yes, it too possesses this magical, paradoxical quality of here and there, stability and movement, past, present and future. Yet the Seine is also unique, in that it is located in one of the most unique cities in the world: Paris. Walking along the banks of the Seine—a phrase impossible to utter without sounding like a hopeless romantic—can only be described like wandering into the 1951 film, An American in Paris. If you’ve seen it, you know why I’ve chosen this photograph of Gene Kelly and Leslie Caron dancing by the Seine. It’s a moment without words, all soft violins and enchanted fog. The existence of love and magic is not only probable but certain. That is the Seine. That is Paris.

 

 

 

 

 

 

 

Mai-Anh and the impressionists

Even though almost everything about our voyage to Paris was magnificent, the thing that made the biggest impression on me was, what else?, the impressionists. I’d always appreciated their work, but after our visit to the Musée D’Orsay that first day where we passed by the floor with Degas, Monet, and Manet, I became completely mesmerized. In the following days, I preceded to visit the Musée Maumatton-Monet and l’Orangerie in an effort to see as many of their works as possible. There was something about the colors, the small brushstrokes, and the scenes of nature and water that really moved me somehow.  With all my memories of Paris and of my time in France so far, the feeling of awe and serenity that I had when standing in front of the impressionist masterpieces will definitely be one that stays with me long after I return home.

 

 

 

 

 

 

Melynda and the Eiffel Tower

Hereis a photo of the Eiffel Tower : one of my life dreams.  When I arrivied at the Eiffel Tower, I was impressed.  A tower that was built for the Universal Exposition of 1889 in France, it was ironically initially concidered ugly by many French people.  However, aftercliming the 324 m tower, I had one of the most breathtaking views of my life : Paris at Sunset.  Upon decending from the tower, it also did not hurt that I was welcomed to a light show of twinkling lights.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Beth and Ladurée

Among the many stores that line the Champs Elysees is the famous boutique Ladurée. The sweets shop is known not only for its desserts, but also for its elegant décor. It is what makes waiting in a line a pleasant experience, because it is always crowded at Ladurée. The desserts are expensive (twelve Euros for eight macaroons,) but they’re well worth the price. The macaroons are amazing – particularly the salted caramel!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Carina and Versailles

On one of the days of our trip to Paris, I and three other girls from the program went to Versailles. Seeing the palace for the first time, I was surprised by how much gold there was. If the people of France didn’t even have enough to eat in 1789, I can imagine how the King’s gold fence made the mad! We also explored the inside of the building. Since it wasn’t very nice out that day, there weren’t very many people at Versailles and we could take our time looking at each room.  I spent a particularly long time in Marie Antoinette’s bedroom thinking about what her life must have been like before the revolution.

 

 

 

 

 

 

 

Megan and the “catacombes”

The catacombs of Paris (the municipal ossuary), around 1.7 kilometers long and underground, are a system of ancient tunnels that contains the remains of more than 6 million people. First you descends the narrow stairwell into almost total darkness, where the only sound you can hear is the creepy gurgling noise of rushing water from a nearby aquaduct. When you reach to the entry to the catacombs, you see a sign that says ” Halt !, this is the Empire of Death !). After the sign begins a series of walls and halls of bones, and it’s hard not to be impressed by the sight of it. The catacombs of Paris have historical importance: Victor Hugo described the tunnel system in Les Misérables , and members of the French Resistance during the Wolrd War II used the elaborate labyrinth of halls to hide effectively.

 

 

 

 

 

 

 

Julia and the Centre Pompidou

The Centre Pompidou is a cultural institution dedicated to modern and contemporary art.  A huge building located in the 4th arrondissement of Paris, my first impression of the Centre Pompidou was that it looked completely out of place in the Beaubourg neighborhood.  I also immediately noticed the original architecture of the building, which has placed the mechanical structures on the outside of the building.  While the outside of the building is quite impressive, the inside is even better, as it is spacious and dynamic, and holds the national modern art museum, a major public library, temporary exhibitions, concert halls and a cinema.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci and the Jeu de Paume gallery

The Jeu de Paume, a gallery of modern and contemporary art in the Jardin des Tuileries, was a revelation for me.  The two main exhibitions featured the photographic careers of two artists who seem quite different from one another: Berenice Abbott, an American, and China’s Ai Weiwei. Both spent the early part of their careers abroad.  At the beginning of the 1920s, Abbott left for Paris, where she studied with Man Ray and photographed cultural celebrities the likes of James Joyce and John Cocteau. Weiwei spent his youth in New York City, where he recorded the Chinese avant-garde community in America during the 1980s. All the same, these two artists quickly learned that their home countries held the strongest attraction and for them.  Abbott returned in 1929 to begin a project to photographically document the architectural richness of New York City, finding work during the great depression with the Works Progress Administration.  Obligated to return to China to see his sick father, Weiwei stayed, and his art became more and more politically engaged in the face of his country’s humanitarian offenses.  When I take a moment to think about them, I find that these two artists’ experiences share much in common.  Like us, they left home to explore and to learn; and, though they didn’t expect it, they came back with an informed perspective and a renewed engagement with their own countries.

