Boire ou ne pas Boire

 

Describe

Il y a un groupe en France appelé << ERASMUS >>.  Ils organisent des événements pour les étudiants internationaux à donner l’oppurtunity faire des amis. J’ai décidé d’aller à l’événement qui avait lieu dans l’un des bars de Toulouse. 

Comme tous autres étudiants aux États-Unis, j’ai choisi d’acheter mon propre alcool au lieu de dépenser beaucoup d’argent au bar. Le jour de la fête, je me promenais dans le Carrefour et j’ai vu 2 à 3 allées d’alcool, interrompues par un long rayon de en-cas, avec de multiples présentoirs pour le vin et la bière. J’ai été surpris parce que  l’alcool n’était pas surveillé par un caissier ni sa propre partie distincte du magasin. 

Finalement, j’ai choisi ce que je voulais. Quand est venu le moment de payer, j’ai hésité. Je me suis demandé si je devais utiliser la caisse automatique ou si j’avais besoin d’un caissier. J’ai pris le risque d’utiliser la caisse automatique.

J’avais mon passeport et mon visa prêts au cas où on me demanderait une pièce d’identité, mais à ma surprise, on ne me l’a pas demandée. J’ai tranquillement payé tout ce que je voulais et je suis parti.

 

Interpretation

Depuis mon arrivée, je remarque que la culture de la consommation d’alcool ici est l’antithèse de celle sur le campus de Dickinson. L’attitude et la perception de l’alcool sont beaucoup plus détendues qu’aux États-Unis.

L’ habitude de prendre l’apéritif permet aux enfants de voir leurs parents boire de l’alcool à la maison de manière contrôlée, sans excès. L’apéritif est un moment pour savourer le goût du vin avant ou pendant le repas et offre l’opportunité de se connecter avec ceux avec qui l’on partage un repas. Avec cette pratique, la consommation d’alcool peut devenir habituelle ou normale, de sorte qu’il n’y a pas d’excitation lorsqu’ ils sont en présence d’alcool.

Quand j’ai posé des questions à mes hôtes à ce sujet, ils ont partagé leur point de vue la conversation à travers la France. En France, la loi n’est pas aussi stricte qu’aux États-Unis, en partie en raison de la grande production d’alcool en France.

 Par exemple, certains parents boivent avec leurs enfants avant qu’ils n’aient 18 ans, ou des jeunes mineurs sont envoyés au magasin pour acheter du vin pour leurs parents. Dans les magasins, il peut y avoir des cas où on refuse de vendre de l’alcool à quelqu’un de l’alcool ou on demande une pièce d’identité, mais en même temps, des jeunes de 17 à 16 ans peuvent aller dans des bars. Tout dépend de l’endroit et de la personne.

L’alcool est accessible ici et fait partie intégrante de la culture française. Par conséquent, l’alcool fonctionne socialement différemment. C’est quelque chose de normal et ce n’est pas réservé seulement aux week-ends. Ce n’est pas comme aux États-Unis en résultat.

 

Evaluation

Cette expérience m’a fait réfléchir sur la manière dont les Américains boivent avec urgence : autant que possible, aussi rapidement et longtemps que possible parce que  nous réservons la consommation d’alcool pour les week-ends  Les Français pourraient trouver cette pratique bizarre, car boire en france est une chose socialement appropriée à faire pendant un repas. 

Je me pose maintenant des questions: est-ce que la culture de la consommation d’alcool aux États-Unis pourrait causer plus de tort que de bien, malgré les mesures mises en place pour protéger les enfants? Quels sont les taux d’alcoolisme dans d’autres pays avec des âges légaux plus bas qu’ aux États-Unis ? Que faudrait-il pour déstigmatiser la culture de la consommation d’alcool en Amérique ?



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