De Carlisle à la Ville Rose

Author: dickinson_france Page 5 of 15

La découverte de la culture populaire américaine en France- Kimmy Drexler

Aux États-Unis, tout le monde parle constamment de leurs séries préférées à la télévision, des films qu’ils veulent regarder, et des activités des célébrités qu’ils adorent. Quand je suis arrivée en France, j’ai découvert que la même culture populaire existe ici, mais le public n’est pas particulièrement attiré par les films français ; il préfère ceux qui viennent des États-Unis ! Je savais déjà que le monde du spectacle représente la plus grande exportation des Etats-Unis au niveau culturel, mais je n’avais jamais réalisé cela avant d’arriver à Toulouse.

 

Mes hôtes aiment parler de leurs séries et films préférés pendant le dîner, comme ma famille aux États-Unis. Mes hôtes aiment « The Mentalist », « Revenge », « Game of Thrones », « Scandal », « The Great Gatsby », « Mamma Mia », « Pretty Woman » et beaucoup d’autres fictions américaines. De plus, ils aiment tous les dessins animés de « Walt Disney », et les enfants grandissent avec ces films comme nous aux États-Unis. Cependant, cela ne concerne pas seulement mes hôtes.

 

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Avant-première du film “Gravity”

J’ai vu quelques films américains à Toulouse, dont l’avant-première du film « Gravity » qui a été présentée par le CNES (l’équivalent de NASA en France), et la majorité du public était française. Je suis une vraie cinéphile donc, à mon avis, c’est très intéressant de voir que les spectacles américains sont appréciés dans d’autres parties du monde. 

Kimmy Drexler.

Mon séjour à Toulouse et à l’IEP- Alex Seavey

C’est très intéressant de vivre dans une vieille ville avec beaucoup d’histoire. C’est un peu comme remonter dans le temps. Ma première impression de la ville était qu’elle est très grande.  Après avoir habité à Toulouse pendant deux mois, je trouve que la ville est en fait petite ! Je vois des gens que je connais ou que je reconnais. J’aime me promener un peu partout à Toulouse. J’aime particulièrement marcher jusqu’à l’IEP parce que je passe près du Capitole.

Mes cours à l’IEP sont différents des cours à Dickinson. Il y a beaucoup de gens dans mes cours qui ont lieu dansde grands amphithéâtres. Mes cours à Dickinson ont à peu près quinze à vingt personnes. Cependant, j’aime les cours magistraux à l’IEP parce que je peux m’asseoir, écouter et assimiler toutes les choses que le professeur dit. Dans mes cours, certains professeurs parlent même des États-Unis et ils font référence aux écrivains américains, c’est très intéressant. C’est agréable de parler de sujets qui me sont familiers.

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La place du Capitole

Alex Seavey.

Mes cours à l’ICT- Caroline Leffert

Cela fait cinq semaines que j’ai commencé les cours à l’Institut Catholique de Toulouse et honnêtement, ce n’est pas très difficile. Les cours durent entre une heure et demie et trois heures. C’est assez dur, mais pas insupportable. Ce qui est le plus difficile est le fait que les professeurs parlent très vite en français. Le contenu est presque le même que celui des cours aux Etats-Unis. J’aime beaucoup les professeurs et ils connaissent très bien les sujets de leurs cours. Cependant, iIs parlent sans cesse pendant beaucoup d’heures. J’ai essayé de me faire des amis, mais c’est très difficile parce que même si les étudiants sont gentils, ils ne veulent pas être proches de moi. Néanmoins, j’ai demandé à certains de leur emprunter leurs notes et en plus, je m’entends bien avec des étudiants Erasmus, qui sont devenus mes amis. J’essayerai encore de rencontrer des Français après la Toussaint, la semaine prochaine !

 

Caroline Leffert.

