La presse écrite

October 3, 2017

Description : Ceci est une photo de La Marianne, un journal séminal. Elle trouve son nom du symbole de la République bien représenté dans l’art, Marianne. Elle monte les articles des journalistes et politiciens français sur le sujet de la politique, souvent avec une méthode d’éditorial. Elle parle des actualités en France et aux ailleurs. On peut voir les couleurs rouge et noir prioritairement qui montrent l’ambiance politique. On pense aux mouvements politiques et aux partis politiques quand on voit ses couleurs ensemble. Cela a couté 4 euros. J’ai choisi ce journal parmi beaucoup d’autres parce que j’aimais ses couleurs et sa police de caractères. J’ai cherché un journal à lire parce que je voulais lire les actualités dans un format différent qu’un journal typique comme Le Monde. J’aime lire The Economist chez moi, mais parce que je veux pratiquer mon français, je voulais essayer quelque chose de nouveau. J’ai lu plusieurs articles dans ce journal. Ils sont dans les formats vraiment différents : quelques sont courts, quelques sont longues, quelques sont les entretiens. Il y a presque tout.

Interprétation : Je ne peux pas penser à une publication aux États-Unis qui est vraiment comparable avec La Marianne. Par conséquent, je peux me demander pourquoi une publication comme celui-ci existe. Quand je considère les tabacs et leurs sélections, je veux demander aussi pourquoi la culture du journalisme a un sens différent en France qu’aux États-Unis.

Dans mon cours d’histoire politique de la France pendant le 20e siècle, mon professeur a expliqué déjà quelques grands mouvements politiques en France, et une des tendances, particulièrement avec le gauche, est d’avoir un journal qui représente le parti politique. La Dépêche, par exemple, était un journal du gauche radical traditionnellement. Aux États-Unis, il y avait une tradition similaire, et il reste les publications qui ont préférence pour un parti en particulaire. Après la recherche, c’est clair que La Marianne soit prédominante du côté gauche.

Mon hôtesse aime bien la littérature, mais pas les actualités comme moi parce qu’ils sont déprimants. Elle a raison. Pour elle, sa publication préférée sur la politique qui n’est pas typique (comme Le Monde ou Libération) est America. Nous avons des numéros au Centre Dickinson aussi. America est comme La Marianne dans le contenu, mais plus littéraire en la nature de l’analyse. Quand La Marianne touche les sujets et régions autour du monde, par le nom, c’est évident qu’America suit seulement les politiques aux États-Unis et leurs rétributions dans la sphère mondiale.

Evaluation : Je crois que cette publication reflète l’esprit politique de la France qui est si emblématique. De mes observations, je conclus que la presse en France est plus appréciée et intégrée entre les domaines variés. J’aime d’avoir l’accès aux ressources toutes ensemble comme dans La Marianne. L’aspect historique de la presse est essentiel pour comprendre sa nature en France. En addition des faits donnes dans mon cours d’histoire, on peut considérer aussi l’importance des journaux de la Résistance pendant la période Vichy pour informer et unifier les Français pendant une situation d’inquiétude sans précédente. Je trouve que c’est plus facile de trouver l’information ici, même les actualités et les éditoriales. C’est vrai à Toulouse, mais aussi aux petits villes et villages que j’ai visités.


Soulages

October 3, 2017

 

Description :

Je vous présente un tableau de Pierre Soulages, qui est montré au Musée Pierre Soulages à Rodez. Pierre Soulages est un peintre français qui est né à Rodez, ou le Musée Soulages était construit. Il est exceptionnel comme artiste, grâce à sa maitrise de la couleur noire. Le week-end dernier, notre groupe du centre Dickinson y est allé pour voir le musée. Quand on est arrivé au musée, j’ai noté que le musée est vraiment moderne, avec l’utilisation du métal et des angles aigus dans la construction. Au Musée Soulages, j’ai trouvé un tableau qui m’a frappé beaucoup. La peinture est simplement composé par la couleur noire, mais elle est vraiment complexe.

