Description: Je trouve de vraies différences entre les attitudes françaises et américaines envers leurs chiens. Aux Etats-Unis, les gens sont très prudents avec eux ; ils sont toujours en laisses et il est impoli de ne pas nettoyer leurs déchets. En France, je trouve que c’est exactement l’inverse ; les gens laissent leurs chiens se promener sans un laisse et le déchet n’est pas souvent nettoyé. Je pense que la différence est un peu inquiétante, parce que je ne veux pas me promener dans le déchet et de voir les chiens qui s’enfuissent de leurs propriétaires.
Interprétation: Avant tout, les chiens sont élevés pour être indépendants. Comme les chiens sont intelligents, ils savent que ne pas suivre leurs propriétaires pouvoir mener à la faim ou être frappé par une voiture. Les gens enseignent leurs chiens dans un moyen plus strict pour les amener dans les rues sans des laisses. De plus, les déchets peuvent être expliqués par une attitude plus relaxe vers les chiens. Les Français sentent que quelqu’un d’autre va ranger les rues, parce que l’état a un rôle plus grand dans leurs vies. Les sacs pour ranger les déchets ne sont pas si disponibles qu’aux Etats-Unis, alors il est probable que les gens n’ont pas un moyen de le ranger, et donc ils laissent l’état à le faire. Il est aussi possible que, en France, les policiers n’imposent pas les règles de nettoyer après les chiens ; aux Etats-Unis, ils vont vous dire de ranger le déchet des chiens.
Explication: Je trouve que les Français ont plus de foi dans leurs chiens pour bien se tenir et dans l’état de ranger les trottoirs. Moi, je préfère l’habitude des Etats-Unis, parce que j’aime les trottoirs rangés et je me sens plus rassuré avec mes chiens en laisses. Par un contexte historique, je comprends que les Français ont une histoire d’être plus relaxe avec leurs animaux domestiques. Aux Etats-Unis, les animaux sont une partie de la famille, mais en France il me semble qu’ils sont plutôt un animal, que j’ai vu personnellement chez mon hôte. Il est possible que les Français trouvent les Américains trop ennuyés de leurs chiens.