Les Bandes-Dessinés en France: Culottées par Pénélope Bagieu

March 18, 2022

Dans ce blog, j’analyse le BD Culottées: Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent. C’est une collection de BD très courtes sur les femmes historiques. Il y a un mélange des femmes très connues comme Joséphine Baker et Tove Jansson mais aussi des femmes moins connues comme Nzinga, Lozen, et Delia Akeley. Le BD a découvert les femmes d’origines diverses avec des histoires inspiratrices. C’était facile de comprendre les histoires et intéressant de trouver les nouvelles femmes de pouvoir dans l’histoire. Même pour les femmes que j’ai déjà connues, c’était fascinant de voir leurs vies dans un nouveau contexte. Il y avait les éléments d’amusement dans chaque BD mais en totale ils n’étaient pas très comiques. Souvent, c’est le dialogue plus simple avec les dessins dynamiques qui créent l’humeur. Par exemple, dans les histoires des Soeurs Mariposas (pg 34) il illustre un homme de la régime Trujillo qui apporte une invitation à la plage au Minerva et il est debout devant la porte avec ses lunettes et ses grandes armes avec la boîte de dialogue qui dit «Aucune pression.» Par ailleurs, les histoires sont moins comiques en montrant le patriarcat systémique et les barrières contre les femmes. Les histoires abordent les grands thèmes du patriarcat, les inégalités entre les femmes et les hommes, le racisme, le colonialisme, et les idées toxiques de la beauté féminin. J’ai fait réfléchir sur l’équilibre que l’auteur, Pénélope Bagieu, réalise quand elle présente les thèmes assez sérieux et en même temps elle présente les contes importants des femmes historiques avec un mélange d’humour et un ton d’inspiration.

Après avoir lu cette BD, j’ai appris que les BD en France ne sont pas exclusivement pour les jeunes et les ados. Ici, ce sont des contes importants pour tout le monde. En plus, il me semble qu’il y a moins de censure concernant les thèmes évocateurs. Il y a les discussions et les dépictions des gestes impolis, de la suicide, l’harcelement sexuelle, et le viol dans quelques histoires et il n’y pas les avertissements avant le début de la BD tandis qu’aux États-Unis c’est toujours les avertissements donc on est prévenu des thèmes comme ça.

Cette BD montre une appréciation pour les femmes multi-culturelles en donnant la parole aux femmes des pays différents, cultures différentes, et des époques différentes. C’est clair en lisant plusieurs de ces histoires que les femmes existent à l’extérieur des structures de pouvoir et l’état. Les femmes doivent casser les barrières pour accéder aux positions de pouvoir et même quand elles gagnent le pouvoir elles sont comparé aux hommes. Par exemple, dans le BD de Nzinga, Reine du Ndongo et du Matamba, elle n’était pas permis d’avoir une position de pouvoir politique. Mais après les morts de quelques figures importants, elle a l’opportunité d’être en pouvoir. Le structure de «l’état» n’était pas en d’accord avec une femme puissante donc elle était proclamé «un homme». En outre, pour Wu Zetian, avant qu’elle est devenue impératrice, la société des hommes l’a dit que le statut plus haut qu’elle peut gagner, ça serait celle d’une concubine d’empereur. On voit que ce lien entre les femmes et le pouvoir est évident entre beaucoup des territoires, des gouvernements, et des époques. Ces grands thèmes sont clairs même dans les médias mixtes comme les BD et ça veut dire que ces thèmes sont présents dans toutes les façons de la vie et la société.


La BD en France

March 18, 2022

J’ai commencé à lire la BD Les Cahiers d’Esther : Histoire de mes 10 ans par Riad Sattouf, et je l’ai bien aimé. C’est une bande dessinée basée sur les histoires vraies racontées d’une fille de 10 ans. J’ai été bien amusée, parce que toutes les histoires racontées m’ont fait penser à ma vie quand j’avais dix ans, et toutes les bêtises et l’amusement de cette age. Comme c’est l’histoire d’une vraie fille, j’étais aussi intéressée parce qu’il m’a montré la perspective réelle de la façon de voir le monde à cet âge. Cela m’a montré aussi un vocabulaire que je connaissais pas avant, un vocabulaire plus courant et jeune, que les vraies personnes françaises utilisent dans les situations quotidiennes. J’ai envie de lire plus pour mieux comprendre et apprendre cette langue informelle.

