Manger au resto’U…ce n’est pas le ‘Caf’ !

Description

On est à la fac (UT2J, Jean Jaurès, Mirail Université) et on a faim…qu’est-ce qu’on peut faire ? Pour les premières semaines des cours, j’ai trouvé que le source de la nourriture le plus efficace et le plus rapide était la Cantine. On a découvert le processus et il est devenu familier…mais après avoir mangé les mêmes sandwiches, wraps, et boîtes de pâtes pour un mois et demie, quelque sorte de changement semble urgent. On a décidé de visiter le resto’U, qui est plus reminiscent au fameux Caf de Dickinson. Maintenant, j’y vais avec Leah presque tous les mardis et les jeudis dans une sorte de tradition et chaque fois on a l’opportunité d’explorer des nouvelles entrées, des nouvelles queues et en gros le systeme français du restaurant universitaire. On y a mangé plusieurs fois maintenant, mais je vais expliquer dans la description notre première expérience pour montrer l’évolution de nos connaissances. Après montant les escaliers, chaque étudiant prend un plateau et attend dans un file d’attente pour recevoir leur choix de repas. Tout autour de la zone de service, il y a les types des légumes mélangés, les fruits, les salades, et les desserts. Pour nous les possibilités sont accablant, plus parce qu’on ne sait pas du tout ce qui contient chaque plat ou meme ce qui reste à la fin de chaque queue (si c’est écrit quelque part, on ne l’a pas vu et sinon, on n’a pas du tout envie de demander aux autres quand tout le monde semble à connaisser le système intuitivement). Ainsi, on choisit la première file d’attente qu’on voit, la plus proche, et on attend et on observe et on essaye de commander dans la même façon de ceux qui nous précèdent. On sort de la file et on choisit des desserts et des autres concotions mystérieuse d’un étagère, je ne me souviens plus les détails maintenant, avant que passer dans la file d’attente pour payer. On ne savait pas encore comment utiliser la carte Izly, alors on a payé avec nos cartes bancaires. Puis, on a ramené les couverts et les verres (et une carafe pour partager de l’eau…c’est trop bizarre !) et on a trouvé une place pour s’installer. On a mangé ensemble et quand tout le monde a fini, on a rassemblé les plateaux et les ont mis sur le tapis roulant qui allait à la cuisine. On a trié nos gaspillages (les serviettes, les emballages, etc.) dans leurs propres poubelles et on a attendu pour nos cours, fatiguées mais fascinées.

Un repas au resto’U

Interprétation

Depuis cette première fois au resto’U, on a appris beaucoup sur la fonctionnement de la cafétéria française. Par exemple, on sait maintenant qu’il y a un formule ou un menu plus standardisé pour le repas : pour 3,30€ (ou 1€ pour les étudiants boursiers), tu peux avoir un entrée, un plat, et un dessert, une pièce d’information qu’on n’aurait pas si Leah ne parlait pas avec quelqu’un qui lui a dit comment le système marche. Quand on était consciente de ce fait, on nous a rassuré de choisir un de chacun (un entrée et un dessert parce que si tu paies le même prix, pourquoi pas ?) et d’éviter choisissant trop des options qui augmenteront le prix, sauf si nous avions très faim. De plus, j’ai appris des parents de mes hôtes comment fonctionne le système des carafes : quelqu’un l’a rempli pour la table qui la partage jusqu’à c’est vide, et personne veut la finir parce que la dernière personne devient celle qui la remplira encore ! On a observé des petits choses chaque fois qu’on est revenue (quand l’entrée ferme, quand ils n’offrent plus la pizza, quand un entrée goûtera probablement mal, parce que personne l’a choisi, etc.) et maintenant je me sens plus à l’aise dans cet espace. Par ailleurs, j’ai envie de revenir et d’essayer toutes les options sur leurs menus, et d’aller toute seule !

Évaluation
Il y a plein de comparisons que je peux faire concernant l’expérience d’une cafétéria française est un “dining hall” américain. Je trouve des choses que je préfère de chaque style et je pense que la style française me donne un aperçu autour de comment la culture de la nourriture est vue en France. Par exemple, le Caf à Dickinson utilise un plan de repas où tous les options pour manger à Dickinson sont contenus par une grosse somme payée quand la semestre commence. Avec un “swipe” pour le Caf, un étudiant peut prendre autant d’assiettes qu’il veut. Comme au resto’U, quelques options restent toujours (comme la pizza et la salade). Cependant, je trouve qu’il y a plus d’options à Dickinson pour les personnes avec les restrictions diététiques (même si les options à Dickinson ne sont pas bonnes eux-mêmes) ; le resto’U offre qu’une station végétarienne. De plus, Dickinson offrent les boissons différents, pas juste de l’eau, mais ces options peuvent être considérées comme mauvaises pour la santé. Je peux devenir que la manque des options pour les boissons est un résultat de la santé à la française qu’on connait stéréotypiquement. Aussi, le resto’U semble avoir beaucoup moins de gaspillage alimentaire que Dickinson. Je suppose que ce fait est grâce à la culture plus environnementale de la France et aussi au fait que des étudiants veulent seulement acheter ce qu’ils peuvent manger. En fin de compte, je dirai que les façons de manger aux universités tiennent beaucoup plus de nuance que je ne pouvais pas résumer dans un petit blog. Elles sont liées à la culture des deux pays, les systèmes scolaires (par exemple, tout le monde habite sur le campus de Dickinson et l’inscription sur un plan de repas est obligatoire), et les idéologies culturelles autour de la nourriture, la santé et comment un repas devrait se passer.



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