 

Interprétation :

Dans toutes ses peintures, Soulages joue avec la notion de la lumière, spécifiquement comment la couleur noire reflète la lumière, ce qui crée une sorte du noir lumineux. En fait, il a créé une nouvelle forme de peinture, qui s’appelle « l’outrenoire ». Cette forme est caractérisée par les grands coups de pinceaux noirs. A mon avis, ce qui est en directe contraste avec les formes de peintures américaines. Par exemple, on peut regarder l’exposition de Calder, qui est montré dans une salle au côté de l’exposition de Soulages. Dans ses œuvres, Calder utilise les couleurs brillantes comme la rouge, la jaune et la blanche. Pour moi, c’était vraiment choquant de voir ces deux expositions dans le même musée. Hier soir, j’ai parlé au sujet de Soulages avec mon hôtesse. Elle m’a dit qu’elle aime bien les ouvres de Soulages mais son épouse, mon hôte, ne les aime pas. Elle m’a dit qu’il les trouve trop sombre.

Evaluation :

Je pense que l’intérêt des peintures de Soulages est vraiment liée avec la notion de la culture implicite en France. Tous les tableaux de Soulages ne montent pas les trucs matériels comme les gens ou les paysages ; il ne peint pas les scènes avec les choses reconnaissables. Peut-être il y a les gens qui veulent dire que ses peintures sont simples ou pas intéressantes. Mais je pense que les peintures de Soulages ont une complexité pas sur la surface ; elles montent comment on peut trouver la lumière dans le noir, le bien dans le mal. Les différences entre l’exposition de Calder et celle de Soulages renforcent cette idée de l’implicite versus l’explicite. On voie que les mobiles de Calder sont vraiment réels, ce qui est un contraste direct avec l’intangibilité des œuvres de Soulages.


Conques et l’Abbatiale Sainte-Foy de Conques: les joyaux cachés

October 3, 2017

Description :

Le week-end dernier, notre groupe est allé à Conques pour une excursion culturelle. Après s’être arrêté à Rodez pour voir une exhibition au musée soulages et déjeuner à un restaurant chic, nous sommes arrivés à Conques. On a besoin de suivre beaucoup de rues raides et sinueuses pour atteindre le village ancien. On voit l’église romane qui ressort vraiment à première vue. La nef de l’église et le transept se croisent en formant l’image d’une énorme croix qu’on peut voir lorsqu’entrer le village. Alors que je m’approchais au centre-ville, j’étais choqué par combien ancien, mais aussi combien bien-préservé le village était. Il n’y avait pas de graffiti ou de détruis. Ça semble comme on est entré le Moyen Âge. Finalement, notre groupe a atteint le centre-ville où nous allions séjourner pendant la nuit.

Cette photo a été prise derrière l’église connue et devant un foyer. J’ai pris de nombreuses photos à Conques mais j’ai choisi celle-ci, car cela exprime vraiment l’âge du village.

 

Interprétation :

Je pense qu’il y a deux raisons majeures pourquoi, Conques est tel bien-préservé. La première est l’emplacement du village. Caché dans les montagnes, Conques est loin d’autres villes et quoiqu’il y ait du tourisme dans le village, Conques n’est pas accablé par les visiteurs. Puisqu’il n’y a pas trop de visiteurs dans le village, il n’y a pas trop de déchets dans les rues et pas trop de circulation. Deuxièmement, les bâtiments de Conques sont vieux et tous construits avec le même thème architectural. Les rues, les restaurants, les magasins et les musées tous partagent l’apparence pareil, tous construits avec de la pierre lourde. Protégé par son emplacement isolé et par son architecture originale, Conques reste bien-préservé.

 

Évaluation :

Cette expérience était magique. Non seulement c’était comme un moment d’une autre époque, mais en plus j’ai vu un vrai bijou avec l’Abbatiale Sainte-Foy de Conques. Je l’ai étudiée en lycée et je me suis souvenu que mon prof l’avait citée comme un des meilleurs exemples des églises romanes. J’ai déjà vu plusieurs églises gothiques en Europe avec ma famille et toutes étaient merveilleuses. Cependant, c’était la première fois où j’ai visité une église romane. Pour moi, c’était une expérience spéciale, car la visite a formé une connexion entre mon éducation et ma passion de voyager. Bien qu’il y ait beaucoup de beauté ici à Toulouse, cette expérience a offert beaucoup concernant l’immersion culturelle et l’éducation en dehors de la classe. C’était plus que je pouvais espérer !


