La culture de classe en France

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Je viens de terminer mes trois premières semaines de cours à ICT. La plupart des cours sont intéressants mais difficiles à suivre pour moi. Mais tous les professeurs et camarades de classe sont extrêmement gentils : ils répondent patiemment à mes questions et partagent leurs notes avec moi, ce qui m’aide beaucoup dans mes devoirs. Cependant, j’ai remarqué une culture de classe vraiment différente de WashU. À WashU, dans une classe avec une vingtaine d’élèves, ce n’est jamais chaotique. Les étudiants écoutent attentivement le professeur et participent activement aux discussions sur les supports de cours. À ICT, je me sentais comme si j’étais dans la classe d’un lycée, car les élèves se parlaient beaucoup, ce qui générait du bruit et des distractions. Le professeur a dû s’arrêter plusieurs fois pour maintenir la discipline. Dans une classe, le professeur a même eu une querelle avec deux étudiants parce qu’ils n’arrêtaient pas d’interrompre le professeur pour poser des questions. Je pouvais sentir le désespoir du professeur. Pourquoi est-ce si chaotique en classe en France ?

Interprétation

Les cours en ICT ont vraiment changé mon impression précédente de cours en France. Je pensais que le type d’éducation était principalement que le professeur parlait tandis que les étudiants prenaient des notes tranquillement. Il existe en fait de nombreuses interactions entre les instructeurs et les étudiants, à la fois positives et négatives. Il y a des étudiants qui font attention et il y a ceux qui ne se soucient pas vraiment. Je pense qu’une explication possible est que les performances des étudiants en classe n’affectent pas leur note finale. L’évaluation est uniquement basée sur la présence. De plus, les étudiants ne changent pas du tout leurs camarades de classe pendant la licence de trois ans. Ils prennent presque toutes les classes ensemble et il y a un nombre limité de professeurs. Les élèves sont trop familiers entre eux et avec les instructeurs. J’ai demandé à un professeur de ICT, et il m’a dit que la performance des étudiants en classe dépend beaucoup de leurs objectifs. Beaucoup d’étudiants viennent à l’université simplement pour obtenir un diplôme. Ils ne se soucient pas vraiment des connaissances en classe. Beaucoup d’étudiants du MCC sont eux-mêmes des artistes.

Évaluation

Je réalise que je regardais le problème avec certains stéréotypes. Le professeur de ICT m’a expliqué que le ICT est une université privée, donc il n’est pas vraiment sélectif et compétitif. Il accueille tous les types d’étudiants, en conséquence le niveau et la compétence des étudiants varient beaucoup. Au contraire, WashU est l’une des 30 meilleures universités des États-Unis et il est vraiment difficile d’y entrer. Donc, ces deux universités ne sont pas vraiment comparables. Il est également abrupt de dire que la culture de classe en France et en Amérique est différente, parce que ce que j’ai observé n’est qu’un cas assez particulier. De plus, une atmosphère d’apprentissage chaotique ne signifie pas nécessairement que les étudiants sont incapables d’apprendre. C’est probablement leur façon confortable d’apprendre car je réalise que la plupart d’entre eux prennent des notes parfaites !

Note du blog : 16

Trop de pièces

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Il y a quelques jours, je regardais la poignée de pièces que j’avais reçu jusqu’à présent — et c’était une grosse poignée après tout l’argent que j’ai déposé dans les boulangeries et les pâtisseries — quand j’ai vu une pièce qui a attiré mon attention. C’était la pièce de 1c, et c’était la première que j’avais rencontrée en près d’un mois à Toulouse. Aux États-Unis, personne ne veut vraiment recevoir des pièces de 1c, mais dans les magasins tu te retrouves toujours avec au moins quelques unes. En France, il est toujours vrai que personne n’en veut, mais comme par magie, tu ne les obtiens pas. Cette pièce doit alors être quelque chose de spécial.