 

 

 

 

 

 

Ryan and La Villette

La Villette is special for me because it is a tradition for my family to go to La Villette and watch an IMAX at La Geode or hang out in the park or look at the exibits in the museum. La Villette is situated along the Canal Saint Martin, which give the area a magnificant scenery unlike any other in Paris. TH large park is great for young people and when I am there with my dad, we ere very american toss around a football.

L’excursion à Paris vue par les étudiants

Anna et la tradition française:

La photo du garçon sur son vélo avecun béret et une baguette est familière pour tout le monde.  Mais, la France a beaucoup changé depuis les années cinquante, non? Juste à coté de Notre Dame, j’ai pris cette photo, d’un garçon avec son chapeau sur un vélo.  On peut voir que les temps ont changé mais j’étais heureuse de voir que cela n’a pas disparu complètement!

 

 

 

 

 

 

Christina et la Seine:

Amenez-moi au fleuve : Les songes de la Seine
Toutes les descriptions de civilisations anciennes commencent avec la même observation : toutes ont été construites près d’un fleuve. Au-delà des explications logiques à la présence de cet ingrédient nécessaire dans le grand livre des recettes du développement humain (Créez Votre Propre Village Préhistorique ! Ajoutez Juste l’Eau !), le concept de l’eau tient une place presque magique dans l’imagination humaine. Pensons aux vieilles cartes de navigation : il y avait des dragons dessinés dans les vastes espaces blancs de l’océan. Bien sûr, en considérant notre histoire, l’importance de l’eau est aussi vraie pour les fleuves. De Joni Mitchell à Joseph Conrad, les fleuves sont à la fois des soutiens à une vie stabilisée dans un lieu et représentatifs de l’inconnue illimitée et épouvantable.
Eh bien, qu’en est-il de la Seine ? Oui, elle possède aussi cette qualité magique et paradoxale de stabilité et de mouvement, évoquant le passé, le présent et l’avenir. Pourtant, la Seine est aussi unique, parce qu’elle se trouve dans l’une des plus villes uniques dans le monde : Paris. On doit décrire une promenade au long de la rive de la Seine— une phrase impossible à dire sans avoir l’air d’un incorrigible romantique— comme une promenade errante dans le film de 1951, Un Américain à Paris. Si vous l’avez vu, vous savez pour quelle raison j’ai choisi cette photographie de Gene Kelly et de Leslie Caron dansant près de la Seine. C’est un moment dans l’intrigue, sans paroles, avec seulement de doux violons et un brouillard enchanté. L’existence de l’amour et de la magie n’est pas seulement probable mais certain. Cela, c’est la Seine. C’est Paris.

 

 

 

 

 

 

Mai-Anh et les impressionnistes:

Bien que presque toutes les choses qu’on a vues pendant notre voyage à Paris étaient magnifiques, la chose qui m’a vraiment impressionnée était, bien sûr, les impressionnistes. Je les ai toujours  aimés, mais après notre visite au Musée D’Orsay pendant laquelle on est passé par l’étage exposant les œuvres de Degas, Monet, Manet, j’étais complètement fascinée. Par ailleurs, dans les jours suivants j’ai visité la Musée Marmottan-Monet et l’Orangerie pour essayer de voir le plus des œuvres possible. Il y avait quelque chose avec les couleurs, les petits coups de pinceau, et les scènes de nature et d’eau qui m’a vraiment touchée.  Avec tous mes souvenirs de Paris et mon séjour en France, les sentiments d’admiration et de sérénité vont rester avec moi pour longtemps.

