La BD : Le Journal d’Aurore

Cette bande-dessiné, Le Journal d’Aurore par Marie Desplechin et Agnès Maupré. Il s’agit d’une fille, Aurore, une élève de collège, qui a du mal d’être contente dans son identité, sa vie familiale et l’amour. Elle est revêche et fatiguée et en conséquence, les dessins vifs fournissent un contraste avec le personnage principal. J’ai réfléchi sur ma propre expérience à cet âge. Par exemple, Aurore a deux sœurs ; elle est la moyenne. La petite sœur, Sophie, est optimise. La plus âgée, Jessica, est rebelle. Notre première introduction à Jessica est au moment où elle annonce à sa famille qu’elle veut percer sa langue—et c’est qu’elle fait. Mes expériences à cet âge avec mes sœurs étaient très différentes. J’ai une sœur jumelle et une sœur beaucoup plus âgée que moi, donc je n’ai jamais eu le conflit entre les mentalités des sœurs dans cette manière. Le style de l’art sur chaque page soutient le manque de calme dans la vie de cette jeune fille. Les couleurs attirent l’œil autour de la page pour que le lecteur ne se sente pas tranquille ou confortable. De plus, la structure du texte est comme un journal, mais quelques jours sont oubliés et les conversations qui semblent connectées continuent pendant quelques jours aussi. En effet, le sens que j’ai perçu du texte est que les artistes et auteurs veulent exprimer l’immaturité d’Aurore. En faisant cela, elles nous provoquent à penser de notre adolescence.

J’ai appris des petites choses de la culture française. Par exemple, Aurore fait des contrôles de cours de maths et d’histoire ; à choisir seulement deux sujets à suivre au collège, c’est une différence énorme au système pédagogique américain. Elle réussit à gagner seulement deux sur vingt de ses contrôles de maths. Quand elle regarde sur la télévision une publicité pour une école spécialiste qui sa promesse que les collèges traditionnels ennuient les élèves pour qu’ils ne réussissent pas, pour un moment bref, elle pose l’idée à ses parents. Mais ils disent que ce n’est pas faisable pour elle à faire. Je suis curieuse à découvrir plus sur les différences entre les systèmes pédagogiques américains et français, bien sûr, or aussi les collèges publics et les collèges privés.

On pourrait dire que la relation du citoyen à son identité est de temps en temps plus pertinente que la relation du citoyen à son état. Le fait que le personnage principal de cette BD est une fille adolescente. Elle ne paie pas les taxes, elle ne vote pas et elle n’a pas un travail. Ses soucis sont expliqués par son monologue intérieur, exprimé dans le journal. Pour elle, il n’est pas toujours évident comment elle participe à l’état plus grand—et c’est important à ce considère aussi. Quand on est adolescent, on est à la fois un enfant et un jeune adulte. Elle se comporte les mentalités immatures à la fois qu’elle essaie de naviguer sa vie amoureuse, par exemple, ou la religion. Son sens de l’état vient de ses relations. Elle a une amie musulmane qui doute de l’existence de Dieu et ce doute pousse Aurore à faire le même. Étant donné la division entre l’Église et l’État en France, cette discussion est bien possible. De plus, elle achète des cadeaux de Noël à sa famille à une boutique chrétienne parce qu’elle pense que c’est une blague que personne ne peut aimer les chants grégoriens ou les poupées angéliques. Cependant, à sa grande surprise, sa famille a bien aimé ces cadeaux. En revanche, cette BD communique que la relation entre l’identité personnelle et l’état n’est pas toujours évident ou notable pour une jeune fille. Mais elle vit pourtant dans l’état français et l’état influence sa vie—son éducation et son point de vue de la religion—plus énormément qu’elle remarque.



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