Mon BD: Les Cahiers d’Esther (Histoires de mes 14 ans)

 

Le couverture du BD

Esther pendant une des plusieurs nouvelles expériences

En lisant Les Cahiers d’Esther (Histoires de mes 14 ans), après avoir pris la perspective d’une jeune française je me sentais assez dépassée. Il y avait quelques expériences quotidiennes qui sont difficiles pour quelqu’un avec des expériences limitées. Particulièrement des petits trucs au collège d’Esther, comme sa rentrée en 3e. L’envie d’essayer de se conformer aux autres et de comparer l’apperance avec des autres étudiants évoque un air de difficulté. En outre, je me sentais heureuse en lisant les descriptions et en regardant des dessins parce que Esther n’a pas trop de responsabilités grâce à sa jeunesse et sa famille. Ça évoquait un temps dans ma vie quand le quotidien était un peu moins stressant parce que j’avais moins de devoirs et je ne devais faire des décisions de mon travail ou études. Même si la culture française n’est pas de tout le même que celui américain, il y a des expériences communes. Quand j’ai lu le dessin du weekend dans lequel Esther a décrit son aversion au dimanche soir parce que le lendemain est le lundi, j’ai pensé de comment cette expérience peut connecter des gens des cultures et langes différents. Riad Sattouf accomplit cela en partageant tous des aspects de la vie quotidienne- non seulement la beauté de la vie, mais aussi la douleur, la confusion, et la difficulté.

Dans ce BD, la relation entre le citoyen et l’état est fort, ce qui est montré par des crises avec lesquelles Esther observe. Dans la partie avec les SDF, Esther voit quelqu’un qui reste dans la rue avec du vomit dans sa chemise. Tout à coup des policiers s’approchent et l’homme, qui est évidement un SDF, demande avec peur s’il doit sortir. Des policiers dit, dans une formulation très français, « vous avez le droit d’être là ». Esther observe que d’une partie des policiers ne punissent pas le SDF, mais dans l’autre partie ils ne donnent aucune aide. Le visage d’Esther, avec des lèvres serrées étroites et des yeux tristes, montre sa inquiété. Bien sûr il est très difficile d’observer ceux avec un qualifie de vie horrible, ce qui est la fonction d’un société capitalisme, et après continuer avec une vie beaucoup mieux. Esther ne peut ni donner une maison au SDF pour améliorer le problème ni ignorer son malaise. En outre dans une autre partie quand Esther parle des Gilets-Jeunes avec son père, elle est présentée avec un grand problème qu’elle peut observer mais pas réparer. Il semble qu’un élément clé du lien entre citoyen et l’état est l’expérience d’observer des problèmes sans avoir la capacité de les réparer. Ça explique pourquoi beaucoup de français manifestant en essayent d’influencer des décisions des politiciens.

La partie ou Esther apprenne plus du réchauffement climatique montre une relation complexe entre le citoyen et le territoire. La famille d’Esther est fière d’être Français alors le menace du réchauffement climatique est un problème pour le futur de la république. Cependant chaque jour ils soutien le réchauffement parce qu’ils utilisent des gaz à effet de serre en conduisant, en utilisant la technologie, et en achetant des produits. Les Français ont besoin d’équilibre des efforts pour le bien–être de la terre et l’état avec leur propre bien–être. Heureusement Esther est optimiste ; elle dit « je pense que les jeunes ils vont sauver la terre » ce qui montre peut–être l’attitude des jeunes Françaises.

J’ai appris que Charles Aznavour était un auteur, un compositeur, et un interprète bien connu en France. Son mort était important pour des citoyens Françaises.



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