De Carlisle à la Ville Rose

Author: daussea Page 2 of 5

Les aventures des étudiants pendant les vacances d’hiver

2 étudiantes ont profité des vacances d’hiver pour voyager hors de France, voici le récit de leurs aventures.

 

Marrakech, Maroc du 23 au 26 février

par Sarah Howard

Pendant mes vacances d’hiver, j’ai visité la ville de Marrakech dans le sud du Maroc. Avec vingt-sept autres Américains, j’ai passé le week-end à explorer la ville, mais avons aussi voyagé dans la vallée d’Ourika et dans les montagnes de l’Atlas. À Marrakech, nous avons visité les souks, la Place Jamma El Fna, la mosquée de Ben Youssef, et le musée de Marrakech.

À l’extérieur de la ville, nous avons passé un peu de temps avec une famille Berbère (les indigènes de cette région), qui habitaient juste en dehors de la ville. Nous avons bu du thé à la menthe, et nous avons mangé le pain traditionnel des Berbères. La boisson nationale du Maroc est le thé à la menthe, un thé vert avec beaucoup de sucre, qui est est délicieux. Un soir, nous avons dîné dans la Djemma el Fna: on nous a servi des brochettes de poulet grillé, de boeuf, d’agneau, et des légumes mais aussi du pain, des olives, des frites, et du thé à la menthe.

C’était une expérience intéressante, parce que pendant que nous mangions sous une tente, beaucoup ds personnes se sont  approchées de nous et ont essayé de nous  vendre d’autres types de nourriture et des cigarettes. De plus, il y avait des enfants qui ont essayé de nous vendre des mouchoirs. Pour les autres repas, nous avons mangé beaucoup de tajines et de couscous.
Mon activité préférée a été quand nous avons fait du canyoning dans les montagnes de l’Atlas. C’était une expérience exaltante de faire l’ascension des chutes et de sauter à travers des ruisseaux.  Nous avons commencé notre aventure en retard (tout au Maroc se passe deux heures après l’heure à laquelle c’est censé commencer) donc quand nous avons fini, nous étions dans le noir le plus complet, mais c’était un après-midi incroyable.

 

 

C’était aussi amusant d’explorer les souks et de marchander avec les patrons. Dans un atelier, moi et trois amies avons  trouvé de jolies écharpes. Au début nous avons demandé le prix, et l’homme à dit 200 dirhams (20 euros) pour chaque. Nous avons dit non, 200 pour quatre. Il a dit non et il a suggéré l’autre prix comme 150 durhams pour chacun. À la fin, nous avons dit merci et quitté le magasin. Après 30 secondes, il nous a rattrapé et a dit que 200 dirhams pour les quatre marchait.

J’ai beaucoup aimé mes vacances à Marrakech. C’était sympa de ne pas organiser les rendez-vous et les événements, mais de suivre un plan qu’une autre personne avait fait.

 

C’était sympa de passer du temps dans une culture complètement différente (mais à la fin, les gens qui sifflent les filles sont un peu pénibles). J’aime les voyages, mais c’est toujours sympa de rentrer à Toulouse.

 

 

 

Lisbonne

par Lauren Brennan

Lisbonne est une ville incroyablement belle et la plage est aussi splendide que la ville. Après quelques journées de tourisme passées en ville, on a décidé qu’on avait besoin d’un peu de soleil et de repos à la plage. Malgré à quel c’était difficile de trouver le bon bus pour y arriver, au final, c’était la meilleure partie de notre séjour! La découverte de l’autre coté de l’Atlantique est sans doute l’expérience la plus impressionnante de ma vie de e voyageuse en Europe, à ce jour.

The Garbure

by Ellen Aldin

During our trip in the Pyrénées mountains, we learnt how to cook the Garbure.

