Les étudiants nous racontent les moments un peu moins drôles de leurs expériences toulousaines.
Ayse : “Quand mes amis ont commencé à partir. Cela signale la fin de l’année! Et même si je les verrai ailleurs, on ne sera pas tous ensemble!”
Marie K : “Le moment où, déjà en retard pour un rendez-vous, je me suis retrouvée nez à nez avec la police anti-émeute en tournant dans la rue.”
Marie D : “J’ai très peu de mauvais souvenirs mais, le deuxième jour après mon arrivée, je n’ai pas pu fermer la porte d’entrée de la maison de mes hôtes à clé. Quand je suis arrivée au Centre Dickinson, j’ai appelé mon hôte et le message que j’ai laissé a expliqué que je ne savais pas pourquoi la porte ne se fermait pas. J’ai su après que c’était très grave, ce n’était pas “pas grave”. Heureusement, la plupart de mes bêtises n’était pas graves.”
Christopher : “Le pire moment du programme était le week-end de mon départ en janvier, mais pas pour la tristesse de partir et les émotions de l’adieu. C’était dur parce que j’avais le sentiment distinct de ne pas avoir bien fini des choses : les relations, mon intégration chez les hôtes, ma découverte de la France. Certaines autres conditions ont empêché la détermination d’un adieu. C’était comme une fin sans finalité. Je suis parti sans mettre un point final au semestre, et j’ai passé beaucoup de temps à regretter ce résultat.
Renata : “Mon pire moment à Toulouse était probablement quand un tuteur m’a dit qu’il fallait que je refasse complètement ma dernière dissertation la nuit avant de la rendre !”
Katherine : “La première semaine. C’était difficile pour moi de parler français tous les jours.”
Stephanie : “Il n’y avait pas vraiment eu de pire moment à Toulouse, mais ce qui était le plus difficile était de rencontrer des français et de devenir amis avec eux.”
Nancy : “Au début quand je me sentais perdue à cause de mon refus du système d’éducation français et que j’ai eu des discussions avec mes hôtes où j’argumentais que le système américain est mieux.”
Ina : “Quand les gens ne comprenaient pas mon français.”
Kimberly : “J’étais dans le métro en train de parler an anglais avec quelqu’un et quand un homme est passé à côté de moi pour sortir de la rame, il m’a dit « I love Al Qaeda ». C’était un moment vraiment bizarre et effrayant. Pendant toute cette année, j’ai trouvé les réactions relatives aux américains très intéressantes à voir. C’est une perspective que je n’ai pas très souvent quand je suis chez moi.”