La BD en France

J’ai commencé à lire la BD Les Cahiers d’Esther : Histoire de mes 10 ans par Riad Sattouf, et je l’ai bien aimé. C’est une bande dessinée basée sur les histoires vraies racontées d’une fille de 10 ans. J’ai été bien amusée, parce que toutes les histoires racontées m’ont fait penser à ma vie quand j’avais dix ans, et toutes les bêtises et l’amusement de cette age. Comme c’est l’histoire d’une vraie fille, j’étais aussi intéressée parce qu’il m’a montré la perspective réelle de la façon de voir le monde à cet âge. Cela m’a montré aussi un vocabulaire que je connaissais pas avant, un vocabulaire plus courant et jeune, que les vraies personnes françaises utilisent dans les situations quotidiennes. J’ai envie de lire plus pour mieux comprendre et apprendre cette langue informelle.

Les histoires de Esther se déroulent à Paris, dans le 17eme arrondissement, alors j’ai vu comment vit la famille moyenne à Paris, et aussi comment fonctionne l’école pour les enfants. De plus, plusieurs de ses histoires montrent des phénomènes culturels français du moment, montrant ce qui est le plus célèbre ou à la mode. Par exemple, l’une des histoires raconte qu’elle et son frère écoutaient une chanson de Black M et regardaient le clip vidéo à la télévision. Elle donne son opinion qu’il est populaire et beau, et que ses parents n’apprécient pas ses chansons. La fille adore aussi le film de Raiponce de Disney, alors j’ai vu comment la culture américaine continue à toucher la culture populaire de la France.

Comme cette BD parle de la perspective d’une petite fille, sa citoyenneté et son identité français déploient principalement dans la position de sa famille dans la société française. Elle se connecte avec l’État français dans ses expériences quotidiennes comme son expérience à l’école. Elle parle souvent du fait qu’elle va dans une école privée, même si ses parents ne sont pas très riches, seulement parce que son père pense que l’expérience dans une école privée serait mieux pour une jeune fille et qu’elle connaîtrait moins de mauvaises influences. Comme l’État gère les écoles publiques, cela montre peut-être que les ressources de l’État dans les écoles ne sont pas suffisantes, comme dans beaucoup de pays. De plus, la vie dans la capitale de la France, pour Esther, n’est qu’un fait de la vie. Elle a plein de temps libre à la récréation où elle joue avec ses amies, et elle profite de la vie dans un pays ou les heures de travail et de l’école sont réglementées.



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