FR300 Les citoyens en marche

Description

Le métro est une partie de la vie urbaine Toulousaine. Les deux lignes circulent sous la ville et amènent les passagers aux beaucoup d’endroits différents dans la cité. Mais on trouve souvent que les passagers sont concentrés près des portes pendant les rames. Cela peut rendre l’entré aux rames difficile pour les voyageurs qui veulent monter. Souvent, c’est possible quand-même, mais on doit être assertif et même si tout le monde est concentré à coté des portes, il reste presque toujours de l’espace dans les autres parties des rames. Même si il reste des gens qui veulent monter dans la rame, personne ne bougera pour l’aider. Et personne ne peut pas bouger beaucoup si les autres qui bloquent l’espace ne se déplacent pas. On peut trouver aussi la même situation dans les autobus, mais la distribution est généralement mieux (on économise mieux l’espace) que dans le métro. Cette photo-ci n’est pas un bon exemple parce que la rame n’est pas pleine, mais on voit quand-même le commencement du paterne. Il y a 5 gens visibles, et 4 sont près des portes.

Interprétation

C’est difficile à dire pourquoi les français n’économisent pas très bien l’espace dans le transport en commun, et spécialement dans le métro. Beaucoup de monde est concentré aux environs des portes, et ce fait rends l’entrée au rame plus difficile qu’il est nécessaire, et de temps en temps impossible, même si il y a de l’espace dans les autres endroits dans la rame. Personne ne bouge. Personne n’aide les autres à économiser l’espace. Ce n’est pas grand-chose, oui, mais c’est ennuyeux et peut être frustrant quand on ne peut pas monter dans la rame et on voit de l’espace vide quand-même. C’est aussi peut-être pas évident pour quelqu’un qui n’habitait pas dans une ville ou l’espace est bien économisé dans le métro. Je le vous présente-ci:

On verra ici le ligne du métro le plus connait pour moi. Le ligne jaune en New Delhi. Évidemment , c’est pendant une heure pressée.

Si on ne peut pas entrer dans cette rame, on peut comprendre pourquoi. C’est juste. (Et, crois-moi, pour une heure pressée une rame comme ça est plus ou moins normale. C’est aussi possible d’avoir une rame plus pleine que cela dans cette photo, si je le souviens bien, mais ce n’est pas important.) On voit que l’espace est très bien économisé, et que tout le monde a trouvé son propre place dans cette rame. La première fois qu’on l’expérience, oui, c’est étrange et inquiétant, mais après, on verra que tout marche bien, en fait. Ça ne semble pas logique, mais tout le monde peut aller ou on veut. Ça peut être un peu chaotique quand on veut descendre de la rame, mais c’est vraiment rare de rater son arrêt pour cette raison. Crois-moi : ça marche. Et quand une rame est vraiment pleine, chaque centimètre de l’espace et utilisé.

J’ai demandé aux français pour leur explications. Une n’a pas vu cet problème potentiel, mais l’autre était en accord avec moi. Le deuxième disait aussi  qu’a son avis, c’était parce que les rames sont mauvaisement dessinés et parce que il manque des choses a tenir entre les portes.

Évaluation

Je suis généralement en accord avec la française qui pensait que les rames ont une faute de conception. Je pense qu’elle a raison, et je pense aussi qu’eux sont trop étroites. Mais je pense aussi qu’on peut dire que c’est une question de connaissance et de nécessité. La New Delhi est une ville avec une population vers 26 millions. Le Toulouse, on peut dire, n’est pas si grand. Dans New Delhi, soit on économise bien l’espace, soit on est poussé (mais pas dans une façon méchante) par ceux qui veulent l’économiser mieux. Dans Toulouse, peut-être le bénéfice d’économiser mieux l’espace n’est pas connu. Peut-être la majorité des Toulousains ne connaissent pas qu’ils bloquent les trajets intérieures des rames. Probablement, ils n’ont jamais vus un système de métro comme celui dans New Delhi, où il y a millions des gens chaque journée qui doivent voyager ensemble. C’est vrai qu’en Delhi, on doit souvent pousser pour quitter, et de temps en temps pour entrer les rames. Mais normalement, on ne pousse pas dans une façon méchante. C’est de plus une forme de communication. On pousse, poliment, et les autres bougeront, (comme ils peuvent,) parce qu’ils comprennent ton besoin et ils veulent te laisser passer. Et vraiment, ça marche. Je crois que les Toulousains ne voient pas le problème de leur emplacement dans la rame, (et encore, c’est ennuyeux, mais pas le fin du monde) et que personne changera leur comportement.

