Sont les amitiés un problème pour moi ou tout le mode?

Les groupes d’amies qui marchent sur le campus UT2J

Description :

Tout au long de mes temps à l’Université de Toulouse Jean-Jaurès, j’ai observé la manière dont les étudiants français interagissent avec leurs amis. Ce qui est importante ici n’est pas ce qu’ils disent, mais le subtilité de leurs actions. Il semblait dès le premier jour que les étudiants avaient déjà des amis, même dans mes cours de License 1. Ça m’a choqué un peu de voir les personnes dans leur premier année de cours (à un très grand université aussi !) de parler avec un ou deux autres personnes comme ils se connaissaient longtemps. Et les groupes d’amies dans les cours ne changeait pas durant le semestre ; tout le monde s’est assis dans le même place chaque fois. Dans le même esprit, ce que j’ai vécu était que les étudiants ne faisaient pas d’effort de parler avec moi (sauf dans mes TDs où il faut parler en groupe, dans ces cas, les gens se comportaient très gentiment vers moi). Je réalise que ce n’était pas pour discriminer contre moi parce que je ne suis pas français, mais juste parce que c’est leur habitude.

Interprétation :

L’explication de pourquoi les étudiants français ne font pas des amis à l’université qui me parait le plus probable est que ceux qui s’inscrivent à UT2J demeure pour la plupart à Toulouse. Ainsi, les amitiés du lycée traduit directement à l’université, en conséquent il n’y a pas beaucoup de motivation de parler avec les autres gens dans les cours. Je pourrais imaginer aussi que c’est une partie de la culture française de garder des amies de l’enfance très proches au lieu de faire des amis plus tard dans la vie. Pour finalement trouver une explication, j’ai demandé à Emma son avis. Elle a partagé mon avis que beaucoup de gens vont à l’université dans la ville où ils habitent. En outre, elle m’a expliqué que les étudiants français « trouvent qu’il est difficile de se faire des amis à l’université…[car] la vie universitaire française est moins organisée. » Alors le manque des activités collectives comme des clubs, où beaucoup des étudiants américains trouvent leurs amies, est une partie de l’explication. De plus, Emma a noté que la journée universitaire comprend de cours pour presque tout la journée ; ça donne le message aux étudiants de ce qui est le plus importante est leurs études, pas leurs rapports avec les autres personnes. Emma a bien sûr souligné que ces phénomènes s’appliquent seulement aux universités comme UT2J, pas aux grands écoles qui promeuvent une culture très fort parmi les étudiants.

Evaluation :

Je suis d’accord avec Emma, que la culture des universités françaises est structuré complètement différemment de celle que je suis habitué. Il y a moins d’un « campus life » en France ; on va à l’école pour l’école, et peut-être pour manger, mais pour rien de plus. D’avoir les amis est un bonus. Ce n’est pas difficile pour moi d’agir comme les Français à l’université à cause de ma manque de familiarité avec les pratiques culturels et ma peur de parler avec de gens nouveaux. Mais ce qui me manque ici est le plaisir de, tout au long du semestre, devenir de plus en plus proche avec quelques personnes dans un cours. J’aime beaucoup cette façon de faire les amis qui s’intéressent aux mêmes sujets que moi (c’est comment j’ai rencontré Ava et Emily, par exemple).



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