Aie aie aie, les urgences !

Observation :  Hier soir, je suis allée à l’hôpital comme précaution. Comme je suis allée très tard la nuit, il fallait aller aux urgences. Quand je suis arrivée, j’avais besoin de prendre l’ascenseur pour monter au premier étage qui me semblait bizarre. Il n’y avait rien d’utile au rez-de-chaussée qui semble servir comme une barrière entre le dehors et les urgences d’hôpital. Aux États-Unis les urgences de l’hôpital sont le plus accessibles possibles grâce à la nature des « urgences ». Pourquoi est-ce qu’on a cette barrière en France ?

 

Interprétation : Compte tenu du système de l’architecture en France, les rez-de-chaussée et les premiers étages sont également dissemblables entre les États-Unis et la France. Tandis que cela marche dans une maison ou des autres bâtiments, cet aspect dans un hôpital me semble inutile. Peut-être qu’on propose cette barrière pour les raisons de sécurité afin que n’importe qui ne puisse pas entrer. Si on s’éloigne de l’accessibilité, seulement ceux qui sont sérieux vont poursuivre l’entrée. En y réfléchissant, on observe aussi que les français préfèrent fortement l’intimité par rapport aux choses personnelles. Ainsi, on considère potentiellement les urgences comme personnelles et la barrière est une expression de cette préférence pour l’intime. On accentue tellement l’intimité des urgences plutôt que le besoin de l’aide du coup on la protège. Quand j’ai parlé à mes hôtes de cette barrière, ils étaient aussi perplexes que moi. Plutôt que la privatisation des urgences, on m’a expliqué que peut-être c’est plus efficace de mettre l’accès au premier étage à cause de l’orientation et la géographie spatiale.

 

Evaluation : A mon avis, l’accessibilité et l’aide sont les aspects les plus importants par rapport aux urgences. Je pense que l’esprit culturel aux États-Unis comprend le mot « urgence » en tant que quelque chose de problématique qu’on aborde tout de suite tandis que l’esprit français comprend le mot « urgence » en tant que quelque chose à cacher parce que c’est privé. Peut-être que cette barrière française entre le monde et l’hôpital n’est pas partout en France et cela dépend de la population. Hier soir, je n’y ai pas vu beaucoup de monde et il me semblait qu’il n’y avait aucune grave urgence. Cela dit, l’accessibilité aux services de santé est vraiment mieux ici qu’aux États-Unis et il est possible que le manque des urgences vienne de ces soins de santé.

Note avant la correction : 14

Correction pour 06.11



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