“Le Goût d’Emma”- Emma Garfinkel

November 1, 2022


Pour ma BD, j’ai décidé de lire “Le Goût d’Emma”. Il s’agit d’une jeune femme qui a
beaucoup de pasison pour la cuisine. Dans le premier chapitre que j’ai lu, Emma a reçu un appel
par le Guide Michelin qui a parlé d’un poste vacant d’inspecteur. Pendant le chapitre, le guide
Michelin a invité Emma a un repas pour discuter de la position, puis Emma a dû écrire sur son
expérience. Finalement, le chapitre termine quand Emma a reçu l’offre pour la poste, et elle l’a
accepté.
La BD m’a fait ressentir très content. Je trouve que les BDs sont en général des histoires
très amusantes avec un intrigue qui est facile à suivre. Je trouve aussi que les images dans les
livres me donnent beaucoup d’amusement. Les images sont très détaillées et montrent les
émotions des personnages très clairement. A cause de ça, c’est plus facile pour moi
d’expérimenter les mêmes émotions que les personnages pendant que je lis l’histoire, parce que
je peux voir les sentiments du personnage sur le papier. Dans la BD, c’est une combinaison avec
les images dans la BD et l’intrigue amusante, qui me donne une expérience d’une lecture très
agréable.
Malgré le fait, que les histoires dans les BDs sont en général très simples et légères, je
trouve que les histoires partagent la culture de la France, mais aussi elles discutent des vrais
problèmes dans la société. Dans ce chapitre, Emma a mangé les repas traditionnels français,
comme le foie gras, et elle a discuté des différences entre les spécialités des différentes régions
en France. En même temps, ce chapitre fait allusion à des problèmes du sexisme en France.
Pendant l’histoire, l’interviewer a posé une question à Emma sur le fait que ce travail a des
longues heures et qu’Emma ne peut pas rester chez elle avec les enfants pendant la journée.
Emma a dû se défendre pendant l’entretien sur le fait quelle peut travailler malgré le fait qu’elle
est une femme. Cette situation décrit un problème que de nombreuses femmes rencontrent
lorsqu’elles cherchent du travail, donc cela indique une relation compliquée avec les citoyens et
leur état.
En ajoutant les problèmes du monde réel dans une BD, les lecteurs peuvent apprendre sur
la France et la relation entre les citoyens et leur état.


BD- M.GUNN

November 1, 2022

Pour ma bande desinée, j’ai lu “Les Cahiers D’Esther: Histoires de mes 13 ans” par l’auteur Riad Sattouf. Pour un livre à propos d’une très jeune fille, je ne m’attendais pas à l’aimer beaucoup, mais c’était pas le cas du tout! Tout le monde peut apprendre de choses de la vie d’Esther. J’ai aimé beaucoup cette BD, et honnêtement, je souhaite à continuer de le lire. Ce livre était cassé en beaucoup des parties, chaque avec un sujet different, et chaque à peu pres une page. J’aime aimé ce format, parce que je me suis senti comme chaque page a eu toutes les éléments nécessaires pour dire une complete histoire. Ce que j’ai aimé le plus était le personage principaux, Esther. Elle est en college, et c’est variment facile à comprendre sa mentalité, parce que c’est précisement comme moi, et beaucoup des atures filles, en college. Elle se sent beaucoup d’émotions, de la colère, la tristesse, le bonheur, l’embarras, etc. Elle dépeint aux lecteurs les histores des sujets extremment lié aux filles en college- obtenir des “accolades”, detester les garçons, trouver de l’humour dans la vie (avec les bonnes choses), et naviguer la vie qui changent toujours à une age en évolution rapide. Une partie particulièrement humoureuse est quand Esther discute comment veulent choisir tous les bons garçons dans le monde (ell edit qu’il n’y a beaucoup) et tuer les autres. C’est évidement une chose vraiment intense à dire, mais c’est très lié pour une personne jeune en college. Ils ont la tendance d’être vraiment dramatique! J’imagine que c’est bonne pour les enfants d’avoir une personage comme Esther pour preparer pour cette période de la vie.
Riad Sattouf, l’auteur de ces BD, est un homme dans son âge moyen. Je suis vraiment impressionant qu’il peut capturer le voix d’Esther si bien. Une chose que j’ai apprise en lisant son livre est que l’éxperience des personnes jeunes partout dans le monde est plus similaire que je pensais originalement. J’apprends chaque jour que les américains et les françaises ont plus des similarités que les differences, et les matérielles comme ça m’aide beaucoup.


