Les cyclistes et leur place sur la rue

Description

Les vélos sont partout à Toulouse, on peut même louer un vélo d’un des plusieurs stations à travers la ville. Il existe des pistes uniquement pour les vélos sur les rues, et à côté des canaux les cyclistes utilisent fréquemment les chemins. Même dans les rues piétonnes, on peut trouver des cyclistes qui parfois pense que la rue devrait être la leur. Cette culture de vélo est vraiment différente de ce qu’on trouve dans la majorité des villes américaines. Pour les Américains, qui sont habitués à la prédominance des voitures sur la rue ou bien pour les Français, qui aiment leurs rues piétonnes, les habitudes des cyclistes peuvent être énervant quand ils veulent conduire ou marcher sans avoir besoin de toujours regarder les cyclistes qui ne prennent pas de soin avant d’aller. Déjà plusieurs fois quand je marchais sur les rues piétonnes j’avais les cyclistes qui n’utilisaient pas leur klaxon de prévenir les piétons avant d’aller vite à travers la foule.

Interprétation

 

Cette culture des cyclistes qui pense qu’ils méritent la rue au détriment des piétons n’est pas unique à Toulouse ou même la France. Dans les pays ou il y a un réseau développé des pistes de vélo, le cyclisme devient plus généralisé est le surplus des cyclistes ne sont pas assez respectueux à l’espace en commun avec les voitures et les piétons. En revanche, ces habitudes des cyclistes peuvent être aussi à cause des habitudes des conducte

 

urs et piétons. Après avoir parlé avec mon hôte, qui aime beaucoup faire du vélo, et un de ses amis, qui travaille a Tisséo, j’ai appris que les cyclistes ne sont pas respectés par les conducteurs, piétons et urbanistes. Mon hôte m’a dit que souvent les voitures envahissent les pistes de vélo et qu’il doit souvent éviter les piétons qui marche sur les pistes aussi. L’ami qui travaille à Tisséo m’a expliqué que la plupart des pistes sont nouveau, et que c’est vraiment difficile à son boulot de balancer la demande pour l’espace sur la rue entre les piétons, voitures, et buses. Donc, ce sont souvent les cyclistes qui perdent leur espace pour que les arrêts de bus ou les voies seraient plus grands.

Évaluation

Le boulot d’urbaniste et difficile. L’espace est limité, mais le volume des personnes qui doivent l’utiliser est illimité. À Toulouse, et aux autres villes, les cyclistes souvent doivent partager avec les voitures et piétons. Quand les cyclistes gagnent leurs pistes, souvent les voitures et piétons sont aigri de perdre leur espace. Ça donc devient difficile pour les cyclistes qui sont poussés de deux côtés. Cependant, même dans ces conditions les cyclistes peuvent apprendre de partager les rues piétonnes en utilisant leurs klaxons. C’est difficile de demander les choses d’un groupe qui déjà n’a pas beaucoup, mais on peut améliorer les trajets des cyclistes, piétons et conducteurs si on trouve un accord entre comment partager notre espace. La ville n’est pas à un seul, et c’est ensemble qu’on vive ici.



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