De Carlisle à la Ville Rose

Author: coggins Page 17 of 18

A passion for wine – Grace McCrocklin

During our excursion, my favorite aspect was visiting the vineyard at Chateau Lastours. I really like the history of the chateau, as well as the remnants of that history that exist today, like the garden and the pigeon coop. However, the best part of the visit was our guide, the head of the vineyard as well as the patriarch of the family. Both the chateau and the vineyard have stayed in the same family for generations, and when our guide spoke about them, I could hear his pride for his family and the history of his business. The passion of Chateau Lastours, for their vineyard as well as their history, was the most poignant part of the trip for me.

chateaulastours

Une passion pour le vin – Grace McCrocklin

Pendant notre petite excursion, mon aspect favori était la visite du vignoble Château Lastours. J’aime beaucoup l’histoire de ce château, et aussi les vestiges qui restent maintenant, comme le jardin et le pigeonnier. Mais, la meilleure partie de la visite était notre guide, le chef du vignoble mais aussi le patriarche de la famille. Le château et le vignoble sont restés dans la famille pendant beaucoup de générations, et quand notre guide a parlé des deux, j’ai entendu sa fierté de sa famille, mais aussi l’histoire de son entreprise. La passion du Château Lastours, de leur vignoble mais aussi leur histoire, était la partie de l’excursion la plus puissante pour moi.

chateaulastours

Conques – Schuyler Atkins

I am standing in front of a beautiful view of Conques, a small medieval village that is one of the stops on the Saint Jack of Compostelle trail- it’s a trail for pilgrims, but hikers also take it. I really liked our visit to Conques. It was an opportunity to see a part of France- the countryside and a medieval village- that I had never seen. It was awesome! I especially liked the view in this photo.  I had never hiked back home, and even if I had, I would never have seen a medieval village. Also, Conques is so isolated that I could see the Milky Way- our galaxy- at night! It wasn’t completely visible because of the streetlights, but I had never seen it before that night! I didn’t expect to enjoy our visit to Conques so much!

ATKINS Conques

Counter key – Shelby Duncan

This weekend was rich with cultural outings. Even though there are plenty of things that I could choose to write about, I was most touched by the Soulages Museum. A contemporary artist, Soulages works a lot with blacks and browns, not to illustrate windows for the viewers, but to create strong and imposing walls. He wants to engage the public immediately. This engagement is critical for him because he believes that art can’t live without acknowledgement from an audience. Our guide encouraged us to find the “counter-key” to Pierre Soulages to free the entire truth of each work of art. Maybe my reaction to the pieces and this museum is the beginning of my discovery of my “counter-key”.

DUNCAN Musée Soulages

Conques – Schuyler Atkins

Je suis devant une belle vue de Conques, un petit village médiéval qui est un arrêt sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle — c’est un chemin pour les pèlerins, mais les randonneurs le font aussi. J’ai bien aimé notre visite à Conques. C’était une occasion de voir une partie de la France — la campagne et un village médiéval- que je n’avais jamais vue. C’était génial! J’aime surtout la vue dans cette photo parce que je n’ai jamais fait de randonnée chez moi et même si je l’avais fait, je n’aurais jamais vu un village médiéval. Aussi, Conques est si isolé que je pouvais voir La Voie lactée — notre galaxie — dans le ciel le soir ! Ce n’était pas complètement visible à cause des lumières dans la rue, mais je ne l’avais jamais vue avant cette nuit-là ! Je ne m’attendais pas à tellement aimer notre voyage à Conques!

ATKINS Conques

Contre-clé – Shelby Duncan

Ce weekend était riche de sorties culturelles. Bien qu’il y a plein de choses entre lesquelles je pourrais écrire, j’étais la plus émue par le musée Soulages. Un artiste contemporain, Soulages travaille beaucoup avec les noirs et les bruns, pas pour illustrer des fenêtres pour les spectateurs, mais pour créer des murs très forts et imposants. Il veut engager le public immédiatement. Cet engagement est crucial pour lui parce qu’il croit que l’art ne peut pas vivre sans l’attention du public. Notre guide nous encourageait à trouver la “contre-clé” de Pierre Soulages pour libérer la vérité de chaque œuvre d’art. Peut-être ma réaction aux œuvres et au musée est le commencement de la découverte de ma “contre-clé”.