Description:

Imaginez-vous : c’est le matin, vous entrez au métro. Vous êtes salués par un jeune avec des journaux dans les mains. Vous dîtes merci et vous prenez une édition du « Direct Matin ». Dans la rame on peut voir plus de gens qui lisent les actualités dans ce journal que dans son téléphone portable. « Quel gaspillage de papier ! » – on peut penser à juste titre. Mais non ! En sortant de métro vous pouvez placer votre journal dans une boîte pour que d’autres personnes l’utilisent. Ou encore vous pouvez le déposer dans un sac comme dans la photo ci-dessus. Donc, pas beaucoup de gaspillage ! Au contraire – du recyclage !

Interprétation :

Voilà juste un des exemples d’efforts que la France fait pour le développement durable. De plus, dans une salle de sport où j’ai l’habitude d’aller, on utilise des douches avec un seul bouton. C’est impossible de changer la température ou l’intensité de l’eau. Les douches sont préréglées pour fonctionner pendant 30 secondes, pas plus. Après, il faut encore pousser le bouton. Par ailleurs, un autre jour, je suis sortie de Décathlon avec mes deux paires de leggings, mais pas de sac. C’était possible d’acheter un sac en papier, mais la vendeuse ne me l’a même pas proposé, pensant peut-être que je n’en avais pas besoin. Quelle différence étonnante avec les États Unis, où on met tout, immédiatement, même une paire de chaussettes, dans un grand sac en plastique ! Il y a aussi d’autres efforts pour protéger l’environnement du bel hexagone, comme les vélos en libre-service. Il y en a plein à Toulouse. En fait, la France a pris des mesures stratégiques vers le développement durable (http://www.correze.gouv.fr/content/download/6640/44324/file/dates_cles_DD.pdf). La politique de protection de l’environnement a commencé en 1971 avec la création du ministère de la protection de la nature et de l’environnement. En 1991 le pays a crée l’Institut français d’environnement (IFEN) et en 1996 il a adopte une première stratégie nationale de développement durable (SNDD). Dès lors, telles loi comme le loi sur l’eau, les déchets, le bruit (1992), le “loi Banier” (principe d’action préventive et de correction, principe pollueur-payeur, etc., 1995) et le “loi Laure” (ex. les plans régionaux pour la qualité de l’air, 1996) ont forme la vie intentionnellement verte des Français.

Évaluation: 

En ce moment, je suis très heureuse de vivre dans un pays où les soucis de l’environnement sont mis en avant dans le fonctionnement de la société. Bien sûr, au début il est plutôt gênant d’avoir besoin de porter ses achats dans la main (sauf si on veut payer chaque fois)…  Mais petit à petit, l’habitude de prendre son propre sac devient assez agréable. Aux États-Unis on peut parler beaucoup à propos du développement durable et ne rien faire de crainte de toucher au confort de gens.  J’espère que dans l’avenir plus d’Américains auront à cœur les petites choses comme ça qui certainement font une grande différence pour notre planète.

– Anastasiya KHLOPINA

Description : J’ai pris ces photos quelques secondes après qu’une femme m’a dit qu’il n’y a pas de place au restaurant pour nous. Plus spécifiquement, elle a dit « non, je suis désolée, il n’y a aucune place, ce n’est pas possible. » Ce n’est pas la première fois que c’est ce qui s’est passé pour moi. Les restaurants ici n’ont pas une liste d’attente comme aux États-Unis. Quand il n’est pas possible d’avoir un groupe au restaurant ici, on dit cela, pas ceci : « vous pouvez attendre à peu près vingt minutes. » C’est toujours qu’on peut s’asseoir au moment où on arrive, ou vraiment pas.

Interprétation : Il y a beaucoup d’interprétations, mais deux m’intéresses le plus. D’abord, c’est parce que c’est plus pratique de ne pas avoir de queue dehors le restaurant. C’est mieux pour les gens qui mangent là et aussi pour les voitures et les personnes dans la rue. Une autre explication est que les Français font beaucoup plus souvent les réservations au restaurant si c’est vraiment où ils veulent aller. Cela veut dire que quand les Français veulent vraiment aller à un restaurant spécifique, ils font les réservations. Quand les gens ici sortent sans réservation, en général, ils veulent manger n’importe où, c’est vraiment ce qu’il y a autour d’eux à moment où ils ont faim.