Interprétation

Aux États-Unis, les prix sont partout, la plupart des choses semblent coûter quelque chose comme $XX,99. Ensuite, lorsque vous tenez compte des taxes, le prix final peut être pratiquement n’importe quoi a cause de l’état et de la ville dans lesquels tu te trouves. Pour cette raison, vous êtes presque destiné, si vous payez en espèces, à vous retrouver avec une collection de pièces diverses, les centimes inclus. En France, d’autre part, la plupart des prix sont arrondis au 50c le plus proche, ou au moins à un multiple de 10 centimes. Contrairement aux États-Unis, où la taxe de vente est différente dans chaque endroit, la France a une TVA plus générale, et cela qui facilite l’intégration de la taxe dans un prix final très égal. J’ai demandé à quelques-uns de mes amis français de voir les pièces dans leurs portefeuilles et beaucoup d’entre eux ont corroboré mes propres découvertes, une majorité de pièces de 1 et 2 euros ainsi que des pièces de 50c, mais presque pas de centimes.

Évaluation

Personnellement, je crois que les Français ont la bonne idée. Lorsque vous payez en espèces, il est beaucoup plus facile de transporter quelques pièces de 0,5, 1 et 2 euros que vous êtes susceptible d’utiliser plutôt qu’un tas de petites pièces où vous ne savez jamais combien vous en aurez besoin. À cause de toute cela, je pense que je vais obtenir un cas à trophées miniature pour cette pièce extrêmement rare.

Note du blog : 16

On goûte: L’expérience au cinéma français

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Je n’étais jamais une cinéphile avant d’arriver à Toulouse, mais pour améliorer mon français, particulièrement en écoutant la langue, j’ai décidé d’explorer la culture française par le septième art. Avec la suggestion de mon hôtesse, je suis allée au cinéma qui s’appelle ABC situé à proximité à l’arrêt du métro Jean d’Arc. Après que j’ai acheté mon premier billet, le guichetier ne m’a pas demandé quel siège je préférais, et j’ai aussi oublié de lui le questionner. Le jour de la séance, quand j’y suis arrivée, il y avais déjà 40 ou 50 personnes dans la salle d’attente au rez-des-chaussée du cinéma. À peu près 5 minutes avant la séance, le guichetier a retiré la colonne à l’entrée de l’escalier et nous nous sommes écoulés toute de suite à la salle. À la fin de la queue, en entrant la salle, j’ai trouvé que la plupart des sièges déjà occupés. Je me suis dépêchée à l’arrière et me suis assise rapidement à un siège vide alors que la lumière était éteinte. Pendant les 100 minutes suivantes, je suis restée curieuse sur ce jeu de la disposition des places au cinéma français. 

Interprétation

À la fin du film, j’ai réfléchi sur cette petite expérience étonnante pendant le générique du film. La lumière était encore éteinte, et personne n’est sorti alors j’avais quelques minutes pour démêler cette « mystère ». Pourquoi est-ce que le guichetier ne m’avait pas demandé de choisir un siège? S’il m’avait démandé, j’aurais peut-être eu un meilleur angle de vue. Une explication possible est la taille du cinéma. Parce que la salle est petite de même que le cinéma, c’est-à-dire qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui travaillent ici, cela ne vaut pas la peine d’organiser des placements avant la séance. De plus, pourquoi est-ce que tout le public doit attendre ensemble au pied à l’escalier? Dans des cinémas américains, on peut toujours entrer la salle, individuellement, avant la séance avec son billet et attendre pour le film là-bas. Pour cette question, je n’en avais aucune idée. Plus tôt, j’ai posé des questions au guichetier. Il m’a expliqué que le cinéma suit le principe « premier arrivé, premier servi », c’est-à-dire que l’avantage des choix appartient à ceux qui arrivent le plus tôt au cinéma, pas ceux qui achètent les billets le plus tôt. De plus, la période de l’attente permet au public de voir des fiches pour des autres films ou des activités culturelles à Toulouse sur le comptoir. Quand j’ai raconté cette histoire à mon hôtesse, elle m’a dit qu’également, plus on attend pour le film, mieux on l’apprécie.