BD – L.Dickason

November 1, 2022

J’ai lu le BD Les Cahiers d’Esther, Histoires de mes 15 ans. Je l’ai trouve interessante parce qu’il suit la vie d’une fille qui a 15 ans. J’ai lu 18 pages du BD, et l’histoire montre la vie a l’école, a la maison, les relations entres les copines, le petit ami, une fête, et l’émergence du COVID. Une partie qui m’a fait triste était quand Esther parle avec un « ami » qui ne l’a invite aux événements parce qu’elle ne fume pas, et elle n’était pas assez « cool ». Cette partie était une exemple que les jeunes voient pendant les années d’adolescence. Il est difficile d’avoir 15 ans parce que les gens commencent changer, et ces changements peut-être difficiles pour les autres. Je me souviens quand j’avais 15 ans et les autres jeunes commençaient faire des activités plus « adultes ». Ça c’est une changement difficile. Je pense que le BD montre bien les luttes des jeunes dans une façon qui est très facile de comprendre et pas trop compliqué. Une partie qui me montre quelque chose interessante était une partie de l’anniversaire d’Esther. Pour son 15 anniversaire, Esther voulait d’avoir une fête avec l’alcool et tous ses amies. Elle a demandait aux ses parents, et ils ont dit « oui, mais pas l’alcool forts ». Ça m’a choque parce que 15 est très jeune, et si j’ai demande aux mes parents si je peux avoir une fête avec l’alcool a cette âge, ils auraient dit « NON !! ». Je pense que ça c‘est different en France parce que l‘âge de boire est 18, pas 21, donc les gens boivent plus aux âges jeunes. Les parents s’autorisent l’alcool aux âges plus jeunes parce qu’il est un peu plus normale de boire aux âges plus jeunes. D’ailleurs, Esther discute les violences des policiers aux États-Unis. Elle dit qu’elle a un peu peur des policiers après elle voit qu’est ce qui se passe a George Floyd et son meurtre. Je pense qu’il est interessante a lire les sentiments d’Esther quand elle apprend les événements du monde. Elle a 15 ans, donc ses réactions sont lesquels d’une jeune, mais ils sont valides et intéressantes. Je pense que Esther aime son état et territoire, mais elle a des luttes en trouvant son place et son identité en grandissant.


La BD: Le journal d’Aurore- T.Jones

October 31, 2022

Le BD: Le journal d’Aurore Bien que je n’ai pas eu l’occasion de lire autant de ce livre que je l’espérais,Le journal d’Aurore m’a semblé très nostalgique. Ce livre se présente sous la forme d’un journal intime, il est divisé en mois et en jours et le lecteur suit Aurore dans sa vie quotidienne. Cette bande-dessinée trouve le sens et le but dans la vie quotidienne. La vie d’Aurore n’a rien d’extraordinaire, c’est une jeune fille de 14 ans tout à fait normale, qui mène une vie normale et qui est confrontée aux mêmes problèmes que les filles de son âge. Cela peut ne pas sembler très intéressant, mais cette bande dessinée est attachante, touchante, et me rend nostalgique de mes premières années d’adolescence maladroite. Lorsque j’ai commencé à lire, je m’attendais à trouver davantage de différences entre mon enfance et celle d’Aurore. Au lieu de cela, j’ai trouvé une abondance de similitudes entre les deux cultures. Aurore est une adolescente angoissée qui a l’impression de ne pas être à sa place dans sa famille, ses sœurs sont méchantes avec elle et ses parents la traitent comme si elle était une déception. Comme la plupart des adolescents de son âge, elle a l’impression que personne, à l’exception de sa meilleure amie Lola, ne la comprend.Ce journal intime illustré d’Aurore plonge directement le lecteur dans les réalités de l’adolescence et ses constantes tribulations. Lire ce journal, c’est lire mon propre journal, tout le monde peut s’identifier à Aurore. Elle est la jeune version maladroite de nous-mêmes, elle vit les mêmes situations inconfortables que nous. J’ai ressenti toutes les émotions en lisant cette bande dessinée, le bonheur, la tristesse, l’empathie, la nostalgie, je l’ai aussi trouvée très drôle par moments.