Cuisine en France

October 3, 2017

                 Le produit final

Description

Ce week-end j’ai essayé de cuisiner des petits biscuits. J’avais vu une recette le mois dernier que j’avais marqué d’essayer, alors avec cette idée dans ma tête j’ai complètement oublié de trouver une recette française. Cette erreur prouverait de compliquer la procédure tout. À cause du commencement d’octobre et le changement de la couleur des feuilles, j’estimais que c’était le moment pour les desserts automnaux. Mon hôtesse, qui a la main verte, m’a conseillé de cuisiner quelque chose avec des pommes, parce qu’évidemment c’est la saison. Je suis allée au marché pour des pommes, et après j’ai visité le supermarché, ou je cherchais du farine, sucre, et « baking soda ». Mais, il n’y a pas de « baking soda » en France comme aux États-Unis, plutôt de « leveur ». J’ai aussi trouvé que la farine en France est un peu plus moelleuse qu’aux États-Unis, et l’extrait de vanille est trop dilué, je n’aurais pas pu trouver pourquoi sur l’internet. Et bien sûr, les œufs étaient en plein air, et un peu plus caoutchouteux (à mon avis). Le beurre elle-même avait une façon diffèrent, mais à cause de quoi je ne sais pas.

Interprétation

La cuisine et le procès de cuisiner est vraiment variée de culture à culture, et chaque est indicatif des grandes traditions de chacun payées. Après la première fournée, j’ai trouvé que les biscuits étaient trop liquides pour garder leur forme, et la deuxième fournée était plus comme du pain que des biscuits… C’était un peu frustrant au début de ne reconnaitre pas des ingrédients français et d’échouer ma recette, mais j’ai appris beaucoup des provisions françaises. Par exemple l’importance des courses « bio » et la loyauté des fermes locaux (qui a des prix moins chers). Il y a moins d’un effort de séparer artificiellement ou de modifier des ingrédients français. Les œufs ne besoin pas de rester dans le frigo parce qu’ils ne sont pas pasteurisés. Et, aux États-Unis il y a trois types des leveurs : baking soda, baking powder, et yeast. Mais en France il y a juste un type de leveur pour tous. Mon hôtesse m’a dit aussi qu’il juste a commencé en France récemment un effort d’utiliser les types de farine variée et des qualités différentes. Juste la taille du four suggère que les Français ne mangent pas les portions comme les Américains.

Évaluation

Il y a beaucoup des différences entre la préparation des repas en France que des Etats-Unis, et bien sûr avec la nourriture elle-même. D’essayer toujours de trouver les trucs reconnaissable et similaire des choses aux états unis n’est pas le but d’immersion. En fait, c’est plus intéressant de découvrir les nouvelles méthodes de cuisinier et les recettes régionales. C’était éducatif de comparé les inégalités entre les recettes américaines et des recettes françaises, mais le prochain temps que j’essayer de cuisiner, je vais trouver un plat vraiment français. Crois moi, je me manque le beurre d’arachide, des Cheerios et du lait de soja, mais je peux manger ces trucs quand je retourner en Pennsylvanie. Pendant ce temps-la je vais aimer de manger du canard, de saucisson et des baguettes !


Les Pèlerins à Conques

October 3, 2017

Description

Voici une photo de la salle à manger dans l’abbaye Sainte-Foy à Conques. Nous sommes assis avec des pèlerins ; on mange un plat des épinards et du poisson frit, on boit du vin et on parle. On a parlé aux pèlerins à notre table et ils nous ont décrit la solitude et la difficulté de la randonnée quand ils doivent partir des amis qu’ils ont faits le long du chemin. Mais ils nous ont dit que rien ne leur manque ; de faire un pèlerinage est moins difficile que de camper sous les étoiles. « Les pèlerins ne dorment jamais en dehors », a dit une pèlerine. Une autre a dit qu’elle ne prend que deux changements de vêtements avec elle parce qu’il y a presque toujours des endroits où l’on peut faire le linge. Mais cela n’est pas à dire que les pèlerinages sont faciles ; ils nous ont raconté les difficultés d’aller en haut et en bas si fréquemment, leur chance de trouver une masseuse dans un gite, les ampoules qui blessent leurs pieds, et la joie de quelque chose d’assez simple que d’être offert un café par anciens pèlerins au chemin.

