Numero 5 Bar a Vin: Cas exemplaire de la futur de travaille en France?

November 28, 2017

Cette semaine, mon petite amie m’a rendue visite ici a Toulouse. Comme un bon Toulousain, je n’ai pas hésite de lui montrer mon bar préféré: Numéro 5 Wine Bar. Pour ceux qui ne le connaissent pas, le Numéro 5 est un des bars le plus renommée a Toulouse, et probablement dans la région d’Occitanie. En arrivant, le Numéro 5 semble au début tout a fait comme un bar ou un cave de vin bien normal. Sauf que, au lieu d’un sommelier qui te conseille quelle rose ira le mieux avec ton fromage, le Numéro 5 utilise des distributeurs automatiques est un carte ou on paie en avance. Si a ce point la vous croyez que je vais vous faire un revue des vins, vous seriez bien déçus. En faite, ca a pris plusieurs visite au Numéro 5 pour moi de constater comment le bar est un excellent exemple des grands thèmes de la travaille et bien la société française.

Comment ca, un cave de vin comme l’exemplaire du travaille contemporaine en France? Eh ben oui. D’abord, le Numéro 5 valorise quelques éléments traditionnels de la société Française: on peut facilement déguster des bons crus de la Corse,  Bordeaux, et même de l’Argentine. C’est en gardant avec la tradition de l’artisanat en France que le Numéro 5 est bien comme beaucoup d’autre caves de vins ici en France. Mais dans un notre sens, le Numéro 5 se distingue d’un grand majorité des principes de la travaille en France.

Avec une emphase sur la technologie, le choix individuel et le remets en cause des sommeliers traditionnels, le Numéro 5 est un cas exemplaire d’une manière parmi plusieurs dont les traditions de la France s’adaptent au futur. Le succès du bar Numéro 5 démontre comment les traditions peuvent s’adapter avec la technologie pour créer des nouvelles expériences. Cela ce n’est pas pour dire que des restaurants ou des bars comme Numéro 5 sont la seule manière de concevoir la futur de la gastronomie, du vendange, et surtout non du travail en France. C’est juste pour dire, que parfois dans des endroits où on n’attend pas du tout, on peut voire des bons exemples des changements structurels dans l’économie française.


La France comporte l’individualisme ?

November 22, 2017

Description:

Pendant un de mes cours mon professeur nous a fait travailler en groupe comme elle avait un nombre limité des articles qu’elle voudrait qu’on lise. Dans mon groupe il y avait deux personnes, un Français et une Malgache, en plus que moi. J’ai suggéré à mes camarades peux-etre un d’eux peut lire en haute voix comme c’était dur pour nous les trois à lire le même papier comment nous étions positionnés. L’étudiante étrangère a dit qu’elle ne voulait pas le faire et l’étudiant français a été surpris par ma question, mais il a quand même dit oui.

Interprétation:

Il a commencé à lire et tout de suite il est arrêté, il nous a demandé “ce n’est pas bizarre, non ?” Et moi j’ai dit “Non.” Il a continué la lecture en haute voix et soudainement il est arrêté. Il nous a expliqué ” Je peux pas, c’est trop bizarre.” Pendant le temps il lisait j’ai remarqué que le niveau du volume il commençait avec n’était jamais lequel il terminait avec parce que soit il avait peur ou il avait honte du fait qu’il lisait en haute voix. Je ne sais pas exactement comment il sentait et je ne vais pas arriver à une conclusion. Cependant, je me souviens d’une discussion que moi et une amie française a eu autour de la mode française. Elle m’a dit “En France, on dit qu’on ne porte plus que trois couleurs.” Je lui ai répondu “Ah bon ? Je l’ai jamais entendu. Donc, les Français restent dans leurs cardes sociales ?” J’ai posé cette question parce que je me suis rendu compte qu’en fait c’est vrai ce que mon amie m’a dit parce que la grande majorité des Français s’habillent de la même manière, sans beaucoup de couleurs. Ce phénomène est très évident pour moi parce que je suis une étrangère que se trouve avec deux cultures où porter les couleurs sont bien appréciées, donc je suis dans les lieux publics je pense que c’est évident que je suis remarquable parmi les Français à cause de la manière j’habille. Il est indéniable que peux être mon collègue a trouvé ma proposition étrange parce que ce n’est pas fait normalement.