BD retour écrit S. LACLEF

October 31, 2022

Le page sur “la rentrée” m’a donné un sentiment de familiarité. Dans cette partie, Esther décrit les trois groupes dans la classe : les petits, les moyens, et les grands-racailles. Les petits sont les élèves blizzards, les moyens sont les gens normaux, et les grands racailles sont les élèves branchés et populaires. Ce n’est pas des groupes décrits par le collège, ou bien l’État, mais ce sont bien les groupes sociaux créés par les élèves. C’est-à-dire que c’est une hiérarchie sociale dans lequel ils classifient leur statut social. Même s’il est un moyen informel, les classifications des gens existent dans l’État. Dans le système scolaire national, il y a une classification : une élève en situation handicapée. Il y a une panneau qui décrit Arthur avec, “un problème mental d’handicapé” et il est dans le groupe “les petits.” Tous ces termes généraux classifient les élèves avec des problèmes mineurs, comme la dyslexie par exemple, jusqu’à des problèmes plus larges : l’autisme

 

^ Il y a un autre panneau où Esther décrit Maxime comme un garçon qui était très populaire mais maintenant il n’est pas parce qu’il était à l’ hôpital. J’ai fait le lien de cette petite histoire avec le phénomène de “cancel culture.” C’est-à-dire quand on se trompe d’une chose, nous sommes “finis” et il nous rend dans la groupe “les petits.” Ici, on peut voir le lien entre un citoyen et l’état. Voici un garçon qui avait un lien fort avec son état (le college) mais il n’existe pas à cause de son accident pendant l’été. Il ne peut pas être “cool” parce qu’il ne peut pas bouger comme avant.  


Zoe Knoernschild BD en Classe 28.10

October 31, 2022

Pour ma BD en classe, j’ai lu quelques pages du livre “Les Cahiers d’Esther – Histoires de mes 16 ans” de Riad Sattouf. J’ai vraiment apprécié les parties du livre que j’ai lues ! Cela m’a rappelé un roman graphique que j’ai lu quand j’étais au collège et qui était raconté de la même manière. Le livre raconte des histoires vraies qui sont arrivées à une fille nommée Esther A. qui avait 15 ans dans les histoires que j’ai lues aujourd’hui. Les choses dont elle parle sont des choses dont je me souviens de ma propre expérience au lycée, c’était amusant d’y penser et de les comparer. La première BD que j’ai lue s’appelait “La technique de pervers”. Dans cette BD, Esther remarque que les gens de sa classe de seconde ont changé. Elle raconte que dès qu’ils ont une pause dans la journée de classe, ils sortent tous pour fumer des cigarettes. Esther dit “ils prennent des poses sérieuses comme s’ils étaient des adultes, un truc de ouf”. Esther ne fume pas, alors que tous les élèves populaires le font, et elle dit qu’ils la regardent comme s’ils étaient dans une position élevée et qu’elle était un bébé. De plus, elle ajoute que les drogues comme le haschich sont populaires et que les gens en fument aussi en dehors de l’école. Cette BD était très intéressante car elle m’a appris beaucoup de choses sur la vie des lycéens français. D’une certaine manière, elle m’a rappelé mes expériences, surtout en ce qui concerne les drogues, car les jeunes populaires de mon lycée ont commencé à fumer de l’herbe quand j’avais 15 ans. Cependant, la culture entourant la cigarette était très différente. Le tabac n’était pas autorisé dans l’enceinte de mon école et il était difficile d’en acheter parce que les États-Unis vérifient plus sérieusement les pièces d’identité. Bien que je ne puisse pas faire le rapprochement, je ne suis pas surpris que tant de camarades de classe d’Esther fument entre les cours. Les cigarettes font partie intégrante de la culture française et sont beaucoup plus acceptables et accessibles ici. La deuxième BD que j’ai lue s’appelait “La situation Gravissime”. Dans cette BD, Esther utilise sa carte d’étudiant pour faire entrer un garçon de sa classe dans le bâtiment car il a oublié la sienne. Cependant, un pion a pris la carte du garçon pour vérifier son identité et s’est extrêmement énervé contre Esther. Ils ont réagi comme si elle avait laissé entrer un parfait inconnu dans l’école au lieu d’un camarade de classe. Elle a essayé d’expliquer la situation mais le pion n’a pas voulu l’écouter. Il l’a emmenée dans le bureau et l’a interrogée, Esther a dit qu’il “m’a harcelée de questions comme si j’étais une TERRORISTE.” Pour son punition, elle a été renvoyée chez elle et contrainte d’écrire une dissertation sur la citoyenneté et le respect des règles. C’était très intéressant à lire car cela montre les différences de punition, de confiance et de sécurité entre la France et les États-Unis. Je doute fort qu’une punition aussi sévère puisse être infligée aux Etats-Unis, car ils auraient parlé à Esther et compris qu’elle laissait entrer le garçon uniquement parce qu’elle le connaissait. Les règles en France sont beaucoup plus strictes et laissent moins de place à l’humain, alors qu’aux Etats-Unis, j’ai l’impression que les choses sont un peu plus compréhensives et moins sévères