Les histoires de Esther se déroulent à Paris, dans le 17eme arrondissement, alors j’ai vu comment vit la famille moyenne à Paris, et aussi comment fonctionne l’école pour les enfants. De plus, plusieurs de ses histoires montrent des phénomènes culturels français du moment, montrant ce qui est le plus célèbre ou à la mode. Par exemple, l’une des histoires raconte qu’elle et son frère écoutaient une chanson de Black M et regardaient le clip vidéo à la télévision. Elle donne son opinion qu’il est populaire et beau, et que ses parents n’apprécient pas ses chansons. La fille adore aussi le film de Raiponce de Disney, alors j’ai vu comment la culture américaine continue à toucher la culture populaire de la France.

Comme cette BD parle de la perspective d’une petite fille, sa citoyenneté et son identité français déploient principalement dans la position de sa famille dans la société française. Elle se connecte avec l’État français dans ses expériences quotidiennes comme son expérience à l’école. Elle parle souvent du fait qu’elle va dans une école privée, même si ses parents ne sont pas très riches, seulement parce que son père pense que l’expérience dans une école privée serait mieux pour une jeune fille et qu’elle connaîtrait moins de mauvaises influences. Comme l’État gère les écoles publiques, cela montre peut-être que les ressources de l’État dans les écoles ne sont pas suffisantes, comme dans beaucoup de pays. De plus, la vie dans la capitale de la France, pour Esther, n’est qu’un fait de la vie. Elle a plein de temps libre à la récréation où elle joue avec ses amies, et elle profite de la vie dans un pays ou les heures de travail et de l’école sont réglementées.


Les Cahiers d’Esther: Histoires de mes 11 ans

March 18, 2022

1. Qu’est-ce que cela vous fait ressentir ? d’amusement? du chagrin? à quoi cela vous fait réfléchir ?

Quand j’ai lu cette BD, je me suis senti un peu confus. C’est parce que la BD est pour “L’histoire de mes 11 ans” et je ne me souviens pas de ma 11e année de la même manière. L’une des premières BDs du livre montre comment les garçons et les filles se recontrent amoureuses. Je crois que quand j’avais 11 ans, je ne savais même pas ce qu’étaient les garçons ou ils avaient des “cooties”. Cependant cela a du sens aujourd’hui car les BDs ont été publiées en 2017 et les actions des jeunes ont beaucoup changé depuis que je suis jeune. Mais c’était amusant pour moi de les lire et de voir l’évolution de la façon dont les enfants s’impliquent. Dans mon  école, il n’y a jamais eu aucune forme d’élection à l’école pour quoi que ce soit avant le lycée, mais maintenant aux États-Unis aussi, il y a des élections pour tous les âges. Je crois que c’est parce que tout le monde est encouragé a s’impliquer maintenant.

2. Apprenez-vous quelque chose sur la France ?

Oui j’ai beaucoup appris. En particulier j’ai appris les différences avec la vie des jeunes enfants et leur école. En France les enfants sont à peu près pareils aux États-Unis ce que je pensais que ce n’était pas le cas. La BD montre que beaucoup d’enfants veulent être sur leur téléphone et regarder la télévision, ce que je pensais que les enfants voulaient principalement faire des activités plus intellectuels. Mais Esther aime lire et veut que sa meilleure amie lise avec elle, cependant, Cassandre est une gamine qui veut le téléphone.

3. Que pourrait-on dire sur lq relation du citoyen à son identité son état ? à son territoire au travers ce BD ?

Esther est une citoyenne avec un longue histoire. Sa mere était Bretagne donc elle a pu parler avec un jeune fille qui parlait le dialecte de diwan. Aussi la BD se representerai Esther comme ayant une maison stable, mais la BD se representerai Cassandre dans une situation financière différent. Je pense que l’identité de Esther et lui histoire est la raisson pour elle aime lire et plusieurs activites. Parce que la mère de Cassandre est pauvre et le père était mort les activites plus compliquées sont plus difficiles à faire pour sa mère. La BD représente les différentes régions de la France ainsi que les différents états de vie.


