Les vies quotidiennes dans les Pyrénées

Description:

Regardez cette image. Le ciel azur sans les nuages, les montagnes majestueuses qui montent aux tailles impossibles– c’est mieux qu’une carte postale.  Mais si on la regarde plus proche, on peut voir deux petites villes qui sont planquées aux pieds des montagnes.  Ces sont les villes du Vallée du Louron dans les Hautes-Pyrénées. Il y a 14 communes en totale avec les populations entre 15 et 300 dépendant de chaque ville. Le 22 janvier, on a fait une randonnée dans les Pyrénées avec une guide locale (Madame Elisabeth) qui habite dans une de ces communes. Il faisait très beau avec l’air frais et la chaleur du soleil. On a mangé sur un belvédère, exploré des villes, et parlé avec Madame Elisabeth.

Interprétation:

Pendant la randonnée, je me demande quels types de gens habitent dans ces communes. Les vieux, les jeunes, les couples, les familles avec les enfants? Je ne peux pas croire comment on vit en réveillant avec une vue comme ça chaque matin. Je me demande aussi si ce style de vie est assez isolé, s’il me semble. Est-ce qu’il y a les marchés ou les écoles assez proches?  Je ne peux pas imaginer comment ça va grandir dans une commune ici dans le Vallée du Louron. J’étais choqué que les vrais gens habitent ici et les montagnes sont une partie de leur vie quotidienne. Dans ma tête, je le compare de ma ville chez moi au New Jersey où le supermarché est cinq minutes par voiture et l’école et juste dans la rue prochaine.  En même temps, je pense d’une maison d’un ami en Oregon qui est à deux heures du supermarché le plus proche. Évidemment, c’est un différent style de vie que mon enfance mais pour gagner le perspective d’une locale du région, j’ai parlé avec Madame Elisabeth.

Evaluation:

Elle me dit que c’est vraiment un mélange de tout entre les habitants des communes.  Il y a les vieux qui ont passé leur vies entières dans les Pyrénées, les couples d’âges mûrs et les couples plus jeunes avec les enfants.  Les gens qui travaillent gagnent leurs vies comme fermiers, guides de tourisme, ou ouvriers à l’usine hydroélectrique. En plus, il n’y a pas beaucoup d’enfants donc il y a une école primaire pour toutes les communes dans le Vallée Louron.  Il y a aussi un lycée et après ça, beaucoup de jeunes vont à Toulouse ou Bordeaux s’ils veulent continuer les études. J’ai exprimé à Madame Elisabeth que c’était difficile d’imaginer grandir dans cet endroit. Elle a répondu que «quand ça c’est qu’on connait, ça c’est simplement le norme».  Elle m’a dit que souvent quand les autres jeunes arrivent, ils demandent «où sont les magasins?». Mais c’est simplement une culture et un style de vie différent et les jeunes dans les communes ne sont pas privés de choses sympa. Par contre, il n’est pas trop inconvénient parce que le supermarché le plus proche est 15 minutes par voiture. Dans l’ensemble, je ne sais pas si je peux vivre dans un endroit comme ça pour quelques années mais c’était très beau et serein et le paysage me mettait en paix. C’est une culture très différente de mon enfance aux États-Unis et aussi différente de la culture que j’ai déjà vu à Toulouse.



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