Interprétation

L’explication la plus évidente pour les pèlerinages est que la France et l’Europe ont une tradition des pèlerinages ; les pèlerins prieraient aux reliques des saints et des saintes pour les aider. Les pèlerins qu’on a rencontrés n’ont pas discuté pourquoi ils font un pèlerinage, je pense que c’était quelque chose de plus personnel et spirituel. Mais tous les pèlerins semblaient à partager un aspect ce qui est qu’ils aiment randonner. Et plusieurs entre eux sont venus pour voir les reliques et aller à la messe dans les cathédrales.

Evaluation

Pendant le diner, j’ai senti la convivialité entre les pèlerins de rencontrer des gens qui partagent un mode de vie similaire (pendant qu’ils font leurs pèlerinages), et échanger des expériences. Ma jeune hôtesse m’a dit qu’il y a des jeunes qui font un pèlerinage pour l’expérience sociale ce qui m’a choqué parce que je considérais des pèlerinages un voyage spirituel ou l’on est soit seul soit avec un ou deux autres. Elle m’a dit aussi qu’elle a des amis qui font des pèlerinages pour l’expérience historique et pour participer à la tradition et pas pour l’aspect religieuse. Chez moi, à randonner si loin serait quelque chose de difficile mais je comprends comment cela serait quelque chose d’agréable pour les pèlerins.


Les Chemins Saint-Jacques de Compostelle

October 2, 2017

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Description

Ce weekend, je suis allée à Conques avec Dickinson, et on a fait une randonnée sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, une série des chemins qui traverse France et Espagne. Une route de ces chemins est à Conques, un village médiéval avec beaucoup d’histoire et symbolisme religieux. Dans les moyens âges, les pèlerins ont fait les pèlerinages pour prier aux saintes et à leurs reliques, comme ceux de Sainte Foy à Conques. Aujourd’hui, les randonneurs incluent les pèlerins religieux avec les gens qui font le pèlerinage pour faire de l’exercice, apprécier le nature, ou d’autres raisons. À notre petite hôtellerie, on a rencontré les pèlerins quand tout le monde dinait ensemble dans la grande salle à manger. En plus de la beauté naturelle de Conques, c’était aussi intéressant de poser les questions aux pèlerins pour mieux comprendre les raisons pour lesquelles ils font leurs pèlerinages.

Interprétation

Ce qui m’intéressait beaucoup était les raisons différentes pour lesquelles les gens ont décidé de faire leur randonnée ou pèlerinage. À diner, je me suis assise avec un groupe divers. Parmi eux était une femme néerlandaise qui habitait à Berlin et plusieurs Français qui ont eu un grand rangent des âges. Ils ont dit qu’avant de faire la randonnée, ils ne se connaissent pas les autres personnes, mais maintenant, ils sont un petit groupe qui marche ensemble. Leurs raisons étaient très variées. Quelques personnes ont fait le pèlerinage pour les raisons religieuses, mais ils ne disaient pas plus de ça sur leurs motivations religieuses ; j’ai pensé que c’était quelque chose plus privé. Autres personnes faisaient juste une petite partie des chemins pour faire de l’exercice, et une femme a dit que ce n’était pas pour les raisons religieuses – elle a voulu un changement dans sa vie, donc elle a décidé de faire une grande randonnée sur la totalité des chemins. Pour moi, c’était intéressant que malgré leurs motivations différentes, tous les étrangers pouvaient partager cette expérience. Les gens ont dit qu’ils ont reçu beaucoup d’hospitalité dans les petits villages (même plus petit que Conques !), et qu’ils ont rencontré les personnes diverses qui viennent des pays de tout le monde — pas juste la France et l’Espagne. J’ai eu la chance de ressentir ce sens d’hospitalité pendant le diner et le petit déjeuner chez l’hôtellerie à Conques, et en parlant avec ces gens, j’ai appris que c’est un phénomène universel selon les villages sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