Évaluation:

La collectivité française ne comporte pas l’individualisme aux dépends de l’image que les Français et l’Etat français ont construit d’eux-même, même si cela veut dire qu’il y a des identités qui seront inconnues ou bien niées pour la glorification de Marianne et sa république.


Crêpes et Stéréotypes

November 22, 2017

Description

J’ai réalisé cette semaine dernière que je n’ai pas eue de crêpe ici en France. Donc pour remédier cette situation, mes hôtes et moi avons fait des crêpes le dimanche. C’était une soirée amusante remplie de crêpes et une nouvelle perspective sur les stéréotypes français que j’ai eues.

Avant que je sois partie des États-Unis, je croyais qu’en France les crêpes sont très typiques. Je pensais que partout le France, il va avoir beaucoup de crêpes partout les rues. Mais malheureusement à Toulouse, les rues ne sont pas remplies des crêpes. Ils vendent rarement dans les restaurants ou  de petites crêpes dans les rues. Selon aux mes hôtes, dans leur enfance, ils n’avaient pas mangé les crêpes. Les crêpes pour ils, n’était pas typique. Alors c’était un peu d’une choque quand je suis arrivée. À l’autre cote, quand j’ai eu l’occasion d’aller à Paris, j’ai vu qu’il y avait beaucoup de crêpes. Après d’un peu du temps pour repriser, je me demandai à moi-même; pourquoi y a-t-il plus de crêpes à Paris, mais pas dans les autres villes de France ?

Interprétation :

Selon aux mes hôtes, la raison que crêpes ne sont pas populaires dans la vie quotidienne est parce que les crêpes ne sont pas populaire dans le sud-ouest de la France.  En fait, les crêpes sont des origines de la Bretagne.

Mes hôtes ont fait le lien de la popularité des Crêpes avec Paris. Depuis que le lieu de naissance des crêpes était si proche de Paris, il était largement répandu dans toute la France.  Cette propagation des crêpes est causée par la centralisation de Paris. Contrairement à d’autres villes comme Marseille, Lyon ou encore Toulouse, Paris a toujours été le cœur de la France. Paris est le pionnier original pour l’ensemble du pays, alors si quelque chose a gagné en popularité dans  tout le pays.   Comme l’amour des crêpes s’est répandu dans toute la France, un stéréotype est né. À mesure que les années passent, la popularité  a continué à Paris tandis que dans le reste de la France, sa popularité n’était pas aussi durable.  En conséquence, le reste du monde a une image unique de la France et son amour pour les crêpes. Même si cela n’a jamais été aussi populaire dans le dehors du capital.

C’est logique, cette théorie. Cela explique aussi pourquoi à Paris, les crêpes sont devenues si touristiques. C’est ce stéréotype qui a encouragé l’idée que les crêpes sont populaires dans tout le pays, qu’en fait c’est une écurie de la cuisine française.

Evaluation :

Alors qu’est-ce que cela signifie pour moi, pour les États-Unis et nos stéréotypes sur la France ? L’utilisation du stéréotype de la crêpe est peut-être assez basique, mais je crois que c’est réalisation qui est la porte d’entrée pour briser d’autres stéréotypes que je pourrais avoir propos de la France.  Quand j’ai réalisé que j’avais stéréotypé l’utilisation des crêpes en France, cela m’a fait penser à d’autres choses que j’ai stéréotypées. J’essaie d’être une personne généralement ouverte qui est consciente de ces stéréotypes, alors cela moi vraiment pris par surprise comment ce stéréotype était cache. Ses types des moments que nous rappeler de constamment défier nos croyances en interagissant avec des personnes de différentes perspectives et cultures.