Évaluation

Quand mon hôtesse m’a introduit ce cinéma la première fois, elle m’a averti qu’il est un peu spécial et le public qu’il accueille est également différent de ceux qui vont aux grands cinémas. Au cinéma ABC, chaque film est considéré comme une œuvre d’art, ou dans mon opinion, comme un plat raffiné au restaurant. Avant que le plat est servi, la faim grandi. Dans la période d’attente, on se vide l’esprit pour tirer le meilleur d’art, et dans la connaissance d’une expérience partagée, on respect les autres cinéphiles en attendant patiemment. Dans la salle, on ne consomme pas le film – on goûte. À cause de cette attitude, on ne mange pas du tout pendant le film – pourquoi consommer autre chose que l’œuvre devant nous? Pour la même raison, on reste attentive jusqu’à la fin du générique en tant qu’un symbole d’appréciation du travail de l’équipe du film. Cette expérience du cinéma m’a montré qu’il y a un art de savourer le septième art, caché et réservé aux petits cinémas comme ABC.
Note du blog :  15,5/20

Les toilettes universitaires : espace intime et publique

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Les gras lettres en rouge brillant m’accueillaient dès que je suis entrée dans la salle de toilettes au Mirail. Quand je suis entrée dans un cabinet, j’étais encore choquée par les messages qui ont couvert pas seulement les murs dedans, mais l’extérieur des portes aussi. ” A bas les TERFS “, ” #STOPSPÉCISME “, ” Sex work is work ” – les declarations fortes sont souvent accompagnées par des réponses des autres soit écrites ( ” <– oui ! ” ” Bah ” ) soit le soulignage ou l’effacement des mots. Quelques uns ont même noté des noms des podcasts recommandés pour les autres à écouter.

J’admets — j’ai passée plus de temps que nécessaire au cabinet en essayant de lire tous les petits messages et les réponses. C’est fascinante de voire qu’est-ce qui sont les problématiques à l’avant de la conscience des jeunes françaises.

Interpretation

Dans les drames de lycée américaines, c’est aux toilettes où les personnages fuient leurs problèmes, montrant sa vulnérabilité en pleurant dans un cabinet. Sur les murs aux toilettes à Wash U, on voit des confessions écrites toutes petites au stylo coloré, au crayon ou au feutre, tout exprimant de la souffrance interne de l’anxiété, de la depression, et quelque fois de la colère. A côté de ces petits mots, il y a des réponses : des paroles rassurantes et des expressions de la solidarité. Cette espace intime ou on pourrait exprimer les sentiments les plus sensibles et délicats. 

Àu contraire, la salle de toilettes à l’université française n’est pas un lieu de la sensibilité ni de la délicatesse. La salle de toilettes est un lieu de la lutte politique, une expression de la démocratie et de l’activisme. Une connaissance française m’a dit que les toilettes sont toujours une espace privée où les gens peuvent “se cacher pour s’exprimer sans honte de la rage qu’ils ont au fond d’eux.” 

Une autre connaissance qui étudie au Mirail m’a notifié qu’il y a, efait, un instagram dédiée aux graffitis des toilettes de l’université. Évidemment, je ne suis pas la seule qui passe de temps à lire ces petites phrases. 

Évaluation

Les toilettes sont à la fois privée et publique. L’intimité qui permet ce débordement de l’emotion reste essentielle dans en France comme aux États-Unis. L’objet et le même— de relâcher de ses emotions fortes—mais le forme est un peu différent. C’est probablement le contexte plus politique des universités publiques qui créé cette espace politique des toilettes, mais je suis curieuse s’il y a d’autres influences culturelles aussi. Comment est-ce que les français expriment ou gèrent de la tristesse ? Est-ce que c’est un autre exemple des différences dans la conception de la vie privée, où les américains divulguent des sentiments intimes avec des inconnus mais ne les parlent pas de la politique tandis que pour les français c’est l’opposé ? 

