La dissertation…c’est quoi ?!

Description

Quand je me suis assiée pour commencer le cours de FR 260 (Méthodologie) mardi dernier, j’étais surpris par un document que notre professeur nous a donné. Ce papier a décrit les règles pour écrire une dissertation idéale (une compétence très importante d’avoir parce que ce sera utilisé dans la plupart de nos cours français comme une évaluation). Je savais déjà que le style et le format de l’écriture français était différente qu’aux États-Unis, mais le niveau de détaille dans ces instructions vraiment m’a choqué. Chaque partie est structurée particulièrement et strictement. Par exemple, un développement faut inclure 2-4 sous-parties, chacun avec un argument, une exemple, et une conclusion.  Les règles pour l’introduction aussi sont moins libre. Toujours, il y a une présentation du sujet, les définitions, un mise en scène, la problématique (un peu comme une thèse, mais avec plus de spécificités), et le plan. La même structure existe chaque fois pour prévenir du surpris, mais pour une américaine l’effet est malheureusement le contraire…ce semble plus comme l’essai infâme de cinq paragraphes que nous étions enseigné d’éviter.

 

Interpretation

En parlant de ces différences avec mes hôtes, quelques étudiants français, et mes profs de français à Dickinson (avant de partir pour Toulouse, bien sûr), j’ai appris de la standardisation de la système éducative en France. De l’école maternelle jusqu’au lycée, certains sujets sont mets en place pour chaque élève et ces exigences deviennent plus spécialisés quand ils commencent à préparer pour le Bac et leurs métiers. Cependant, chaque élève est enseigné dans un façon similaire, mieux pour prendre le Bac et faire les dissertations dans le futur. Dans ce contexte, la dissertation ne manque pas l’opportunité pour les élèves/étudiants de devenir créatifs et penser critiquement. Au contraire, elle peut les donner plus de chance pour réussir parce que les instructions et les attentes sont clairs.

 

Evaluation

À Dickinson, je travaille à notre centre d’écriture. Tous qu’on a appris nous déconseillait de la structure d’écriture du lycée. À l’université américain, un essai de cinq paragraphes est interdit, et c’est notre travail comme les tuteurs et tutrices du centre d’aider les étudiants en échapper ce format. Pour ce raison, la dissertation me dérange beaucoup et je me sens mal à l’aise quand je pense à écrire de cette façon. La presentation directe d’un plan est consideree comme juvenile et l’utilisation de « nous » ou « je » est plus souvent vu comme moins assez formel. À cause de ces normes enracinées des États-Unis, c’est difficile à faire soudainement ce qu’on a consciemment désappris. Cependant, je comprend plus maintenant l’histoire derrière cette structure, et mes compétences d’écriture français ne feront qu’améliorer.



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