Le concert de Petit Biscuit

November 21, 2017

 

Description

Voilà une photo d’un concert de Petit Biscuit, un jeune DJ français de la musique électronique. Il a eu des concerts partout en France cette année, en visite à Paris, à Rouen, à Grenoble, à Bordeaux et finalement, à Toulouse. Le concert était à la place du Zénith, qui n’est pas loin du centre-ville. Zénith est la plus grande salle de concert de Toulouse et la taille est visible sur la photo. Je ne pouvais pas me rapprocher de l’estrade parce que la zone était complètement remplie. Il y avait une zone debout, où je suis, et une zone assise. Cependant, la zone assise n’était pas aussi pleine. Le concert avait de belles lumières et des images derrières l’estrade et la musique était incroyablement forte. L’écran a changé les vidéos et les lumières pour chaque chanson différente.

Interprétation

Cette concert était quelque chose qui m’a choquée un peu. D’autres concerts auxquels j’ai assisté m’a rendu fatigué à cause de la danse et du chaos à cause des personnes et du bruit. Cependant, ce concert était calme malgré la musique électronique. La musique n’était pas incroyablement différente que d’autres concerts électroniques auxquels j’ai assisté, mais l’environnement du concert était nouveau pour moi. J’ai préféré le style de concert français beaucoup plus. Au lieu de pousser vers l’estrade et de crier et danser, le public écoutait calmement. C’était paisible, il fut une expérience merveilleuse et une surprise culturelle.

Évaluation

J’ai adoré le concert du Petit Biscuit, c’était vraiment l’un des meilleurs concerts de ma vie. La musique n’était pas familière pour moi, mais elle était étonnamment apaisante et belle. Je m’attends à ce que la musique électronique soit forte et parfois odieuse. Cependant, ce concert était incroyablement calme et agréable. Les concerts électroniques aux États-Unis sont trop bruyants, avec trop de monde pas assez d’espace. Je serai incroyablement fatiguée après un concert américain comme ça, mais ce concert était différent. Ce concert français était plus respectable et je crois que la musique électronique française est appréciée d’une manière beaucoup plus artistique que celle des États-Unis.


Une Petite Pause

November 21, 2017

Description:

Ici nous verrons une belle image du jardin des plantes, où j’ai de la chance de traverser chaque jour pendant ma promenade à l’école. C’est un jardin magnifique, plein de végétation luxuriante, les sculptures impressionnant et des oiseaux à errer. Quand il fait beaux, les familles amènent leurs petits enfants au terrain de jeu, des couples sont élongés sur l’herbe et les personnes âgées se reposent sur les bancs. Le temps frais a apporté les vendeurs des marrons et châtaignes, et l’odeur des noix flotte sur le vent. C’est pittoresque et calme, un espace pour la repose et la réflexion.

Interprétation:

Toulouse est pleine d’espaces dévoués à la détente, et les Toulousaines se profitent bien. Ils se séchaient aux soleils dans les jardins, ils jouent le Pétanque dans la rue, ils n’ont pas de la honte d’observer le passage des gens dans la rue… Même la phrase pour une somme, « de prendre une petite pause » respire de la lenteur. Les cafés français sont plus petits que les cafés américains, mais les Toulousaines prennent plus de temps de les boivent. J’ai mentionné ma pensée à mon hôte, qui m’a exprimé comment le rythme de la vie enToulouse est méditatif. L’environnement au Sud aussi contribue à ce style de la vie. C’est plus chaud pour plus de temps, la culture est plus décontractée qu’à Paris ou au Nord, les gens sont moins tendus.

 

Evaluation:

Je trouve de plus en plus que les gens françaises ne sont pas paresseux ou improductives, en fait ils sont bien équilibrés de compartimenter leur travail. Ils respectent la vie privée beaucoup, alors le travail est déclassé aux certaines heures, et ces moments sont pour le travail focalisé. Les étudiants aux Etats-Unis je trouve sont un peu partout. Pour comparaison, la bibliothèque de Dickinson ferme à une heure le matin, mais ici à Toulouse c’est difficile de trouver un café ou une bibliothèque ouvert après 19 heures. Aux Etats-Unis, le travail et les reposes sont mélangées autour du jour, à Toulouse les deux sont séparés strictement. C’est peut-être pourquoi je peux trouver des Toulousaines des tous âges sont affalés partout le jardin à 15 heures.