Mon BD: Les Cahiers d’Esther (Histoires de mes 14 ans)

March 18, 2022

 

Le couverture du BD

Esther pendant une des plusieurs nouvelles expériences

En lisant Les Cahiers d’Esther (Histoires de mes 14 ans), après avoir pris la perspective d’une jeune française je me sentais assez dépassée. Il y avait quelques expériences quotidiennes qui sont difficiles pour quelqu’un avec des expériences limitées. Particulièrement des petits trucs au collège d’Esther, comme sa rentrée en 3e. L’envie d’essayer de se conformer aux autres et de comparer l’apperance avec des autres étudiants évoque un air de difficulté. En outre, je me sentais heureuse en lisant les descriptions et en regardant des dessins parce que Esther n’a pas trop de responsabilités grâce à sa jeunesse et sa famille. Ça évoquait un temps dans ma vie quand le quotidien était un peu moins stressant parce que j’avais moins de devoirs et je ne devais faire des décisions de mon travail ou études. Même si la culture française n’est pas de tout le même que celui américain, il y a des expériences communes. Quand j’ai lu le dessin du weekend dans lequel Esther a décrit son aversion au dimanche soir parce que le lendemain est le lundi, j’ai pensé de comment cette expérience peut connecter des gens des cultures et langes différents. Riad Sattouf accomplit cela en partageant tous des aspects de la vie quotidienne- non seulement la beauté de la vie, mais aussi la douleur, la confusion, et la difficulté.

Dans ce BD, la relation entre le citoyen et l’état est fort, ce qui est montré par des crises avec lesquelles Esther observe. Dans la partie avec les SDF, Esther voit quelqu’un qui reste dans la rue avec du vomit dans sa chemise. Tout à coup des policiers s’approchent et l’homme, qui est évidement un SDF, demande avec peur s’il doit sortir. Des policiers dit, dans une formulation très français, « vous avez le droit d’être là ». Esther observe que d’une partie des policiers ne punissent pas le SDF, mais dans l’autre partie ils ne donnent aucune aide. Le visage d’Esther, avec des lèvres serrées étroites et des yeux tristes, montre sa inquiété. Bien sûr il est très difficile d’observer ceux avec un qualifie de vie horrible, ce qui est la fonction d’un société capitalisme, et après continuer avec une vie beaucoup mieux. Esther ne peut ni donner une maison au SDF pour améliorer le problème ni ignorer son malaise. En outre dans une autre partie quand Esther parle des Gilets-Jeunes avec son père, elle est présentée avec un grand problème qu’elle peut observer mais pas réparer. Il semble qu’un élément clé du lien entre citoyen et l’état est l’expérience d’observer des problèmes sans avoir la capacité de les réparer. Ça explique pourquoi beaucoup de français manifestant en essayent d’influencer des décisions des politiciens.

La partie ou Esther apprenne plus du réchauffement climatique montre une relation complexe entre le citoyen et le territoire. La famille d’Esther est fière d’être Français alors le menace du réchauffement climatique est un problème pour le futur de la république. Cependant chaque jour ils soutien le réchauffement parce qu’ils utilisent des gaz à effet de serre en conduisant, en utilisant la technologie, et en achetant des produits. Les Français ont besoin d’équilibre des efforts pour le bien–être de la terre et l’état avec leur propre bien–être. Heureusement Esther est optimiste ; elle dit « je pense que les jeunes ils vont sauver la terre » ce qui montre peut–être l’attitude des jeunes Françaises.

J’ai appris que Charles Aznavour était un auteur, un compositeur, et un interprète bien connu en France. Son mort était important pour des citoyens Françaises.