Editorial- Octobre 2013

Chers lecteurs,

Cela fait maintenant un peu plus d’un mois et demi que les étudiants sont arrivés dans notre belle ville rose. Avec le début des cours dans les universités toulousaines (UTM, ICT, IEP), ce mois a été assez intense et plein de découvertes pour eux. Entre nouvelles méthodes d’enseignement, différences culturelles et nouvelles expériences, la ville rose a joué avec les attentes de nos étudiants, ils vous racontent tout dans leurs nouveaux articles !

Run & Bike Sarah & Kathleen

Sarah (sur le vélo) et Kathleen (en vert au fond à gauche) pendant la course Run and Bike de Péchabou

Deux de nos étudiantes, Kathleen et Sarah, ont également montré ce dont elles étaient capables au niveau sportif en prenant part à la course Run and Bike de Péchabou, une course plutôt difficile à laquelle les participants sont en duos et doivent courir et faire du vélo. Elles ont été au bout des 22 kilomètres et nous les en félicitons ! Bravo les filles !

 

Je n’ai plus qu’à vous souhaiter une bonne lecture et je vous retrouve le mois prochain pour une nouvelle édition de La Une dans laquelle les étudiants vous raconteront leurs voyages. Paris, les chemins de Saint-Jacques et d’autres expériences seront au rendez-vous.

 

A très vite,

 

Mikaël Toulza

An afternoon in Gaillac- Jeremy Lupowitz

After several hours on the bus (and a lively game of twenty questions), traversing hills and valleys coated in a thick fog, we finally arrived at Chateau Lastours.  On one side of the bus, a massive expanse of grapevines, and on the other side, a centuries old house with a thousand stories to tell.  After a brief explanation of the construction and history of the house, our guide, the owner of the vineyard, took as out back to see the pigeon coup, a relic from an era when pigeon feces was used as manure to fertilize the soil.

Next we saw the private gardens, where our guide explained that the hedges (which were 200 years old) were planted in the shape of the two prestigious military awards that his ancestor received: the Fleur-de-lis and the Croix St. Louis.  He also shared an amusing anecdote from the garden’s past.  The vineyard once hosted a Russian delegation for a wine tasting class, which included none other than Vladimir Putin.  When our guide’s father told the delegation a joke, all the Russians laughed heartily, with the notable exception of Mr. Putin.

Soon, we were touring the underground facilities where they turn grapes into wine.  While it was difficult for me to understand a lot of the technical processes that were described to us, I was struck by how much was done right there at the Vineyard. Having spent a summer or two working in a styrofoam factory back home, I was surprised to see that the wine was made, bottled, and sold in the same location that the grapes were grown.  It struck me as very different from the American business model.

Finally, we got to eat a delicious French meal, and taste some wines.  We each sampled a red, a pink, and a white, and afterwards we got a free bottle of sparkling wine to celebrate Sam’s birthday.  Overall, it was a very interesting and enjoyable day.

Jeremy Lupowitz

 

Photo credit: Kimmy Drexler

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Let’s go to Conques!- Kat Swantak

Walking around Toulouse at 7 am is nothing like taking a stroll in the mid afternoon.  It’s dark, the air is calm, and there is no one around; well, except for the 20 twenty-somethings waiting for the bus at the end of Rue du Japon.  The three-hour voyage highlighted the contrast between the bustling urban life of Toulouse and the quaint rolling hills of the countryside.  Upon arrival, our group was met with the sight of a quaint medieval village sprawled out before us.  We waited no time; our guide for the afternoon, Monsieur Créma explained all about the church’s architecture and history while it towered over us.  Soon after, we set out on a hike through the hills of Conques.  We trekked though trees, over streams and scaled steep slopes.  Out of breath, we came to a peak that offered us a picturesque view of Conques surrounded by vineyards and green hills.   Picnicking at the top of the hills soon followed, all while joking and sharing a few laughs amongst new found friends.  Later that afternoon, we finished our hike and returned to the center of the village with the guidance of M. Créma.  Left to our own devices, we were able to do our own exploration of the village finding that Conques has much more to offer than meets the eye.