Un Calendrier des Pompiers et le Respect du Travail

November 21, 2017

Ce soir, en mangeant le dîner avec mon famille d’accueil, il y avait quelqu’un à la porte.

C’est très rare chez nous qu’il y aura quelqu’un à la porte que ni moi, ni Muriel ni Luis n’attendais. Et pourtant, quand mon hôtesse m’a expliqué que c’était les pompiers qui venaient pour collecter de l’argent, je savais que mon sujet de journal changera. Pour l’instant, je ne peux pas confirmer que ce qui m’as arrivée, car mes recherches à trouver des autres organisations des pompiers ont trouvés pour l’instant aucune description d’événements similaires. Heureusement, mon famille d’accueil insiste que les éboueurs, les premiers répondants, et les conducteurs d’ambulance le font aussi !

Avec aucun raison de douter mon famille d’accueil, l’interaction qui venait de se passer devant moi m’a fait beaucoup pensé aux différences entre les relations des citoyens et les services publique de l’état ici en France. Jusqu’au moment, un des plus large contraste entre la France et les Etats-Unis est entre les rapports des citoyens et des soldats. Aux Etats-Unis, on entend souvent qu’il faut « soutenir les troupes », lorsque en France- pays militaire majeure de l’Europe Continentale, – l’armée n’est pas exactement loué par la population générale. Par contre, en ouvrant les yeux un peu aux signes dans la société Française, on peut bien constater encore une révérence pour les professions des classes populaire qui n’existe plus au courant dominant de la culture Américaine. Ce n’est pas qu’un seul exemple. Ça se voie en descendant du bus ou on remercie le conducteur, ou parmi les concurrences du MOF « Meilleur ouvrier en France », ou en mon cas ce soir, la décision d’acheter le calendrier des pompiers.

Quoi, enfin, pourrait ces petites anecdotes culturelles me faire apprendre sur la société française ? Encore une fois, les actualités économiques influencent la vie culturelle de nos sociétés. Pourtant qu’aux Etats-Unis on aimerait bien que la prochaine génération devient des petits Steve Jobs ou Mark Zuckerberg, en France on redonne une certaine dignité a des carrières des ouvriers avec qui on interagi tous les jours. Cela n’est pas pour dire qu’il n’y a pas de pompiers aux Etats-Unis, ni d’entreprises d’informatique ici en France. C’est plutôt pour mettre une emphase sur la manière dont on discute les choix professionnels, et que peut être la vie quotidienne aux Etats-Unis serai un peu mieux si les gens qui cherche à soutenir notre société, pas à le « perturber », était valorisé aussi.


Musee de l’Affiche

November 21, 2017

Samedi dernier, je suis allé au Musée de l’Affiche à Toulouse. Le Musée est situé dans le quartier St. Cyprien, à la rive gauche. Le Musée de l’Affiche montre des anciens posters, avec beaucoup de couleur, qui sont devenu plus artistique à cette époque. Au musée, il y avait une exposition des publicités de l’artiste Saint-Geniès, une affichiste des années 1950 et 1960. Il est né en Bretagne et a fait ses études à Paris. A l’époque il a devenu un très grand peintre, connu tout autour du monde. De plus, il y avait un film qui a montré beaucoup de ses œuvres qui n’étaient pas montré dans l’exposition.

Dans le musée j’aimais bien les couleurs vivants des affiches de Saint-Geniès. Dans ses œuvres, il utilise des symboles et objets très simple, mais la force de ses œuvres vient avec les couleurs. Mais en fait, l’exposition était très petite : le Musée de l’Affiche est vraiment juste une salle. J’étais complètement étonne, parce que j’ai pensé que le musée serait grand avec beaucoup d’affiches. Mais le musée était plutôt une gallérie avec quelques œuvres. Donc pour moi, même si j’aimais bien les affiches et les œuvres, le musée m’a déçu un peu.