Feeds 6 people
Preparation: 25 minutes
Cook Time: 2 hours and 30 minutes

Ingredients:
¾ cup (.87) white Tarbes beans or similar
1 pound of potatoes
1 cabbage at around 1 pound
2 (2.175) cups or 1 pound of leeks
2 (2.175) cups or 1 pound of carrots
½ pound of turnips
1 large onion
½ pound of celery
4 garlic cloves
salt and pepper
1 pig’s foot (I think this is wrong?)
1 pork shank
6 duck pieces (wings or thighs)

Preparation:
1.    Let the beans soak overnight in warm water. Change the water at least 1 time before cooking.
2.    Prepare the vegetables. Peel them (when necessary) and cut them.
3.    In a large pot, boil about 1 gallon of water. Cook with the pig’s foot and pork shank for 1 hour.
4.    Add the bean, turnips, carrots, celery, and leeks. Let them cook for 1 hour on low heat.
5.    Add the potatoes and cabbage. Add salt and pepper to taste. Let this cook for 30 minutes and taste to make sure the beans are done cooking.
6.    Cook the duck and add it at the very end.

Custom: After eating the plate of garbure, it is custom to “chabrot” on the plate that has a small amount of liquid left and is still warm. Dump your glass of red wine on the plate and drink the mixture.

Recette de la Garbure

Lors de notre excursion dans les Pyrénées, nous avons appris à cuisiner la Garbure:

Pour 6 personnes
Préparation : 25 minutes
Cuisson : 2 heures 30

Ingrédients :
200g de haricots blancs tarbais ou autres
500g de pommes de terre
1 chou de 500g
500g de poireaux
500g de carottes
250g de navets
1 gros oignon
250g de céleri branche
4 gousses d’ail
Sel et poivre
1 talon de jambon de pays
1 jarret de porc
6 morceaux de canard (manchons ou cuisses)

Préparation :

Mettre les haricots à tremper la veille dans de l’eau tiède et changez l’eau au moins une fois avant la cuisson.

Préparez les légumes : pelez-les et coupez-les en morceaux.

Dans une marmite profonde, faites bouillir 4 litres d’eau. Cuire avec le talon du jambon et le jarret de porc pendant 1 heure.
Rajouter les haricots, les navets, les carottes, les céleris et les poireaux. Laisser cuire à feu doux pendant 1 heure et rajouter le chou et les pommes de terre. Salez et poivres (goûter avec de saler car le talon de jambon peut avoir déjà salé la préparation.
Laissez cuire à feu doux pendant 30 minutes et goûter pour vérifier la cuisson des haricots

Cuire les morceaux de canard et les rajouter à la préparation.

Bon appétit !

Coutume : Après avoir mangé l’assiette de garbure, il est coutume de faire « chabrot » dans l’assiette encore chaude et contenant encore une cuillerée de garbure. Versez un verre de vin rouge dans l’assiette et buvez à même l’assiette.

Excursion dans les Hautes-Pyrénées: diaporama

Atelier cuisine

Itinérance dans la vallée

Dessins faits avec les fusains

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Randonnée

Visite de la fromagerie

Visite de l’élevage

A Night at the Theater (or, Why I am Here)

by Christina Socci


Studying abroad is not for the faint of heart. During our pre-departure orientation at Dickinson, we were told that this period of our lives would be one of the most challenging in our entire lives, which is not the most encouraging thing to hear when you’ve just been accepted to the program of your dreams. And yet (there is always an “and yet” in this type of story) we were also told that studying abroad can also be one of the most rewarding experiences in our entire lives. A double edged sword, but the way it cuts depends entirely on us, the students, and the way we navigate a new culture and new language.

 
For me, the hardest part about this experience so far is not being able to understand everything. Before coming here, I feared that this particular characteristic would reduce me to a quivering mass of tears and frustration on a daily basis. If you’ve seen Paroles gelées, you can probably guess where this is heading…

 
However, even though I understood practically nothing after the wedding scene (and not a whole lot before it), I walked away from the experience with a newfound appreciation for the artistic qualities of water, awe at the stamina and acting ability of the cast, and even a bit of insight into why I wanted to study abroad in Toulouse. The fact that I was able to enjoy myself at all during Paroles gelées made me realize that this experience can be a lot like dancing to music in a foreign language. Even if you only get a sense of the lyrics, sometimes the beat is enough to keep you going. For me, watching the amazing innovation in this retelling of Pantagruel’s adventures was, surprisingly, enough. And maybe that’s the point.