Mae Ryan 28.10

October 31, 2022

Mae Ryan

28.10

Le BD que j’ai lu était écrit et dessiné par Riad Sattouf. Le livre s’appelle Les Cahiers D’Esther: Histoire de mes 10 ans. Chaque page est une histoire vraie de sa vie de quand elle avait 9 a 10 ans. Pour contextualiser il y a aussi des descriptions de sa famille et ses amies mais ce sont toutes des vraies histoires. Quand j’ai lu au bas de la page “D’après une histoire vrai racontée par Esther A., 9 ans” j’étais un peux surpris parce que les expériences de cette fille sont ultra similaire à mes expériences quand moi j’étais fille. Moi aussi j’étais dans une école privée avec tous les mêmes jeux qu’elle. J’ai joué aussi au “Maman et Papa” mais nous l’appelons “house”. Je n’aimais pas non plus le garçon quand j’avais 9 ans. Lire que le garçon plus énervant était aussi celui que toutes les filles aimaient ne m’étonne pas du tout.

Lire ce pages m’a fait sourir parce que je souvenez plein de jeux de mon enfance et j’ai pu comprendre d’ou elle venait quand elle disait “En plus je pensais vraiment qu’elle était trop moche pour se faire enlever Violette!” parce que nous disons aux enfants que si les garçons sont méchants avec toi ça veut dire qu’il t’aime. Alors j’avais plein de copines qui étaient enlevées comme Violette.

Il y avait aussi tellement de gros mots utiliser dans des situations qui les mérite pas: “Bonjour conasse”, après chaque but gagner, “ZLATANÉEE PUTAIN”. C’était plutôt les garçons qui les disaient mais elle et ses copines les utilisent et les saches comme même. J’ai appris comment les étudiantes riches et pauvres étaient catégorisées dans son école et ça m’a semblé que les garçons voyaient et présentaient beaucoup plus leurs différences mais les filles le font moins. C’est la même histoire chez moi, les garçons portaient toujours des chemises pleines de marque chère.

C’était plutôt des histoire d’une jeune fille alors j’ai pas eu tellement des critiques sociaux mais c’était comme même intéressant tout ce qu’elle comprend a juste 9 ans.


Le lessive

October 28, 2022

Description:

La première semaine de mon séjour en France, j’ai parlé de la lessive avec mon hôte. Elle m’a montré comment utiliser la machine, et les étapes à suivre. Après m’avoir expliqué la machine à laver, elle m’a dit qu’elle avait un étendoir que je pouvais utiliser pour sécher mes vêtements. J’étais un peu confuse car elle avait un sèche-linge, mais ne l’utilisait pas. Après que j’ai posé des questions sur le sèche-linge, elle m’a dit qu’elle le trouvait trop cher et que l’utilisation d’étendoirs était plus facile et permettait d’économiser de l’énergie. J’ai été un peu surprise parce que cela semblait étrange d’avoir une machine mais de ne pas l’utiliser, mais quand mon hôte m’a expliqué le gaspillage d’énergie, cela m’a paru plus logique.

Interprétation:

Après avoir parlé davantage à mon hôte, elle m’a expliqué que la consommation d’énergie en France est très chère, et qu’il est normal de chercher des moyens d’économiser l’énergie. Elle m’a aidé à comprendre que ce n’est pas parce qu’elle avait accès à la machine à sécher le linge qu’il fallait l’utiliser, parce que c’était un gaspillage d’énergie qui coûte cher. Cette situation était intéressante pour moi parce que j’étudie l’environnement et cette perspective a beaucoup de sens pour moi, mais elle n’existe pas autant aux États-Unis.