Kat Swantak

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Orientation at the University of Toulouse Le Mirail- Meri St Jean

Friday the 13th of September, fourteen students woke up very early in the morning to visit Mirail University. When we arrived, we dived into two groups and toured all the departments with Mika and Lise. For lunch, we ate at the university restaurant—not too bad! After eating we played a scavenger hunt within the Mirail. Then we visited EIMA (the association for foreign students) and talked with Madame Lafitte, who works for the Office of International Relations. Finally, we got our inscriptions and our student cards!

Meri St Jean

Pictures of my goup during the scavenger hunt.

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Orientation in Toulouse- Ayse Ozder

Mr.  Créma has been our magnificent guide in Toulouse during orientation.  We had 3 different days of walking around the city with him. They have all started with a little bit of a lecture. He talked about the history of Toulouse, the oldest part which is the center. He mentioned that the influences of the Roman culture are still visible in architecture of churches and the parallel roads. Also, the Christianity which shapes a big part of French culture have integrated to the city with the Romans. After the lectures, we had the chance of walking on the streets of Romans, visit the old hospital, houses, and churches to see the influences by ourselves. History was not the only thing he taught; there was some more practical information: how to locate ourselves. The names of the roads on the old plates are yellow if they are north to south and they are white if they are east to west. Also the numbers of the houses decrease to South and to west.  He also introduced us to the parks in Toulouse. With his enthusiasm to teach the most to us, the time we spent with him was fun.

Ayse Ozder

 

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Un après-midi à Gaillac- Jeremy Lupowitz

 

Après deux heures dans le bus (et un jeu vivant appelé « vingt questions »), à traverser la campagne sous le brouillard, on est arrivé au Château Lastours. D’un côté du bus, on pouvait voir les champs de vignes, et de l’autre côté, le château lui-même. Le propriétaire du château nous a raconté une histoire brève de la maison, puis nous sommes allés jusqu’au pigeonnier. Ensuite, on a vu le jardin privé, où les buis ont été plantés et taillés pour former une fleur de lys et la croix St Louis. Le propriétaire nous a aussi raconté une anecdote amusante au sujet d’une délégation russe qui avait visité le Château Lastours avec Vladimir Poutine en personne!

Tout de suite après, on est descendu dans les caves pour voir comment faire le vin. Le propriétaire nous a donné beaucoup de détails et je n’ai pas compris tout ce qu’il a dit. On a vu les grandes cuves ou l’on fait le vin. J’étais surpris de savoir que toutes les étapes de la vinification sont faites sur place. C’est très différent aux États-Unis. Ensuite, on a déjeuné et goûté les vins : un rouge, un rosé, et un blanc. Les trois étaient délicieux. Finalement, on a bu du vin pétillant pour l’anniversaire de Sam. C’était une très bonne journée.

Jeremy Lupowitz

 

Photo credit: Kimmy Drexler

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Photo du Château Lastours

On va à Conques! – Kat Swantak

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Vue de Conques pendant la randonnée

Il y a une vraie différence entre Toulouse l’après-midi et Toulouse très tôt le matin. Il fait froid, l’air est calme et il n’y a personne, sauf les 20 étudiants de Dickinson qui attendent leur bus pour aller à Conques. Le voyage de trois heures nous a permis de voir les différences entre la vie urbaine de Toulouse et la vie à la campagne. Lorsqu’on est arrivé, on a découvert le village pittoresque de Conques et notre séjour a commencé tout de suite. Notre guide pour l’après-midi, Monsieur Créma, nous a parlé de l’architecture de l’église et de son histoire. On a ensuite commencé notre promenade dans les collines de Conques. On a traversé les ruisseaux et fait une randonnée difficile pour pouvoir apercevoir le village de Conques de plus loin. Nous avons pu, alors, admirer un magnifique panorama de Conques. On a pique-niqué dans les collines, puis nous avosn repris notre notre randonnée. Pendant la deuxième partie, on a vu de petites maisons, des ponts et tous les autres bâtiments de Conques. Puis, on a eu du temps libre pour explorer Conques et trouver tout ce que le village avait à nous offrir.

Kat Swantak

 

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Les élèves pendant la randonnée

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En route mauvaise troupe!

 

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