 

No matter the failures and difficulties I will experience during my semester in Toulouse, especially on a linguistic level, I know that there will always be a bright side if I’m willing to look for it.

Une soirée au TNT (ou, la raison pour laquelle je suis à Toulouse)

par Christina Socci

 

Une soirée au TNT (ou, la raison pour laquelle je suis à Toulouse)


L’acte d’étudier à l’étranger n’est pas une activité pour les âmes sensibles. Avant notre départ de Dickinson, pendant notre orientation, Global Education nous a dit que cette période serait, peut-être, l’une des plus provocatrices de notre vie— en fait, ces conseils étaient très difficiles à entendre au moment où l’on avait été accepté dans le programme de nos rêves. Pourtant, (un « pourtant » doit toujours exister dans ce type de récit) ils nous ont dit aussi que notre expérience à l’étranger pourrait être l’une des plus enrichissantes de notre vie. C’est une arme à double tranchant, mais la façon dont elle coupe dépendra surtout de nous, les étudiants, et de la manière dont nous trouverons notre chemin dans une culture et une langue différente.
Pour moi, l’aspect le plus difficile de cette expérience, pour l’instant, est mon incapacité à comprendre tout ce qui se passe. Avant mon arrivée, j’avais peur que cette caractéristique particulière me rende tous les jours déprimée et énervée. Si vous avez vu Paroles gelées, vous pouvez deviner le résultat de ma soirée au TNT…
Cependant, malgré ma compréhension limitée de l’intrigue après la scène du mariage (et, en fait, de ce qui se passait avant aussi), je suis partie du théâtre avec une appréciation des qualités artistiques de l’eau, du respect pour l’endurance et du talent des acteurs et des actrices, et, je pense maintenant, et un aperçu des raisons pour lesquelles j’ai adopté Toulouse comme ma propre ville. C’est vraiment bizarre d’avoir aimé la pièce, mais en pensant à Paroles gelées, je me suis rendue compte que l’acte d’étudier à l’étranger est similaire à celui de danser sur de la musique dans une langue étrangère. Même si on peut seulement comprendre quelques mots, quelquefois le rythme suffit. Pour moi, l’innovation incroyable dans ce nouveau récit des aventures de Pantagruel suffit. Peu importe mes échecs et les difficultés qui sont inhérentes à mon semestre à Toulouse, je sais qu’il y aura toujours un bon côté si je suis prête à le chercher.
« Les mauvais temps sont passés. » Trouvez un imperméable et surmontez la crise avec le sourire.

Excursion in the Pyrénées mountains

by Christina Socci

The Zen of Mountain Climbing

“It is not the mountain we conquer, but ourselves” Edmund Hillary
“Truly it may be said that the outside of a mountain is good for the inside of a man” George Edward Wherry, Alpinist

I remember thinking three things as I clung to the scraggly bushes on a mountain in the High Pyrenees:
1. Where did the path go?
2. Goodness that’s a lot of mud.
3. One does not simply walk into Mordor—approach with caution.
Of course, there was also the persistent concern that I would fall into the yawning abyss just a few inches away from my ragged sneakers. Being on a mountain in this situation does not give you a lot of options (namely, up or down), so I kept climbing. And, like Stevie Nicks, I turned around. Somehow, between the rock formation that looked suspiciously like Pride Rock from The Lion King and my new location, I found myself suddenly aware of how Edmund Hillary must have felt when he finally got to the top of Mount Everest: amazed by the view and at the fact that I was still alive. And yet, to be honest, the beauty of the view far outweighed my appreciation for my continued existence.
I’m not a city girl by any means, but being in the Pyrenees last weekend had an incredible effect on me. Maybe it was breathing all of that fresh air. Or learning about a completely different way of life. Or playing charades by a roaring fire. Or, possibly, getting to pet a sheep and hear a rooster sing in French. The list goes on for quite a while. Yet standing on top of that mountain symbolized all of those other experiences into one Zen moment of complete wonder.
I like to think that someday, I’ll go back to the mountains and make enough cheese, garbure, and apple-based pastry to feed an entire village. If anyone knows where I can get a good price for a couple of sheep and maybe a rooster or two, let me know.