DUNCAN Musée Soulages

Première excursion : découverte Midi-Pyrénées

Chers lecteurs,

Le weekend du 26 et 27 septembre le groupe de Dickinson a effectué sa première excursion. On est sorti de la ville de Toulouse pour découvrir d’autres trésors de la région Midi-Pyrénées.  En partant au nord pour pénétrer dans deux départements, l’Aveyron et le Tarn, notre premier arrêt était au musée Soulages à Rodez, récemment ouvert et consacré aux oeuvres du Ruthénois Pierre Soulages.  Les collections du musée se comprennent de peintures, d’estampes, et aussi de fameux cartons des vitraux de Conques, ce que le Monsieur Soulages a dessiné et construit en 1994.

Une peinture de Soulages

Une peinture de Soulages

Musée Soulages à Rodez

Les cartons des vitraux de Soulages

Les cartons des vitraux de Soulages

 

Après la visite, le groupe a déjeuné à Rodez avant de partir à Conques, un village qui mérite bien les plusieurs titres dont il profite, comme “Grand Site de France” et un des “Plus Beaux Villages de France”, qui affirment l’importance du patrimoine du village.  L’après-midi notre cher guide, Monsieur Créma, nous a fait visiter l’Abbatiale Sainte-Foy et le trésor où on peut voir les reliques qui ont attiré autant de pèlerins à travers les siècles.  Le soir on a partagé le dîner avec tous les pèlerins, et après le repas quelques étudiantes ont écouté le concert d’orgue dans l’abbaye.

L'Abbatiale Sainte-Foy

L’Abbatiale Sainte-Foy

Le village médiéval

Le village médiéval

Le tympan

Le tympan

Monsieur Créma nous explique le tympan de l'abbaye

Monsieur Créma nous explique le tympan de l’abbaye

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le lendemain on s’est réveillé tôt pour faire une randonnée, aussi guidée par Monsieur Créma, qui nous a enseigné sur l’histoire du village et des pratiques des pèlerins, mais aussi de l’environnement naturel.  Un pique-nique en plein air était la conclusion parfaite de notre séjour à Conques et notre randonnée.

P1040842Il nous restait un dernier arrêt avant de retourner à la Ville Rose: le Château Lastours à Lisle-sur-Tarn, un vignoble dans la région de Gaillac où on a fait une visite guidée avec le vigneron lui-même et aussi une dégustation de vin, ce qui nous a permis d’apprécier tout le travail dont le vigneron nous avait expliqué avant.

Monsieur de Faramond, le vigneron, explique l'histoire du château au groupe

Monsieur de Faramond, le vigneron, explique l’histoire du château au groupe

Château Lastours à Lisle-sur-Tarn

Château Lastours à Lisle-sur-Tarn

On peut écouter le vin travailler!

On peut écouter le vin travailler!

Prêtes pour la dégustation!

Prêts pour la dégustation!

Je vous ai donné un résumé général de notre weekend puisque les sept étudiantes qui ont participé vont vous raconter leurs impressions et leurs parties préférées de l’excursion de Midi-Pyrénées.

Bonne lecture!

 

Resources for foreign exchange students in Toulouse

My life in Toulouse is different from Dickinson in many ways, but I was stunned by the resources for foreign students. At my university, the Institute for Political Studies (IEP), I am in the process of completing the CEP- the Certificate of Political Studies. With this program, the French courses- those of language but also of culture- are impeccable! The professors understand that the content, and the methods even more so, are different than the norm for their students. In fact, they are very nice and understanding. Also, at the library, you can find the Center for Language Resources for scholarly materials and help.

MCCROCKLIN article 1 photo

Entrance to the Institut des Etudes Politiques (IEP)

The Dickinson Center is full of tools as well, such as computers with Antidote software, a program for correcting documents in French. This program is incredibly practical, because it tells the writer the reason behind the corrections. Also, the Dickinson Center recruits French students to facilitate a tutoring program. It comes in handy when it is time for final exams and papers! Dickinson also provides university visits with students that currently attend each institution. Personally, I was much more comfortable the first day of classes, because I knew the layout of the IEP and where my classrooms were. Even better, if I can’t understand the professor and there are holes in my notes, I can ask my tour guide for help- she kept her notes from her first and second years!

