BD retour écrit S. LACLEF

Le page sur “la rentrée” m’a donné un sentiment de familiarité. Dans cette partie, Esther décrit les trois groupes dans la classe : les petits, les moyens, et les grands-racailles. Les petits sont les élèves blizzards, les moyens sont les gens normaux, et les grands racailles sont les élèves branchés et populaires. Ce n’est pas des groupes décrits par le collège, ou bien l’État, mais ce sont bien les groupes sociaux créés par les élèves. C’est-à-dire que c’est une hiérarchie sociale dans lequel ils classifient leur statut social. Même s’il est un moyen informel, les classifications des gens existent dans l’État. Dans le système scolaire national, il y a une classification : une élève en situation handicapée. Il y a une panneau qui décrit Arthur avec, “un problème mental d’handicapé” et il est dans le groupe “les petits.” Tous ces termes généraux classifient les élèves avec des problèmes mineurs, comme la dyslexie par exemple, jusqu’à des problèmes plus larges : l’autisme

 

^ Il y a un autre panneau où Esther décrit Maxime comme un garçon qui était très populaire mais maintenant il n’est pas parce qu’il était à l’ hôpital. J’ai fait le lien de cette petite histoire avec le phénomène de “cancel culture.” C’est-à-dire quand on se trompe d’une chose, nous sommes “finis” et il nous rend dans la groupe “les petits.” Ici, on peut voir le lien entre un citoyen et l’état. Voici un garçon qui avait un lien fort avec son état (le college) mais il n’existe pas à cause de son accident pendant l’été. Il ne peut pas être “cool” parce qu’il ne peut pas bouger comme avant.  



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