Explication

Ma première pensée était que les chemins de Saint-Jacques de Compostelle me rappellent du chemin Appalachien aux États-Unis, et après parler avec les gens qui font le pèlerinage, j’ai appris que les deux sont similaires, mais qu’ils ont aussi les grandes différences. La différence la plus grande était le manque de symbolisme religieux associé avec le chemin Appalachien, mais quelques similarités sont les raisons diverses pour lesquelles les personnes font leur randonnée, le niveau de beauté naturelle, et le sens de communauté avec les randonneurs et les petits villages sur les chemins. Pour les deux pays, les chemins représentent une appréciation pour la nature et l’importance d’avoir une « fuite » de la vie quotidienne, même si on fait la randonnée pour juste un jour ou une semaine. De plus, cette expérience m’a montré un niveau culturel de France que je n’ai jamais vu. Dans ma vie à Toulouse, les gens sont pressés et concentrés sur leur travail ou leur éducation — comme les gens de n’importe quelle ville. Cependant, dans la campagne, le rythme de vie était plus lent et plus simple et les gens peuvent reposer sans les pressions de la vie. L’aspect communautaire était une grande différence de la vie à Toulouse. Avec l’atmosphère plus conviviale d’une hôtellerie rurale, les gens étaient plus ouverts que les gens dans la ville, et j’aimais l’occasion de partager ce style de vie avec eux.


Le Tympan de St Foy, et mes idées fausses au sujet de la laïcité

October 2, 2017

Description:

Notre excursion à Rodez et Conques ce weekend était une incroyable expérience sensorielle. J’ai dégusté un repas extraordinaire au Café Bras, j’ai traité mes yeux aux œuvres de soulages et Calder au Musée Soulages, et j’ai régalé mes oreilles a un concert d’orgue à l’Abbatiale St Foy. Pourtant, c’était un prêtre qui expliquait le tympan de l’Abbatiale qui m’a surtout plu, et enfaîte

qui a redéfini mes attentes de l’Église en France. Au long de sa présentation sur les détails du Tympan, j’ai appris que la relation entre l’Église, les peuples, et le patrimoine française était beaucoup plus respectueuse et compliquée que j’attendais. La question se pose : quelles étaient mes attentes et de quelle manière est-ce que l’explication du Tympan de St Foy les a cassées ?

Interprétation :

Pour révéler mon parti pris religieux, j’ai obtenu mon License d’une école catholique à Washington. Cependant, avant d’y arriver à Toulouse, je savais que la France n’était pas exactement le pays le plus pieux du monde. Pour être plus spécifique, mon Lycée a renforcé le fait qu’à peu près 4,5% des Français vont à l’église chaque semaine . De plus, je savais qu’une grande majorité d’églises ont été saisies pendant la Révolution française, comme la Basilique de St Sernin. Cela souligne un paradoxe que j’observe de plus en plus ici en France : pour un pays qui va tellement rarement à la messe, les églises font une part importante du patrimoine français. Enfin, le village de Conques était un excellent exemple de ce paradoxe, ou j’estime que la majorité des visiteurs qu’on a rencontrés, même celui qui faisait le chemin, n’étaient pas nécessairement des « pèlerins » du même sens religieux. Pour toutes ces raisons, j’attendais que la présentation des prêtres devant le tympan soit beaucoup plus tendue que c’était en réalité.

Explication :

Au long de la présentation, le prêtre de L’Abbatiale a certainement démontré les divisions laïques de la France. Par exemple, il faisait des distinctions entre les informations qui seraient faciles de comprendre parmi les visiteurs de l’espace « public », et la « vision chrétienne » des pèlerins et des maçons de l’époque qui ont construit le tympan. Ce qui m’a surtout surpris était la manière dont les visiteurs, peu importe leurs croyances, ont écouté le prêtre articuler en détail « la vision chrétienne ». Pourquoi ? À mon avis, c’est parce que peu importe les croyances personnelles des touristes, le prêtre connait les détails de ce magnifique aspect du patrimoine français que même nos guides ne connaissaient pas. De même, j’ai beaucoup apprécié la manière dont le prêtre n’a pas expliqué le tympan dans une manière qui était ouvertement religieux. Par contre, il utilisait des références à la « vision chrétienne » que quand il fallait articuler les aspects important du tympan, et sinon étaient un guide très éloquent, mais un peu comme tous les restes. Cette expérience, cette présentation du tympan, n’était peut-être pas aussi remarquable pour le reste du groupe. Mais pour moi, un catholique qui avait entendu que de mauvaises informations de la communauté catholique en France, cette présentation a souligné comment un vrai échange culturel et religieux peut prendre place dans un pays aussi laïque que la France.


