Merci à Anna, Ellen et Kristina qui grâce à leur motivation et leur bonne humeur ont permis la réalisation de la Une d’octobre !

 

Un week-end à Bordeaux

par Anna Applebaum

 

Le week-end dernier, j’ai voyagé à Bordeaux avec mes hôtes. C’était mon premier week-end à Toulouse et j’étais inquiète de partir au tout début du semestre. Néanmoins, mes hôtes m’avaient invitée et j’ai décidé de les accompagner. C’était vraiment une bonne idée ! Bordeaux est une ville merveilleuse, et je l’ai trouvée complètement différente de Toulouse. Bordeaux est au nord-ouest de Toulouse, près de l’océan Atlantique.   C’était un port important, et donc c’était une ville riche. Maintenant, on peut voir cette richesse dans les grands immeubles de la ville – les énormes maisons en pierres blanches. Il y a aussi une grande cathédrale, une grande cloche, et les vestiges des grands remparts de la vieille ville. Il existe quand même à Bordeaux un quartier moderne où de nouveaux bâtiments modernes sont construits souvent juste à côté des vieux immeubles.

La ville de Bordeaux me semble moins cosmopolite que Toulouse, mais plus bourgeoise. Il existe toujours dans les rues des magasins chers et élégants, comme Cartier et Dior, et les gens sont très chics. Les rues les plus célèbres de Bordeaux sont les quais près de la Garonne, le fleuve qui passe à Toulouse et se jette dans l’océan au bord de la mer. Ces quais sont toujours pleins de gens, qui y vont pour se promener, pour se reposer et pour rencontrer d’autres personnes.

Enfin, Bordeaux est une belle ville avec beaucoup des choses à voir, on peut y faire du lèche-vitrines ou en regarder les jolies gravures des vieilles maisons.

 

 

 

 

 

 

 

 


Réflexion sur les Français

par Kristina Niedermayer

Je crois que presque toutes les femmes françaises sont plus minces que les femmes américaines. Au début, je ne comprenais pas comment cela pouvait être possible parce que les Français mangent beaucoup de viande et beaucoup de pain. Mais maintenant je comprends que les femmes et les hommes aussi, mangent toutes les nourritures du monde (commede la viande, du vin, du pain), mais ils prennent la nourriture avec modération. Je trouve qu’il existe une certaine d’obsession de la quantité aux États-Unis. Donc presque tous les Américains sont obsédés par la quantité qu’ils cherchent tout le temps. Ils veulent des grandes maisons, des grandes voitures, et bien sûr, des grandes assiettes avec trop de nourriture.  Je préfère la modération des Français  parce qu’ils se concentrent sur la qualité de leur vie au lieu de la  quantit de ce qu’ils possèdent. Ma partie favorite de la journée est le dîner que je prends avec ma famille d’accueil. Avec ma famille, je peux profiter de la nourriture merveilleuse, du vin, et de la conversation.

Piano aux Jacobins

par Ellen Aldin

Le 15 septembre 2011, le groupe de 14 étudiants de Dickinson en France a passé la soirée au cloître des Jacobins pour écouter un concert de piano. Le pianiste  était Ronald Brautigam, il a joué quatre sonates de Beethoven : no. 8 en mineur (Pathétique), no. 15 en ré majeur (Pastorale), no. 14 en ut dièse mineur (Clair de Lune), et no. 23 en fa mineur (Appassionata). Ce spectacle était dans le cadre du festival Piano aux Jacobins, qui est un festival annuel pour le piano en automne dans le cloître des Jacobins.

J’ai déjà assisté à plusieurs concerts de  musique classique à l’extérieur, mais ce concert était unique parce qu’il se passait dans un petit endroit qui était stimulant visuellement. Les spectateurs étaient assis dans le jardin du cloître ou dans une petite salle avec le pianiste, mais tout le monde pouvait voir le pianiste. C’était un artiste dynamique. Quand il jouait du piano, il ne restait pas calme ; son corps oscillait avec le rythme de la musique. Mais si les spectateurs étaient  lassés pendant un moment du pianiste et de ses gestes, ils pouvaient regarder le cloître avec son jardin, ses colonnes, et sa tour, qui était éclairée pour la nuit. Alors, il était très difficile d’être ennuyé par le concert, bien qu’il ait duré trois heures.

La musique classique a démontré la grande variété de la musique de Beethoven. Il y avait des moments avec de la musique forte, douce, rapide, lente, mineure, et majeure. Je ne suis pas une critique professionnelle de la musique classique, mais j’ai pensé que Brautigam a très bien joué, surtout avec la variété des styles qu’il a joués dans le même concert. Il m’a semblé que les autres membres du public étaient d’accord avec moi. À la fin du spectacle, ils ont applaudi pendant plusieurs des minutes, quelquefois à l’unisson (« slow clap » en Anglais), pour demander un rappel, et Braugitam leur a fait plaisir.  Après qu’il a eu finit avec les sonates, il a joué des petites œuvres célèbres comme rappel.

J’étais étonnée de bien aimer le concert et je n’étais pas la seule membre du groupe qui avait le même sentiment. De la belle musique dans un bel endroit, on s’amuse facilement à Piano aux Jacobins.