 

 

 

 

 

 

 

 

Melynda et la Tour Eiffel:

 

Voilà une photo de la Tour Eiffel : un de mes rêves.  Quand je suis arrivée devant la Tour Eiffel, j’étais très impressionnée.  La tour  qui a été construite pour L’Exposition Universelle de 1889 en France, elle était considérée comme laide par la plupart des français.  Cependant, après être montée en haut des 324 mètres , j’ai vu une des meilleures vues de ma vie : Paris au coucher du soleil.  Quand je suis descendue de la tour, c’était pas mal aussi: j’ai été accueillie avec un spectacle de lumières scintillantes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Beth et la magie Ladurée:

Parmi les grands magasins qui s’étendent le long des Champs Élysées, on trouve la fameuse boutique Ladurée. La marque de douceurs et de  gourmandises  est connue non seulement pour les desserts, mais aussi pour l’élégance du décor. Il est agréable, donc, de faire la queue, car il y a toujours beaucoup de monde à Ladurée. Les desserts sont chers, (douze euros pour huit macarons,) mais ils bien valent le prix. Les macarons sont incroyables – le caramel-beurre salé en particulier !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Carina et le château de Versailles:

Pendant notre séjour à Paris, moi et trois autres filles du programme, nous sommes allées à Versailles. Voyant le palais pour la première fois, j’étais étonnée de voir tant d’or. Si les citoyens de la France n’avaient pas assez à manger en 1789, je peux imaginer comment une grille en or les mettrait en colère! On a aussi exploré l’intérieur du bâtiment. Puisqu’il ne faisait pas beau ce jour-là, il n’y avait pas beaucoup de monde à Versailles  et on a pu prendre notre temps regardant chaque salle.  En particulier, je suis restée longtemps dans la chambre de Marie-Antionette, pensant à sa vie avant la révolution.

 

 

 

 

 

 

 

 

Megan et les catacombes:

Les catacombes de Paris (l’ossuaire municipal), longues d’environ 1.7 kilomètres et situées sous la surface, sont d’anciens tunnels qui contiennent les os de 6 millions de morts. On descend l’escalier dans l’obscurité, et la seule chose qui vous entendez est le gargouillis de l’eau de l’aqueduc à proximité. Bientôt, on arrive à l’entrée de l’ossuaire, avec un signe qui dit “Arrête! C’est ici l’empire de la mort.” Au delà du signe commencent les murs et le salles d’os soigneusement rangés. Les catacombes de Paris on une importance historique: Victor Hugo les a décrit dans son œuvre Les Misérables, et pendant la deuxième Guerre Mondiale, la Résistance française s’est cachée dans les tunnels de 1.7 kilomètre de long.

 

 

 

 

 

 

 

 

Julia et le Centre Pompidou:

Le Centre Pompidou est une institution culturelle consacrée aux oeuvres modernes et contemporains. Le bâtiment énorme et situé dans le 4ème arrondissement de Paris.  J’ai immédiatement remarqué que le Centre Pompidou ne ressemble pas au reste du quartier Beaubourg.  J’ai aussi remarqué l’originalité de l’architecture, qui déplace les structures mécaniques à l’extérieur du bâtiment.  Néanmoins l’intérieur du bâtiment est  plus impressionnant que l’extérieur.  C’est un grand espace ouvert et dynamique qui abrite le musée national d’Art moderne, la bibliothèque publique d’information, des exhibitions temporaires, des salles de spectacle et un cinéma.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ceci et la Galerie du Jeu de Paume:

Le Jeu de Paume, une galerie d’art moderne et contemporain dans le Jardin des Tuileries, a été pour moi une révélation. Les deux expositions principales montraient les carrières photographiques de deux artistes apparemment tout à fait différents : l’Américaine Berenice Abbott et le Chinois Ai Weiwei. Chacun a passé le début de sa carrière à l’étranger. Abbott est partie à Paris au début des années 20, où elle a étudié avec Man Ray et photographié des personnages comme James Joyce et John Cocteau. Weiwei a passé sa jeunesse à New York où il a capturé le milieu avant-gardiste chinois en Amérique pendant les années 80. Toutefois, ces deux artistes ont vite trouvé que leurs pays d’origine avaient une attirance irrésistible. Abbott est revenue en 1929 pour commencer un projet de photographie documentaire de la ville de New York. Obligé de retourner en Chine pendant la maladie de son père, Weiwei est resté là, et son art est devenu de plus en plus engagé vers les problèmes humanitaires dans son pays. En réfléchissant, je trouve que les expériences de ces deux artistes ont beaucoup en commun avec la notre. Comme nous, ils ont quitté leurs patries ; même s’ils ne s’y attendaient pas, ils ont développé un regard informé et un engagement renouvelé vers leurs propres pays.

 

 

 

 

 

 

 

 

Ryan et le quartier de la Villette:

 

Le quartier de la Villette est spécial pour moi parce que c’est une tradition de ma famille d’y aller pour regarder un film en IMAX à la géode, de se balader dans le parc ou de voir les expositions du musée. La Villette est située sur le canal Saint-Martin, ce qui constitue un paysage magnifique qui n’a jamais été reproduit à Paris. Le grand parc est bien pour les jeunes et quand je suis là avec mon père,  nous sommes très américains et nous jouons au football américain dans le parc.

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