Les nouvelles couleurs au musée des augustins 

October 2, 2017

 
Description 
Voilà un photo d’une nouvelle exposition au Musée des Augustins. L’exposition est faite de nombreuses bobines de ficelle avec toutes les différentes couleurs. Aujourd’hui, le 1er d’octobre, l’exposition ouvrait. En outre, car c’est le premier jour de la mois, les billets pour entrer au musée étaient gratuits. Devant l’exposition, il y a une statue d’une femme posant nue. De plus dans le photo, on peut voir derrière l’exposition les arches du plafond et le vitrail de la fenêtre. Le musée est plein de telles décorations parce qu’il a été un couvent avant d’être transformé en un musée. 
 
Interprétation 
 
Cette exposition est une combinaison de l’ancien et du nouveau. L’exposition représente la nouveauté parce que cette photo a été prise seulement quinze minutes après l’ouverture de l’exposition. J’ai pris la photo en même temps que l’artiste était en traine de déroulant de plus de bobines de ficelle sur le dessus de la pile. De plus, la nouveauté est évidente avec les couleurs incroyablement vivantes. Inversement, la statue devant l’exposition et les détails derrière sont l’opposé, ils représentent l’antiquité. Le couvent des Augustins a des centaines d’années, et l’art intérieur est tout aussi vieux. On peut voir la vieillesse avec l’usure de la statue et les murs derrière. Le mélange de ces deux œuvres d’art crée une représentation de l’ancien et du nouveau.
 
Évaluation 
 
Je trouve cette exposition très chouette; il était très innovant parce qu’il utilise les objets très simples pour créer un visuel magnifique. Les ficelles glissant dans les couleurs vivant; il ajoute une présence différente et très nouvelle dans le musée. J’aime beaucoup la façon dont cette artiste a transformé un lieu très historique et traditionnel en quelque chose de plus vivant. Il n’était pas très commun de mélanger des genres d’arts qui s’opposent comme cela dans le même zone ou dans la même musée. Il était une décision audacieuse de l’artiste et du musée et j’apprécie la créativité de celui-ci.​

L’exploration des espaces français : Le métro

October 2, 2017

Le métro

 

Description

On peut voir un jour typique de la ligne B du métro – des passagers, des chaises (même vacantes et prises), des éléments qui donnent au métro son apparence (la couleur des murs et le motif et la couleur des coussins et du sol). Au centre, il y a deux figures qui sont visibles dans le reflet de la vitre (une femme et moi-même). Près de la fenêtre, il y a un rappel pour comment utiliser correctement les strapontins et au-dessus on peut voir l’appel d’urgence. À gauche, on peut voir les jambes, les baskets et le sac à dos d’un jeune homme, tandis qu’à droit, une vieille femme tient une barre d’acier. Les gens se lèvent ou s’asseyent, chaque dans leur propre monde. Il y a un effort de jamais faire attention aux autres passagers, avec des personnes qui écoutent de la musique avec des écouteurs, pendant que des autres évitent du contact visuel. Donc même si cette photo manque l’interaction entre les voyageurs, il existe une communication silencieuse entre eux.

 

Interprétation

Typique, froid, rien de spécial – ces mots décrient mon expérience dans le métro parce que chaque jour est la même. Par conséquent, une explication pour cette photo est à cause de la standardisation du trajet. Bien que le métro soit littéralement chaud, le trajet est sans intérêt et donc il devient froid dans un sens émotif. Le métro est un endroit du mouvement : les gens dans chaque tram sont fugaces et ils se concentrent sur leur destination plutôt que leur moment dans le métro. Puisque chaque personne est dans leur-propre esprit, c’est difficile de faciliter une connexion humaine qui renforce le sens de froid. Malgré que je n’aime pas la standardisation de mes voyages dans le métro, je suis coupable de faire la même chose parce que j’essaie d’imiter l’esprit d’autres passagers.