Quand j’ai demandé à mes hôtes si c’est normal de dire que ce n’est pas possible, ils m’ont dit oui, ce n’est pas normal de dire que tu peux attendre la place. Louise, la fille de mes hôtes, m’a dit qu’elle connaît seulement un restaurant qui fait cela à Toulouse, l’Entrecôte (où il y a toujours une queue). Elle a dit que les autres restaurants qui sont plus petits comme celui-ci dans la photo n’ont pas trop d’espace et donc il n’y a pas de place pour attendre sans déranger les autres.

Évaluation : La première fois qu’une personne m’a dit cela, j’ai trouvé que c’est un peu bizarre, donc j’ai pensé qu’il y avait probablement beaucoup de réservations pendant ce soir-là ; mais quand cela arrivait très souvent, je sais que c’est une différence culturelle. De temps en temps, c’est un peu énervant si je veux vraiment manger à ce restaurant. Mais c’est clair que les réservations sont plus habituelles et que ce n’est pas normal d’attendre plus que dix minutes pour s’asseoir au restaurant. Aux États-Unis, on peut attendre deux heures pour manger au restaurant si on a vraiment envie, mais en France, ce n’est pas le cas. Je pense que les restaurants fonctionnent ici d’une manière plus pratiquement qu’aux États-Unis ; néanmoins, je suis un peu choquée chaque fois que cela arrive.

MacKenzie

Description :

Je vous montre une photo du fromage, un type de la nourriture important en France. Cette photo est le fromage qui est toujours mangé après du diner avec mon hôtesse et avant le dessert. Le fromage est coupé dans un façon particulière qui est nécessaire de protéger le gout du fromage.

Interprétation :

C’est clair que le fromage est un produit clé pour l’économie française et vraiment important dans la culture et la vie française. Il existe un proverbe en France qui montre l’importance du fromage « s’il qui mange du fromage, s’il ne le fait, il enrage ». Je comprends le sérieux du fromage en France, mais je n’ai pas compris pourquoi on toujours mange spécifiquement du fromage après le repas. J’ai demandé à mon hôtesse cette question, et elle m’a dit qu’il existe une longue tradition du fromage après le repas, mais elle ne sait pas la raison pour cette tradition. La première raison est que le fromage neutralise l’acidité de la nourriture et les boissons. En plus, les français croient que le sucre et toujours après le salé pour que le fromage ne perd pas sa saveur, alors on doit manger le fromage avant le dessert.

Évaluation :

Au début c’était un peu bizarre pour moi de manger beaucoup de fromage chaque jour parce qu’il est rare de manger le fromage seul ou avec du pain aux États-Unis ou dans d‘autres pays. Cependant, même que je n’ai pas compris la tradition, j’ai commencé de l’aimer. Maintenant, je dois toujours manger du fromage après le diner avec mon hôtesse, et j’apprécie la tradition.

Fatema Sachak

Description : Ici, on voit La Fête de la Violette, un festival qui se passe le 4 et le 5 mars à la Place du Capitole. Quand on marche à travers la fête, on voit bien sûr les fleurs violettes (les variétés françaises, américaines, espagnoles, et italiennes), mais on voit également les gâteaux et les pâtisseries, les liqueurs et les thés, et les enfants heureux avec leurs ballons blancs et violets. Même quand il pleut, la fête est remplie de Français.

Interprétation : Aux États-Unis, on peut acheter les fleurs violettes au magasin Lowes, mais on ne les mange pas, et on ne les célèbre pas. Il est possible que cette fête soit un autre exemple de la tradition française de manger tout, et soit un exemple de l’histoire d’amour avec la France et la cuisine. Après tout, mon hôte m’a dit qu’il aime manger la tête de vache. L’acte de faire des plats avec une fleur n’est pas bizarre quand on le compare avec cela.

Or on ne voit ni une fête pour les chocolatines ni pour les citrons. Pourquoi les violettes sont-elles différentes ? Mon hôtesse m’a dit que la violette est la fleur de Toulouse : elle est liée à l’histoire de la vie, et son goût est une partie de la tradition culinaire toulousaine. La violette à Toulouse est donc plus qu’une fleur : elle est un symbole.

Évaluation : Les villes et les états chez États-Unis ont choisi également des fleurs et des animaux pour se représenter aux autres. Même si les Toulousains font des plats avec leur fleur, la tradition n’est pas si différente. Il est important d’avoir les symboles pour voir, toucher, ou sentir l’histoire de son pays et sa ville.

Luke Churchill