La culture du BDE
Description
Cette photo montre un pull que j’ai commandé chez Sciences Po Toulouse et qui je viens de recevoir la semaine dernière. Le ‘BDE’, ou le Bureau des Etudiants, a organisé une commande de ces pulls pour tous les étudiants qui voulaient en acheter un. Quand j’apprenais que le BDE l’a organisé pour nous, j’ai décidé qu’un pull serait une commémoration superbe pour me rappeler de mon temps à Toulouse. Le premier jour après qu’ils fussent disponibles à être attrapés par les étudiants d’IEP, tout le monde a porté leur pull.
Interprétation
L’idée des BDEs en France et presque pareille aux ‘Student Unions’ aux Etats-Unis, cependant la culture autour les BDEs est beaucoup plus comme des associations fraternelles que des associations professionnelles ou formelles. Je viens de découvrir que mon hôte était le président de son BDE quand il était un étudiant à l’université, donc je lui ai demandé comment le processus marche. Il y a des ‘listes’ qui sont des groupes des personnes qui font campagne pendant quelques semaines. Comme je l’ai vu, les listes essaient de convaincre les étudiants de voter pour eux par des moyens petits, comme donnant des petits déjeuners gratuits avant les cours, mais aussi par des modes plus ostentatoire, comme faisant des fêtes gratuites pour leurs camarades aux boites à travers de Toulouse. Les listes me semblent d’être plus comme des ‘fraternités’ américains que les gens sérieux de vouloir diriger leurs pairs. J’en ai discuté avec quelques amies françaises parce que ces soirées semblent bizarres selon mon idée d’un groupe qui va gérer les autres étudiants. Elles m’ont dit qu’aux Etats Unis, c’est beaucoup plus sérieux et formel qu’en France, mais que les listes sont toujours très importantes pour les étudiants et qu’ils organisent beaucoup des choses pendant l’année.
Evaluation
Puisqu’en France il n’y a rien des ‘fraternités’ ou des ‘sororités’ du sens américain, les listes et le BDE semblent être ses équivalents. Je pense que c’est réconfortant pour moi de trouver des liens pareils à celui-ci entre la culture de mon propre pays et celle de la France. Il rend l’université française un peu moins choquante, angoissante, et simplement différente que mon expérience à WashU. De plus, il a changé ma perception initiale des étudiants à l’IEP comme des gens toujours stressés et qui sont toujours en train de travailler. Maintenant, j’ai la perception qu’ils sont juste des jeunes qui veulent apprendre mais aussi rencontrer des amis, sortir aux soirées, et expérimenter avec leur indépendance – comme nous aux Etats-Unis.
Note avant la correction : 16