La BD : Le Journal d’Aurore

March 18, 2022

Cette bande-dessiné, Le Journal d’Aurore par Marie Desplechin et Agnès Maupré. Il s’agit d’une fille, Aurore, une élève de collège, qui a du mal d’être contente dans son identité, sa vie familiale et l’amour. Elle est revêche et fatiguée et en conséquence, les dessins vifs fournissent un contraste avec le personnage principal. J’ai réfléchi sur ma propre expérience à cet âge. Par exemple, Aurore a deux sœurs ; elle est la moyenne. La petite sœur, Sophie, est optimise. La plus âgée, Jessica, est rebelle. Notre première introduction à Jessica est au moment où elle annonce à sa famille qu’elle veut percer sa langue—et c’est qu’elle fait. Mes expériences à cet âge avec mes sœurs étaient très différentes. J’ai une sœur jumelle et une sœur beaucoup plus âgée que moi, donc je n’ai jamais eu le conflit entre les mentalités des sœurs dans cette manière. Le style de l’art sur chaque page soutient le manque de calme dans la vie de cette jeune fille. Les couleurs attirent l’œil autour de la page pour que le lecteur ne se sente pas tranquille ou confortable. De plus, la structure du texte est comme un journal, mais quelques jours sont oubliés et les conversations qui semblent connectées continuent pendant quelques jours aussi. En effet, le sens que j’ai perçu du texte est que les artistes et auteurs veulent exprimer l’immaturité d’Aurore. En faisant cela, elles nous provoquent à penser de notre adolescence.

J’ai appris des petites choses de la culture française. Par exemple, Aurore fait des contrôles de cours de maths et d’histoire ; à choisir seulement deux sujets à suivre au collège, c’est une différence énorme au système pédagogique américain. Elle réussit à gagner seulement deux sur vingt de ses contrôles de maths. Quand elle regarde sur la télévision une publicité pour une école spécialiste qui sa promesse que les collèges traditionnels ennuient les élèves pour qu’ils ne réussissent pas, pour un moment bref, elle pose l’idée à ses parents. Mais ils disent que ce n’est pas faisable pour elle à faire. Je suis curieuse à découvrir plus sur les différences entre les systèmes pédagogiques américains et français, bien sûr, or aussi les collèges publics et les collèges privés.

On pourrait dire que la relation du citoyen à son identité est de temps en temps plus pertinente que la relation du citoyen à son état. Le fait que le personnage principal de cette BD est une fille adolescente. Elle ne paie pas les taxes, elle ne vote pas et elle n’a pas un travail. Ses soucis sont expliqués par son monologue intérieur, exprimé dans le journal. Pour elle, il n’est pas toujours évident comment elle participe à l’état plus grand—et c’est important à ce considère aussi. Quand on est adolescent, on est à la fois un enfant et un jeune adulte. Elle se comporte les mentalités immatures à la fois qu’elle essaie de naviguer sa vie amoureuse, par exemple, ou la religion. Son sens de l’état vient de ses relations. Elle a une amie musulmane qui doute de l’existence de Dieu et ce doute pousse Aurore à faire le même. Étant donné la division entre l’Église et l’État en France, cette discussion est bien possible. De plus, elle achète des cadeaux de Noël à sa famille à une boutique chrétienne parce qu’elle pense que c’est une blague que personne ne peut aimer les chants grégoriens ou les poupées angéliques. Cependant, à sa grande surprise, sa famille a bien aimé ces cadeaux. En revanche, cette BD communique que la relation entre l’identité personnelle et l’état n’est pas toujours évident ou notable pour une jeune fille. Mais elle vit pourtant dans l’état français et l’état influence sa vie—son éducation et son point de vue de la religion—plus énormément qu’elle remarque.


Retour sur la BD – Persepolis

March 18, 2022

  1. Qu’est-ce que cela vous fait ressentir ? d’amusement ? du chagrin? à quoi cela vous fait réfléchir ?

Moi, je ressens une variété des émotions sur cet ouvrage. Premièrement, je me sens d’amusement parce que l’histoire et les dessins sont souvent légers. L’histoire, qui est autobiographique et suivre les évènements dans la vie de l’auteur pendant sa jeunesse dans les années 70-80s, montre les recollections d’un enfant qui veut d’aider son pays dans une fois de crise. Alors, elle a documenté les idées fantaisistes et les imaginations de sa jeunesse dans un méthode amusant. Mais, je me sens aussi un peu de tristesse, parce que les évènements dans Iran qui se passaient pendant la jeunesse de l’auteur sont très grave et souvent étaient violentes. L’Iran a été la victime des pouvoirs dehors beaucoup de temps pendant son histoire, et chaque fois il a été les iraniens qui ont souffrit, pas les envahisseurs. L’auteur décrit dans ce BD comment le chute du roi en 1979 et la révolution iranienne a mené des manifestations où les femmes se sont disputées sur si étant forcé de porter le foulard est contre la liberté ou non. Finalement, il y a un peu d’honte comme une Américaine de lire les souffrances et les problèmes dans un autre pays qui dérivent en grande partie des actions de mon pays pour les raisons égoïste. Les Etats-Unis et les autres pays occidentaux voulaient le pétrole d’Iran, et donc ils ont décidé qu’ils ont eu le droit de renverser le gouvernement d’Iran et le changer juste pour obtenir le pétrole.