Note du blog : 15

La Camaraderie des étudiants français

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Avant que je suis arrivée en France, ce qui m’inquiétait le plus était l’idée de suivre tout mes cours en Français, avec les étudiants français. J’étais sûre que je n’arriverais pas à tout comprendre les professeurs à Sciences Po et j’avais raison, malgré cela j’étais accablée quand j’ai assisté à mon premier cours d’amphithéâtre et je me suis trouvée complètement perdue. C’était un vrai choc culturel comme je suis habituée au style interactif des cours de dix à quinze étudiants à Dickinson. Les étudiants français copiaient tout ce que le professeur a dit sur leurs ordinateurs, pendant j’essayais de noter quelques mots dans mon carnet. J’ai remarqué que quelquefois les étudiants français se consultaient entre eux et recopiaient les notes de leurs voisins quand ils manquaient quelque chose que le prof a dit. Comme Dickinson est une petite université privée, je savais que mon expérience serait complètement différent à l’IEP. Comme il n’y a pas de cours d’amphithéâtres à Dickinson, je ne sais pas comment sont-ils aux Etats-Unis mais ce qui est vraiment choquant pour moi en France est la volonté des étudiants français de partager leurs notes.

Interprétation

Dans mon expérience comme étudiante américaine, l’idée de partager mes notes avec quelqu’un, surtout quelqu’un que je ne connais pas très bien, est vraiment bizarre. Si j’ai pris le temps de faire attention au professeur et quelqu’un d’autre ne faisait pas attention pendant la séance, je serais peu encline à lui donner mon travail. De ma vie scolaire, je pense que j’avais demandé une fois pour les notes d’un camarade de classe, mais en France tout est différent parce que je ne peux plus compter sur moi-même de prendre de bonnes notes quand je ne comprends pas toute la leçon. J’ai parlé avec mes hôtes et ils ont dit qu’il faut demander à quelqu’un pour ses notes. J’étais étonnée par cette suggestion parce que ça me semble d’être un peu irrespectueux et aussi un peu paresseux, mais mes hôtes ont affirmé que c’est une pratique normale pour les étudiants français. Il me semble qu’aux Etats-Unis il y a moins de camaraderie entre les étudiants et peut-être surtout dans les petites universités où on doit être un peu plus indépendant pendant les leçons parce qu’il est sûr qu’on va participer individuellement.

Evaluation

J’ai trouvé que mes hôtes avaient raison, parce que la prochaine fois quand j’ai demandé à une camarade de classe pour ses notes, elle était heureuse de me les envoyer par email. Il est possible que la pratique de partager les notes n’est pas vraiment une grande différence culturelle mais plutôt une différence entre les grandes universités et les petites. D’autre part, je me souviens qu’au lycée la pratique de partager les notes n’était pas très acceptée à moins qu’on devait manquer la leçon pour cause légitime. Bien que je sois très contente que les français ont l’habitude de partager leurs notes sans-soucis, je ne sais pas si je vais adopter la même bonne volonté quand je retourne aux Etats-Unis. Pour moi, c’est difficile de changer mon avis sur ce sujet parce que j’avais toujours grandi avec la notion qu’on est singulièrement responsable pour son propre succès à l’école.

Note du blog :  15

La photo améliore le blog, mais on a envie de voir à quoi ressemble les vraies notes!

L’addition, s’il vous plaît ?  

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Le premier samedi après je suis arrivée à Toulouse, un petit groupe des autres étudiants dans le programme ont décidé d’essayer un nouveau restaurant pour un déjeuner élégant. L’intérieur est vraiment élégant, les serveurs s’habillent avec des chemises blanches, et un chandelier au plafond. Nous nous assoyons à une table au coin de restaurant. Je commande un verre de vin rouge, après le saumon, et finalement un dessert. Après nous finissons nos desserts, nous restons à la table pour quelques minutes, très heureux avec notre déjeuner. Nous attendons l’addition pour quelques minutes et aucun serveur ne nous donne l’addition. Nous continuons à parler dans le joli restaurant, mais vingt minutes ne passent et nous ne recevons pas de l’addition. Je ne veux pas être impoli, mais j’ai d’autres choses à faire ce jour, donc je demande au serveur, « l’addition, s’il vous plaît ? » Il me dit, « vous payez au bar. » Quelle surprise !

