Son statut et son privilège

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“Your resistance: so many sighs for the life you do not dare to live!” -Natalie Clifford Barney, “Their Lovers” (107)

Quand Albert Barney est mort, Natalie Barney a été soutenue pour tout le reste de sa vie. Elle ne travaillait pas parce qu’elle n’avait pas le besoin. Beaucoup de ses collègues écrivaient pour leurs métiers et, plus important, pour l’argent, mais la position socioéconomique de Natalie Barney empêchait cette nécessité (Souhami 251). En fait, elle avait la richesse pour élever le statut de ses amis quand ils luttaient pour faire un profit avec leur art. Toute sa propre écriture venait de la passion: c’était un passe-temps pour son loisir. Pour cette raison, Natalie Barney développait un style d’écriture distinct, ainsi qu’une vue fluide du monde.

“What inner resources one must have to live a life of idleness without tiring.” -Natalie Clifford Barney, “Scatterings” (98)

 

“A thought falls like a ripe fruit from the tree of idleness.” -Natalie Clifford Barney, “Literature” (119)

Natalie Barney attachait de l’importance à une type de vie que la majorité de personnes, et des femmes en particulier, ne pouvaient pas vivre tout le temps (Souhami 252). D’être une partie de cette communauté, on avait besoin de posséder des ressources et de l’indépendance: de penser, de partager ses pensées, et de bouger dans les espaces physiques. La responsabilité de répondre à un père, un frère, ou un mari limitait plusieurs femmes d’être vraiment libres, tout quand Natalie Barney ressentait la joie d’être inoccupé dans ce mouvement crucial. « From a bubble of privilege, she extolled idleness » comme un prérequis pour vraiment se connaître et sa propre place dans le monde (Souhami 252).

“I never explain myself, I do my bidding.” -Natalie Clifford Barney, “Scatterings” (97)

Mais, Paris restait une ville essentielle pour l’évolution d’un monde intellectuel qui défiait les normes du temps…pourquoi ?

La début de sa vie

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“I am a lesbian. One need not hide it nor boast of it, though being other than normal is a perilous advantage.” -Natalie Clifford Barney

Pendant sa vie entière, qui était très longue, Natalie Clifford Barney (1876-1972) transformait en arme son identité lesbien, faisant un avantage d’être distinctement autre. Ses croyances étaient indépendantes et fluidesen nature: la liberté était le droit de sa naissance et elle l’a démontré dans tous ses actions: dans le défi contre son père, son expatriation à Paris, la fondation de son salon, et sa polygamie malfamée avec des femmes (Souhami 216). Elle faisait ce qu’elle voulait, et elle créait elle-même avec un sens de transparence et de privilège.  Pendant l’ère du modernisme, elle confrontait les attentes dans tous les aspects de sa vie.

Albert Clifford Barney, le père de Natalie

Alice Pike Barney, la mère de Natalie

Natalie dans un manteau de fourrure par sa mère

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans son enfance, Natalie Barney observait une dynamique tendue entre ses parents. Son père était alcoolique et il contrôlait chaque mouvement de sa femme, Alice Pike Barney, jusqu’elle developpait pour il un mépris profond. Voyant la position emprisonnée de sa mère qu’elle adorait si chèrement, elle était la première femme qu’elle aimait vraiment, Natalie perdait tous ses sentiments pour son père et s’engagait d’une vie sans son autorité (Souhami 218). Aussi jeune que dix-huit, Natalie commencait des relations avec d’autres femmes, à l’insatisfaction et la déception de son père (Souhami 221). Il la prohibait du contact avec une de ses intérêts romantiques et, même si Natalie essayait de se révolter contre ses règles, elle décidaient à terme de se tenait à une fiançailles « chaste and intellectual » avec un homme (Robert Cassatt) pour protéger la promesse de son héritage (Souhami 225, 227). Quand il est mort finalement à 5 décembre 1902, Natalie s’est retrouvée propriétaire de $2.5 million (égale à $75 million quand ajusté pour l’inflation de 2020). Sans occupation et sans larmes, Natalie décide de se déplacait définitivement pour la France, spécifiquement pour Paris, plus libre que jamais (Souhami 238).