Les étudiants nous racontent leur expérience avec les jeunes Français.
Renata : “En travaillant au Foyer Anglais du Mirail, j’ai rencontré beaucoup d’étudiants français très sympas. Je vais rester en contact avec eux grâce à Facebook et j’ai hâte de revoir Nora, une étudiante du Mirail qui va étudier à Dickinson l’année prochaine.”
Ayse : “Je me suis fait quelques amis, et on a prévu de se revoir à l’avenir!”
Marie D : “C’est très difficile de se faire de vrais amis français. Ils sont souvent déjà en groupe depuis le lycée ou ils ont déjà passé une ou deux années universitaires ensemble. Alors, “pénétrer” dans le groupe est vraiment un challenge. Au final, j’ai eu de bonnes relations avec plusieurs camarades (grâce à nos déjeuners de groupe les jeudis), et j’ai passé plusieurs bons moments avec quelques Français que j’ai rencontrés par hasard. Malheureusement, je pense que je ne garderai pas contact avec eux. En revanche, je veux bien garder contact avec ma famille d’accueil.”
Marie K : “Bien que j’aie trouvé difficile de me faire des amis à l’université, j’ai passé de bons moments avec la fille de mes hôtes (qui a le même âge que moi) et ses amis.”
Katherine : “Oui j’ai gardé quelques amis français depuis mon départ. On s’envoie beaucoup de photos via Snapchat !”
Emily : “Au début c’était un peu difficile de rencontrer des français, mais après quelques semaines au Mirail, j’ai commencé a parler avec les étudiants, puis on est devenus amis! Je suis toujours en contact avec une amie de Toulouse et je crois qu’on se verra cette été!”
Nancy : En général, je ne suis pas quelqu’un de très sociable, mais j’ai bien aimé quelques étudiants de mes cours. Au début, j’ai obtenu les numéros de quelques étudiants qui me proposaient leur aide dans mes cours. Je leur ai souvent demandé si je pouvais emprunter leurs notes et ils étaient toujours ravis de les partager avec moi. Quand je ne comprenais pas les cours, j’étudiais avec eux et c’était vraiment une expérience agréable. J’ai aussi fait mon service civique avec quelques étudiants de mes cours. Ce service civique consistait à parler anglais avec eux, cela s’appelait du monitorat. J’étais beaucoup plus à l’aise dans ma propre langue, donc c’était une très bonne expérience. Cela m’a forcé à rencontrer des étudiants français et on parlait avant et après les cours chaque semaine. Je suis en contact avec plusieurs d’entre eux sur Facebook, donc nous allons rester en contact.
Ina : Oui, je me suis fait des amis et je vais garder contact avec eux. On se retrouvera sûrement un jour autre part dans le monde.
Christopher : Durant mon expérience à Toulouse, le processus de me faire de (vrais) amis était très difficile avec les Français. La plupart des amitiés sont déjà faites depuis le lycée, et de nouveaux terrains sont durs à pénétrer. Cependant, je me suis fait une amie à travers un projet collectif dans un cours de sociologie de genre. Nous sommes toujours en contact. Elle me donne des nouvelles du Mirail ; je lui parle du Cameroun et de l’été en Pennsylvanie. Je me suis aussi fait de bons amis à Toulouse en dehors de l’université, mais ils sont pour la plupart étrangers—un Mexicain, un Américain en France depuis longtemps, par exemple. Ces amitiés me sont chères, et elles font partie des points forts de ce semestre.”