Interprétation

La notion d’avoir besoin de payer au bar à un restaurant si élégant que cela est complètement étranger à moi et mes amies. Je me sens un peu gênée pour rester à la table pour une assez longue durée. Nous allons au bar immédiatement pour payer, une par une. Nous sortons le restaurant et nous sommes toutes choquées par cette petite différence culturelle. Ce processus est très différent qu’aux États-Unis où le serveur apporte toujours l’addition directement à la table, sauf pour les restaurants très casuels. Quand je retourne chez moi le soir, je demande à ma hôtesse si elle trouve ce différence d’être representative de la France. En fait, elle me dit que cette coutume n’est pas nécessairement français. Les restaurants autour de l’Europe demande que leurs clients payent au bar pour éviter que les serveurs gardent les espèces. Comme ça, si les clients payent au bar avec le restaurateur, il est assuré qu’il n’y a pas de vols.

Évaluation

Quand je pense à cette coutume dans la culture française en total, il fait du sens que le serveur ne vous donne pas l’addition à la table. Les repas longs sont une partie de la vie française très importante. Ce temps au déjeuner et au dîner permet les gens à se discutent avec leurs familles, amis, ou collègues. Il est un temps pour se reposer et pour apprécier la nourriture. Les deux valeurs de qualité de vie et de la nourriture sont visibles dans la coutume de payer au bar. Ce n’est jamais le but du restaurant de faire se dépêcher les gens qui dînent parce que le restaurant est l’épitomé des valeurs français : reposer et nourrir bien. Maintenant, je comprends cette différence au restaurant et j’apprécie la prévenance qui est montrée au restaurant.

Note du blog : 14/20

La Cuisine Française: Même Chose, Heure Différente

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Trois fois par semaine, je mange avec ma famille d’accueil. Mon hôtesse peut cuisiner très bien et elle cuisine des tartes, des soupes, et autres repas. Ils sont souvent comme les repas que je mange aux États-Unis et ils utilisent principalement les mêmes ingrédients. Le dessert est un peu différent mais pas beaucoup; nous mangeons du yaourt, du fromage, des fruits, ou un petit morceau d’une pâtisserie. Mais les Américains parlent souvent des différences entre la cuisine américaine et la cuisine française. Comme il semble que les repas ne sont pas changés, où est ces différences ?

Interprétation

Le différences peut être trouvé à la heure des repas, mais surtout, aux heures quand les personnes françaises ne mangent pas. Aux États-Unis, des personnes mangent toute la journée. Nous pouvons manger des snacks à 10h, à 14h, à 23h….à toute heure du jour ! Par contre, les Français mangent seulement aux heures du repas. On a le petit-déjeuner, le déjeuner, le goûter, et le dîner. C’est tout ! Il n’y a pas des snacks entre les repas. Cela est un peu difficile pour moi, une américaine qui est habituée à manger des snacks pendant la journée. Pendant mes premières semaines à Toulouse, il y avait quelques fois ou je voulais une chose à manger mais il n’était pas le temps pour un repas !Désolé, nous sommes fermés - Closed sign

Il y avait un autre fois quand mon ami et moi étions en train de manger nos déjeuners. Tout à coup, nous avons réalisé que nous étions les seules personnes au restaurant. Pourquoi ? Il était 14h30, et tous les Français avaient mangé. Nous étions en retard !

Evaluation

La cuisine en France est pas très différente de cela aux États-Unis mais les Américains mangent différemment aux Français. Le façon de penser à la nourriture n’est pas d’accord entre les deux pays. Les Français utilisent la heure du repas pour penser, pour manger lentement, et pour du bonheur. La plupart du temps, les Américains utilisent la heure du repas pour seulement manger. Peut-être ils finissent un peu du travail. Les Français, par contre, sont là pour manger.