Évaluation:

Cette expérience m’a fait réfléchir à la valeur que les États-Unis accordent à la commodité plutôt qu’à la conservation. Je pense que nous attendons que les choses soient faites rapidement et facilement, et nous ne sommes pas prêts à y renoncer. Cette attitude diffère de celle de mon hôte et des autres Français qui comprennent l’importance de la conservation. Je pense que cette expérience m’a fait réfléchir au coût de l’énergie en France et à la façon dont il diffère de celui des États-Unis. Les États-Unis ont une empreinte carbone beaucoup plus élevée que la France, et je pense que c’est en partie dû aux différences dans les pratiques quotidiennes. Bien que cela ait été un peu difficile de s’adapter au début, il est maintenant normal de sécher mes vêtements à l’air libre et je ne pense pas à utiliser un sèche-linge autant que lorsque je suis arrivée.


Halloween en France ?

October 28, 2022

Description :

En me promenant dans Toulouse, j’ai remarqué de nombreuses décorations, costumes et produits d’Halloween en vente. Même dans une parapharmacie, il y avait des décorations d’Halloween sur tout le plafond et une femme qui se tenait devant avec son chien dans un costume de jack-o-lanterne. Lorsque je faisais du bénévolat dans un lycée et un collège, leurs plans de cours avant les vacances concernaient Halloween – nous avons même regardé un extrait de L’Étrange Noël de Monsieur Jack (The Nightmare Before Christmas) ! La présence d’Halloween en France m’a surprise car on m’a toujours dit que les Français ne le fêtaient pas. Si c’est vrai, pourquoi tout est sur le thème d’Halloween à Toulouse en ce moment ?

Interprétation :

J’ai décidé de parler à la classe de première dans mon bénévolat pour essayer de savoir si Halloween était réellement important en France. Après avoir demandé aux étudiants s’ils avaient des projets pour Halloween, ils m’ont répondu qu’ils ne le fêtaient pas vraiment. Ils ne vont pas à passer de maison pour se faire offrir des friandises et ne sculptent pas de citrouilles. Il me semble que la seule véritables célébrations sont les décorations et les fêtes d’Halloween, généralement organisées par de jeunes.

Evaluation :

Dans l’ensemble, j’aime que les Français célèbrent certaines parties d’Halloween. Je me sens un peu mal pour les enfants parce qu’ils ne profitent pas de la meilleure partie : d’aller de maison en maison pour chercher des bonbons. C’était une agréable surprise de voir autant d’esprit d’Halloween dans les rues de Toulouse ; je me sentais un peu plus comme à ma maison et cela compensait le manque des traditions d’automne que je célèbre chez moi.


Les Emploi De Temps en College

October 28, 2022

Description:

Mon bénévolat à ARPEJ, une organisation qui connecte les étudiants qui ont besoin d’aide avec leurs travailles avec des gens qui veulent les aider, m’a donné l’opportunité d’en savoir plus sur les écoles en France et comment vivent les étudiants. Ma première élève, Salim, est super gentille, et assez drôle. Il était surtout très patient avec moi. Ont à travailler sur son speech pour un débat de qui va être le délégué de son année. Comme il était mon premier élève et je n’étais pas familier avec comment ça marche les collèges ni les lycées en France. Il m’a expliqué que une de ses demandes de l’école, si lu était élu serait qu’ils commençaient et terminaient les journées a la même fois chaque jour. J’étais confus parce que comment ça se fait qu’ils n’aient pas des horaires habituelle tous les jours pour l’école? Enfaite parfois il a cour qui commence a neuve heure mais aussi parfois huit heure et demi. Le mardi et jeudi il fait du sport alors il fini ses cours a quatre heure mais il rentre chez lui vers six heure. Mais il termine ces vendredi à trois heure et demi. Il n’a pas non plus le déjeuner a la même heure tous les jours et le déjeuner le plus fort qu’il a duré une heure. Et en plus il a juste un cours mercredi! Je n’ai pas pu le suivre quand il essayait de m’expliquer, j’ai dû regarder son emploi du temps moi même.

Interprétation:

C’est sans doute un système d’éducation âgé qui date depuis longtemps mais je trouve qu’il n’a aucun sens. C’est une histoire d’administration français que je ne comprends pas. J’ai parlé avec un ami allemand, Kaner, et il était d’accord avec moi que c’était un peu chaotique. Par contre il a aussi dit qu’il comprenait que les français ont leurs propres manières d’organisation et il trouve que peut être avec ce système les élèves ont toutes des emploi de temps qui correspond le mieux avec leurs nécessités.  

Evaluation: 

Après mes conversations avec Salim et Kaner, je trouve comme même que c’est incroyable comment les français détestent le changement. Ils ont leurs habitudes d’origine inconnu incrusté dans la culture et je ne sais pas si je pourrais être élève en collège ou lycée ici après être élève aux Etats Unis.