Après aller au musée, j’ai fait un peu de recherche pour ce blog. J’ai lu deux petites revues, une en français et une en anglais. J’ai noté que la revue en anglais avait le même sentiment que j’avais au musée : elle a expliqué comment le musée a une salle et que c’est trop petit pour un vrai « musée ». La revue a donné une étoile sur cinq étoiles. Cependant, la revue en français était tellement différente. Elle a décrit les œuvres et les affiches. Peut-être pour les français, ils aiment les petits musées ou ils peuvent prendre du temps pour regarder les œuvres.


Le Pain Toulousain

November 21, 2017

Description

Ceci a été pris à Chez Pain Pain, ma boulangerie-pâtisserie préférée. C’est sur Rue des Lois près de Sciences Po. J’y vais souvent pour acheter des chocolatines et le café. C’est typiquement français et le propriétaire est très sympa. Il y a une autre boulangerie-pâtisserie qui pour moi est l’inverse. Elle s’appelle l’Atelier du Pain. Ce n’est pas ma favorite, car les produits sont quelquefois trop bizarres pour moi et les employés sont moins sympas. Mais l’Atelier du Pain est unique, car c’est ouvert tous les jours 7h à 20h30. Par conséquent, quand c’est dimanche matin et je n’avais pas bien planifié et je veux quelque chose bien à manger, c’est souvent le choix la plus pratique. Du coup, cela présente la grande question : une boulangerie-pâtisserie qui est ouverte pendant les temps non traditionnels (les dimanches, les soirs), est-ce qu’elle est vraiment « française » dans le sens de tradition ?

Interprétation

Une des premières leçons que j’ai apprises est le fait que presque tout est ferme les dimanches. C’était mon deuxième jour en France, je me suis réveillée et j’ai dit à mon hôte, « je pense que je vais au Carrefour aujourd’hui » et elle m’a dit « bah, c’est ferme aujourd’hui ! » C’était une leçon vraiment impressionnante. Aux États-Unis, il y a toujours quelque chose qui est ouvert n’importe quelle heure ou quel jour.

On mange le petit-déjeuner avec un ami de mon hôte quelquefois les dimanches et normalement il trouve des croissants à l’Atelier du Pain bien chauffé. Ils sont magnifiques. Mais c’est vraiment une question de pratique. C’est plus facile pour lui de prendre un croissant en route du métro à chez nous.

Evaluation

Quand Chez Pain Pain reste plus simple, l’Atelier du Pain essaie de faire face à sa réalité physiquement et économiquement. Il est situé sur le grand boulevard qui encercle Toulouse, près du métro, près de Navette, du coup c’est son intérêt d’être plus accessible et divers pour atterrir l’attention des passants. Le fait qu’il est ouvert pendant les mêmes heures chaque jour. Aussi il faut comprendre même que les Français que je connais aiment bien de respirer et reposer les dimanches, des autres aiment d’avoir les ressources plus accessibles aux tous temps. Tous les Français ne sont pas les mêmes en ce cas.


Ma nouvelle coupe

November 21, 2017

Description :

J’ai toujours peur d’aller à un nouveau coiffeur. Au début de ma première année à mon université américaine, j’ai attendu pendant trois mois que je me fasse couper les cheveux. Cependant, bien que je fusse dans une région différente, je pouvais bien communiquer avec le coiffeur en exprimant exactement ce que je voulais pour ma nouvelle coupe. Avant que je sois arrivé en France, je savais que j’aurais besoin de me faire couper les cheveux et depuis mon arrivée, c’est une source constante de l’anxiété pour moi. Avec la barrière de langue, je savais que me faire couper les cheveux serait une expérience éprouvante. Cependant, après quelques mois, j’ai finalement rassemblé du courage pour me faire faire une coupe.