Note du blog : 15,5/20

La Vie Professionelle et la Vie Sociale

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Aux États-Unis, j’ai l’habitude d’aller aux cafés pour travailler, faire mes devoirs, passer du temps sur mon ordinateur. Mais ici, les filles de mes hôtes m’ont dit qu’aux cafés, il y a trop de bruit et les gens ne font pas souvent le travail. Le travail est plus pour les bibliothèques. Alors, parce que j’aime bien travailler aux cafés, j’ai cherché des cyber-cafés ou des cafés où il est acceptable de travailler. Sur l’internet, j’ai appris qu’il y a des cafés où on peut travailler, mais surtout pas tous les cafés.

Café Cerise
Un café où il est acceptable de travail au même temps qu’on mange

Interprétation

La culture française est associée avec des cafés. On peut penser des images des gens qui boivent du café et parlent. Alors, peut-être que les français distinguent leurs vies sociales avec leurs vies professionnelles ou de travail. Ça veut dire que les français ne veulent pas travailler aux cafés parce que les cafés sont des lieux où on peut éviter le travail. L’institution des cafés où il est acceptable de travailler peut-être un exemple de comment la culture française est influencée par la culture américaine. Un exemple est l’introduction des Starbucks en France. Mais aussi, le fait qu’on peut trouver des cafés pour travailler est une chose plus commune aux États-Unis.  Mon pote français m’a dit que d’habitude, les étudiants français font leurs devoirs ou révisions chez eux ou à la bibliothèque.

Évaluation

Cette situation me fait penser de la séparation de travail et la vie personnelle aux États-Unis. J’apprécie la séparation en France parce que j’ai remarqué qu’il est trop facile pour moi, aux États-Unis, de me sent mal pour prendre du temps personnel lorsque je n’ai pas encore fini mon travail. Mais, la culture française, avec le temps spécial pour la vie personnelle m’a appris que la balance est importante. Néanmoins, il est bien sur un transition, parce qu’à Dickinson, j’aime étudier dans ma chambre, puis me démanger au café, puis a la bibliothèque, puis dans une salle de classe, juste pour une changement d’environnement.

Note du blog : 15

Les toilettes… mais pour qui?

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Un soir, je buvais un verre avec une copine et je me suis excusée pour aller aux toilettes. Comme d’habitude en France, certaines salles ne contiennent que des toilettes reliées à une salle plus grande avec des lavabos. J’ai quitté la salle de la toilette et quand j’ai commencé à me laver mes mains, j’ai vu un homme sortir de la salle de la toilette à côté de la mienne. Pensant que je me suis trompée et que j’étais dans les toilettes des hommes, j’ai tout de suite murmuré que j’étais désolée et je suis partie. Embarrassée, je cherchais pour un panneau à l’extérieur de vérifier que c’était vraiment des toilettes d’hommes, mais curieusement, il n’y en avait aucun. Je n’avais aucune raison d’être embarrassée, c’était des toilettes unisexes!

Interprétation

Je suis revenue à ma copine française, et nous avons bien rigolé. Honnêtement, j’avais paniqué pendant les deux minutes quand je pensais que j’ai fait une erreur aussi maladroite.  En Amérique et en France les toilettes restent un espace très privé dans les deux, j’étais sûre que je venais de m’immiscer dans l’intimité d’un homme au hasard. Pas toutes les toilettes en France sont unisexes comme celle-là, mais on les trouve fréquemment. J’ai demandé mon amie pourquoi ce phénomène ne dérange pas les français, et elle a commenté que les espaces très privés, les salles des toilettes, sont très séparées et fermées par rapport aux cabinets on trouve aux États Unis. Les genres partagent l’espace seulement quand ils se lavent leurs mains.

Evaluation

C’était un choc personnel, mais je suis sûre que les français n’y pensent pas plus que ça. J’imagine que les français ne trouvent pas les toilettes unisexes remarquables. L’idée d’utiliser des toilettes unisexes comme celles-ci en France ne me met pas mal à l’aise, mais la comparaison est intéressante car il y a récemment eu d’importants débats aux États Unis concernant les toilettes que peuvent utiliser les personnes transgenres . Beaucoup de gens avaient des opinions bien arrêtées, mais ce problème ne va jamais arriver ici.