 
If you want to go out at night, there are a lot of “conversation clubs” to improve your comprehension of the language and your accent. One of these clubs, the Cactus Bar which is very close to my university, is really great! Last week, I met a guy from Belgium, a girl from New Zealand, and even a guy from the Czech Republic. Everybody shows up with a strong desire to assimilate into French culture.

 
It’s true, the Toulouse program can be a bit difficult at first. But for me, all the tools at the Dickinson Center, at my university, and in the city itself have really helped me to avoid cultural misunderstandings.

Grace McCrocklin

 

Les ressources pour les étudiants étrangers à Toulouse

Ma vie à Toulouse est différente de celle à Dickinson dans plusieurs façons, mais j’ai été étonnée par les ressources pour les étudiants étrangers. À mon université, l’Institut d’Études politiques (IEP), je vais compléter le CEP- le Certificat d’Études politiques. Avec ce programme, les cours de français- de la langue, mais aussi de la culture — sont vraiment impeccables ! Les professeurs comprennent que le contenu des cours, et en plus la méthode, sont différents de la norme pour leurs étudiants. En fait, ils sont très aimables et compréhensifs. Aussi, à la bibliothèque, on peut trouver le Centre de Ressources de Langue pour les matériels et l’aide scolaires.

 

MCCROCKLIN article 1 photo

L’entrée de l’Institut d’Etudes Politiques

Au Centre Dickinson il y a plein d’outils aussi. Par exemple, les ordinateurs avec le logiciel Antidote, un programme pour corriger les documents en français. Ce logiciel est très pratique, parce qu’il montre les explications pour toutes les corrections. En plus, le Centre Dickinson recrute les étudiants français pour coordonner un tutorat. Cela est très nécessaire quand les périodes de devoirs finaux arrivent ! Aussi, Dickinson a coordonné des visites universitaires avec les étudiants qui assistent déjà à chaque université. Pour moi, j’étais vraiment plus à l’aise la première journée des cours, parce je connaissais le plan de l’IEP et savais où étaient les salles pour mes cours. En plus, si je ne peux pas comprendre le professeur et il y a des trous dans mes notes, je peux demander à ma guide- elle a gardé toutes ses notes de la première et deuxième année !

 

 
Si vous avez envie de sortir le soir, il existe beaucoup de « clubs de conversation » pour améliorer votre compréhension de la langue et votre accent. Un des clubs au bar Cactus, qui est tout près de mon université, est très sympa ! La semaine dernière, j’ai rencontré un garçon qui vient de la Belgique, une fille de la Nouvelle-Zélande, et aussi un garçon de la République tchèque. Tous se retrouvent là avec un désir de s’assimiler plus dans la culture française.

 

 
C’est vrai, le programme de Toulouse peut être une expérience un peu difficile au début. Mais, pour moi, tous les outils au Centre Dickinson, à mon université, et enfin dans la ville elle-même, servent à diminuer les malentendus et le choc culturel.

 

-Grace McCrocklin

Changes in my daily life

When I arrived in Toulouse I didn’t expect my life to be completely changed in three weeks. The way I express my self has changed through my body language, gestures, and the way I take up space in public. It’s as if I were becoming a new person. There are differences that I notice everyday, although small, between the person I am in the USA and the person I am in Toulouse. Every morning I eat breakfast, which is something I never did or had time for in the USA. This little routine has changed the way I begin my day as it forces me to wake up earlier and gives me more free time for my day. This simple autonomy shows how life as a foreign student has changed me. Interacting with my hosts, that is to say how we make dinner together and the way we speak to one another, does not resemble my reality at home. At first it was weird to eat together and discuss different topics over dinner. I used to eat alone or in my room. In France, meals are for communication and to share our thoughts. Since I’ve been in France, one generally walks in the city to find a restaurant and after looking at the menu, which is located outside of the restaurant, one decides to eat there. The act of eating is an experience that is very different from the United States. In fact, the relationship between conversation and food is truly a French cultural trait. When we eat, there is a relaxed atmosphere; we are going to relax because the time to eat is a time of leisure that is neither measured nor rushed. I had to change my American mentality and become French. Toulouse life seems quiet but at the same time everyone has things to do. For foreign students, Toulouse is not overwhelming, but alive.

 

-Samantha Mendoza-Ferguson

Page 17 of 18

Powered by WordPress & Theme by Anders Norén