 

  1. Apprenez-vous quelque chose sur la France ?

Pas vraiment, parce que ce livre focalise sur les évènements en Iran au passé et pas en France. Les autres pays qui sont mentionnés sont les Etats-Unis et l’Angleterre, qui a créé les problèmes pour les iraniens quand ils ont se mêlé ses affaires. Cependant, l’auteur a dit dans les premiers pages du BD qu’elle a assistée à l’école bilangue où elle a appris la française, donc je pense que ca c’est un indice subtil que la France a se mêlé dans Iran aussi au passé. Ma suspicion de ca a augmenté quand l’auteur a dit que son école a été fermé après la révolution parce que les écoles bilingues ont été considéré comme les indices d’impérialisme.

 

  1. Que pourrait-on dire sur la relation du citoyen à son identité son état ? à son territoire au travers ce BD ?

Selon les pages j’ai lu dans ce BD, je pense que la relation du citoyen, spécifiquement de l’auteur comme citoyenne, à l’identité son état est fort en Iran. Les citoyens se sont détesté les influences des autres pays dans l’affaires iraniennes est même commencé une révolution pour libérer eux-mêmes. Bien que la révolution ait créé autres problèmes, surtout pour les femmes iraniennes, la ferveur avec laquelle les citoyens ont décidé de vaincre leur envahisseur démontre l’importance de l’identité nationale et culturelle iranienne aux citoyens. Pour l’auteur, elle décrit dans ce BD comment elle a supplié ses parents de se permettre de joindre les manifestations dans la rue. Elle pensait d’elle-même comme la prochaine grande révolutionnaire et a joué de faire Che Guevara avec ses amis à l’école. Il est très apparent qu’elle a été fière d’être iranienne.


exemple de blog / format D.I.E.

January 19, 2022

Les toilettes unisexes

Description

Un soir, je buvais un verre avec mon amie et je me suis excusé ainsi que pour aller aux toilettes. Comme d’habitude en France, certaines salles ne contien que des toilettes reliés à une salle plus grande avec des lavabos. J’ai quitté la salle de la toilette et quand j’ai commencé à me laver mes mains, j’ai vu un homme sortir de la salle de la toilette à côté de la mienne. Pensant que je me suis trompé et j’étais dans les toilettes des hommes, j’ai tout de suite murmuré que j’étais désolé et je suis parti. Embarrassée, je cherchais pour un panneau à l’extérieur de vérifier que c’était vraiment des toilettes d’hommes, mais curieusement, il n’y en avait aucun. Je n’avais aucune raison d’être embarrassé, c’était des toilettes unisexes!

Interprétation

Je suis revenu à mon amie, qui est française, et nous avons bien rigolée. Honnêtement, j’avais paniqué pendant les deux minutes quand je pensais que j’ai fait une erreur aussi maladroite. En Amérique et en France les toilettes restent un espace très privée dans les deux, j’étais sûre que je venais de m’immiscer dans l’intimité d’un homme au hasard. Pas toutes les toilettes en France sont unisexes comme celle-là, mais on les trouve fréquemment. J’ai demandé à mon amie pourquoi ce phénomène ne dérange pas les français, et elle a commenté que les espaces très privés, les salles des toilettes, sont très séparées et fermées par rapport aux cabinets on trouve aux États Unis. Les genres partagent l’espace seulement quand ils se lavent leurs mains.

Evaluation

C’était un choc personnel, mais je suis sûr que les français n’y pensent pas à deux fois. J’imagine que les français ne trouveraient pas les toilettes unisexes remarquables. L’idée d’utiliser des toilettes unisexes comme celles-ci en France ne me met pas mal à l’aise, mais la comparaison est intéressante car il y a récemment eu d’importants débats aux États Unis concernant les toilettes que les personnes transgenres peuvent utiliser. Beaucoup de gens avaient des opinions bien arrêtés, mais ce problème ne va jamais arriver ici.