Interprétation :

Je suis allé à un barbier près à Jean d’Arc que j’avais passé devant plusieurs fois avant. En amenant un ami pour de la solidarité, on est entré le barbier et immédiatement, j’ai aperçu quelques différences entre ce coiffeur pour homme et ceux aux Etas Unis. Tout d’abord, il n’y avait pas de réservations. Chaque personne entre et attend en queue. Similaire à mon barbier aux Etas Unis, il y avait une petite partie salon. On peut boire un petit café ou un coca lors d’attendre son coiffeur. Cependant, ici, il y avait de petites télévisions en diffusant le championnat du monde Red Bull de course aérienne. Je me sentais un peu bouleversé au début, mais après quelques minutes je me suis mis à me calmer.

Évaluation :

Finalement, c’était mon tour et le coiffeur m’a dit de venir à sa place. J’ai peiné beaucoup à communiquer comment je voulais mes cheveux d’être coupées. Cependant, je me suis rendu compte que je pourrais le montrer une photo de moi avant que je sois parti des Etas Unis pour exprimer quelle coupe je voulais. Heureusement, cette stratégie a bien marché et peu après, c’était fini.

Globalement, cette expérience est révélatrice de mon séjour en France. Il y avait de nombreuses fois où j’avais du mal à m’exprimer et d’une manière ou d’une autre, je dois trouver un moyen de bien communiquer. Un des dons les plus importants qu’étudier à l’étranger m’enseigne depuis mon arrivée, c’est qu’on a besoin d’agir sur le coup. Il y a de nombreux défis que j’affronte quotidiennement avec la barrière de langue. Cependant, il est essentiel qu’on apprenne de ses erreurs et persévère.


La Tarte à la citrouille!

November 21, 2017
Can of Libby's pumpkin

Libby’s Pumpkin, un ingredient essentiel

Description:

Cette photo montre une boîte de compote de citrouille de “Libby’s”, qui est la marque américaine souvent utilisée pour faire les tartes. Pour moi, cette photo représente non seulement la cuisine de l’automne et la saison des fêtes mais aussi des différences claires entre la France et les États-Unis.

Interprétation:

Mes hôtes continuent à essayer de comprendre le « Thanksgiving » ; comme la France n’a pas de jour férié national dédié à la récolte ni à l’action de grâces, c’est un truc totalement étrange pour eux. La fille, qui adore cuisiner, voulait faire quelque chose de traditionnelle américaine ; j’ai donc proposé la tarte à la citrouille.

Pour trouver les ingrédients, il fallait connaître où aller. Les supermarchés français ont tout dont on a besoin en général, mais peu importe où j’ai cherché la compote, je ne l’ai pas trouvée. Il fallait aller dans un magasin spécialisant en produits « ex-pats », destiné aux anglais et aux américains ici à Toulouse. (Ça s’appelle ‘A m’en donné’, si vous vous intéressez.)

Avec la globalisation, on peut presque oublié qu’on est en France (on ne se rappelle sauf que quand on parle français !) ; il y a une augmentation des similarités entre les pays de l’Ouest. Au supermarché français, je trouve du pain, des œufs, des épices, mais aussi des choses que je ne trouverai jamais aux Etats-Unis : le foie gras, du canard rôti prêt à manger, cinq mille variétés du fromage ; ce sont des choses qui ne m’apparaissent plus nouvelles, mais qui restent comme preuve d’être dans un pays ‘étrange’.

Evaluation :

Après quelques mois à Toulouse, j’avais adapté à beaucoup des différences culturelles et culinaires ; pour exemple, dire « bonjour » est devenu automatique- et la beurre d’arachide ne me manque pas du tout !

Mais c’était bizarre de voir arriver des courges ou des autres légumes d’automne au supermarché, et de ne pas voir la compote de citrouille ou la farce. Cela me montre bien comment j’avais l’impression de m’adapter et, en fait, de regarder le monde autour de moi comme étant très similaire aux USA. Souvent j’oublie que quelque chose n’est pas connu ; l’idée que ma famille d’accueil n’a jamais gouté une tarte à la citrouille ne m’est jamais venu à l’esprit. Je me demande si, retournée aux États-Unis, la disponibilité de quiche ici va me manquer !

SaveSave