Excursion dans les Hautes Pyrénées

Le Zen de l’alpiniste

par Christina Socci

Ce n’est pas la montagne que nous surmontons, mais nous-mêmes.
–Edmund Hillary

Vraiment on peut dire que l’extérieur d’une montagne est bien pour l’intérieur d’un homme.
–George Edward Wherry, alpiniste

J’ai pensé à trois choses pendant que je me tenais de toutes mes forces aux buissons déchiquetés d’une montagne dans les Hautes-Pyrénées :
1. Où est le chemin ?
2. Mon Dieu, regardez toute la boue.
3. On ne peut pas simplement entrer dans le Mordor—il faut s’approchez avec prudence.

Bien sûr, il y avait aussi l’inquiétude persistante que je tombe dans l’abîme éternel qui était juste à côté de mes baskets sales. Pourtant, on n’a pas beaucoup de choix sur une montagne (c’est-à-dire, monter ou descendre), ainsi j’ai continué à monter. Ensuite, comme Stevie Nicks, je me suis retournée. Entre la formation d’ardoise qui ressemblait vraiment à un décor du roi lion et l’endroit où je me trouvais, je me suis rendu compte de ce qu’à ressenti Edmund Hillary quand il a atteint la cime du Mont Everest : j’étais émerveillée par la vue et étonnée d’être encore vivante. Honnêtement, la beauté des montagnes était plus importante que le fait que mon existence continue.
Je ne suis pas du tout une citadine, mais le week-end dernier dans les Pyrénées m’a vraiment impressionné. Peut-être que c’était grâce à l’air frais que j’ai respiré. Ou à l’apprentissage d’un mode de vie complètement différent du mien ; ou plutôt grâce au jeu de charades près d’un feu de cheminé chaleureux ; ou même à la visite pendant laquelle j’ai caressé une brebis et entendu un coq chanter en français. La liste est longue. Pourtant, ce moment sur la cime de la montagne a distillé toutes les autres expériences, créant un instant de zénitude et d’émerveillement complet.
J’aime l’idée qu’un jour, je vais retourner à la montagne pour fabriquer assez de fromage, cuisiner assez de garbure et de croustade pour tout le village. Si quelqu’un sait où je peux trouver des brebis et peut-être un coq ou deux pour un bon prix, faites-le-moi savoir.

Study abroad

by Christina Socci

Studying abroad is not for the faint of heart. During our pre-departure orientation at Dickinson, we were told that this period of our lives would be one of the most challenging in our entire lives, which is not the most encouraging thing to hear when you’ve just been accepted to the program of your dreams. And yet (there is always an “and yet” in this type of story) we were also told that studying abroad can also be one of the most rewarding experiences in our entire lives. A double edged sword, but the way it cuts depends entirely on us, the students, and the way we navigate a new culture and new language.

Etudier à l’étranger

Par Christina Socci

L’acte d’étudier à l’étranger n’est pas une activité pour les âmes sensibles. Avant notre départ de Dickinson, pendant notre orientation, Global Education nous a dit que cette période serait, peut-être, l’une des plus provocatrices de nos vies— en fait, ces conseils étaient très difficiles à entendre au moment où on avait été accepté dans le programme de nos rêves. Pourtant, (un « pourtant » doit toujours exister dans ce type de récit) ils nous ont dit aussi que notre expérience à l’étranger pourrait être l’une des plus enrichissantes de nos vies. C’est une arme à double tranchant, mais la façon dont elle coupe dépendra surtout de nous, les étudiants, et de la manière dont nous trouverons notre chemin dans une culture et une langue différente.

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