 

Elaboration

Puisque je suis en train de faire une étude des espaces communs en France, je crois que le métro est un parfait exemple d’un endroit qui est plein de contradictions. J’apprécie toujours mes voyages dans le métro, bien qu’ils manquent la connexion humaine. Même si le tram est rempli avec les gens de toutes religions, origines, et âges, il existe une compréhension universelle que le trajet est un autre moment dans le jour pour réfléchir. Tandis qu’il y a des moments où le métro est vivant (le samedi soir par exemple), il reste la sainteté de la compréhension entre les passagers : parlerait avec vos amis, ignorerait les autres, concentrerait sur votre destination. Il y a une juxtaposition entre la communauté-centrique mode de vie en France et les interactions dans les espaces communs, qui permettent la notion de l’individualisme bien que l’espace soit partagé physiquement.


Les repas français

October 1, 2017

Description :

Cette photo était prise au « Bistrot du Matou, » qui est situé dans la Place Dupuy à Toulouse. Même qu’il soit un jeudi matin, la terrasse est pleine des personnes profitant du matin ensoleillé. A côté de moi, un homme âgé boit un café en observant la circulation matinale dans les rues. A l’autre côté, un jeune couple discute avec animation, leurs mains entrecroisés sous la table. La propriétaire, qui est une petite femme d’âge mûr, fait la tour des tables, s’arrêtant parfois pour s’asseoir avec un habitué et de fumer une cigarette. Le décor du bistrot est éclectique et rétro, avec un mélange de couleurs et vaisselles, et des chaises déséquilibres balancés sur la rue. Une brise modérée souffle autour de moi, et l’air est épais avec l’odeur de fumée et de café.

Interprétation:

Chaque matin, quand je prends le bus pour aller dans le centre-ville, je passe devant ce bistrot – quel que soit le jour, il est toujours animé. Il semblait d’être un café idéal, comme on le trouve souvent dans les films ou des livres qui dépeignent la France. Le jeudi dernier, j’avais de temps libre avant mon cours de l’université, donc j’ai décidé d’y aller pour le petit-déjeuner. J’ai pris la dernière table qui restait et, après avoir ordonné un croissant et un café au lait, je m’installais avec un livre.

En regardant la scène autour de moi, je ne pouvais que la comparer avec un café qu’on trouverait aux Etats-Unis. En France, il est habituel de prendre le temps de se reposer, surtout pendant les repas. Pour les Français, les déjeuners ne représentent pas seulement un temps de manger, mais aussi un temps de faire une pause essentiel dans son jour, et de se récupérer tout-seul ou avec des amis.

Aux Etats-Unis, par contre, les repas ont plutôt une fonction pratique – on mange pour soulager la faim, et souvent pendant qu’on travaille ou en marchant dans la ville. Surtout pour le petit-déjeuner, il n’est pas rare de prendre un grand café et un muffin à emporter, et de le manger dans le métro ou même dans le cours d’université. En France, cependant, cette façon de manger est presque sacrilège – même si on trouve le café à emporter dans plusieurs cafés à Toulouse, il est beaucoup moins courant qu’aux Etats-Unis. En France, les cafés représentent principalement un lieu de relaxation où on reste pendant plusieurs heures, et pas juste cinq minutes en passant.

Evaluation :

Cette façon de repose correspond à une culture plus grande qui existe en France – spécifiquement, l’habitude de mener une vie lente, prenant en compte le fait qu’on a besoin des pauses dans le jour pour rester saine et relaxé. Je suis toujours en train de m’habituer à ce type de vie, car je suis plus habituée au style américain, qui est plus rapide et pragmatique. Mais, en restant dans le bistrot pendant deux heures, je pouvais voir la valeur qui existe en faisant une petite pause, appréciant une chose aussi simple comme un croissant et un café.