Dans la photo, vous voyez un petit panneau en jaune et bleu avec une flèche qui pointe vers la droite. Ce petit truc se trouve à Lyon au nord du centre-ville, pourtant, ce n’est pas le seul panneau pareil. Il y en a beaucoup qui forment une piste qui mène à travers des passages secrets de Lyon qui s’appellent « les traboules ». Les traboules datent de la Renaissance quand elles ont été utilisées comme refuge pour plusieurs raisons. En suivant les traboules, c’est possible de traverser toute la ville sans être vu par personne ; donc ces passages ont été très utils pendant la Seconde guère mondiale quand des résistants ont dû se cacher pendant des bombardements et des invasions.
Quand j’étais à Lyon, j’ai localisé le premier panneau de la piste qui se situe en ville, pourtant, je n’ai pas trouvé l’entrée de la traboule. Donc j’ai décidé de chercher des autres indices en ville, mais n’après avoir localisé aucune entrée dans les traboules même s’il y avait plusieurs panneaux, je me suis trouvé au sommet d’une grande colline. À la droite, j’ai remarqué un dernier panneau sur le mur qui a dit « Les traboules sont fermées après 17 :30 ». J’ai regardé ma montre qui signalait 6 :30. Puis je me suis rendu compte de mon erreur grave, j’avais mélangé les heures 17 :30 et 7 :30 PM. À ce moment-là, je me suis senti tellement bête, j’avais marché plus d’une heure, mais les traboules avaient été fermées dès 5 :30 PM.
Du coup, j’ai fait demi-tour dans l’autre direction en descendant l’escalier, quand j’ai vu ce qui m’attendait à l’arrière : un crépuscule incroyable. Même que je n’avais pas trouvé ce que je cherchais, j’ai découvert une autre chose, qui était magnifique en soi. Ce moment reflète beaucoup d’autres moments qui se manifestent dans la vie française : je ne peux pas trouver ce que je cherche, par contre, je trouve ce que je ne cherche pas, et qui est parfois plus magnifique que la destination originelle. Je crois que cela est un aspect magique de la culture française, la chance de découvrir des petits bijoux culturels des villes qui ne sont pas toujours évidents, comme la vue de la colline de Fourvière. Finalement, cette anecdote me rappelle que je devrais faire confiance à mes instincts parce qu’ils vous emmènent toujours vers une destination spontanée et parfois incroyable.
-Andrew Fuchs
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