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Le Cameroun: Yaoundé

Cuisine Camerounaise- insécurité alimentaire et huile de palme rouge

Au Cameroun, la cuisine joue un rôle essentiel dans l’unification de son paysage culturel diversifié et constitue un marqueur essentiel de l’identité nationale. Avec plus de 250 groupes ethniques, chacun possédant ses propres traditions culinaires selon la région, la cuisine offre un sentiment d’appartenance pour les gens Camerounais. La nourriture joue un rôle de représentation culturelle, non seulement pour ceux qui la visitent, mais constitue également un facteur qui a façonné et influencé ceux qui ont grandi dans les maisons camerounais.

Bien que nous puissions généraliser la cuisine camerounaise comme étant « cuisine camerounaise », mais il est important de reconnaître que la cuisine diffère selon les régions afin de ne pas invalider, stéréotyper et généraliser un pays entier.

Je vais explorer trois régions : la région centrale, la région occidentale et la région sud.

La région centrale est réputée pour sa cuisine typique des Bassaa et des Beti. Les Bassaa proposent un plat appelé Bongo’o tjobi, une sauce à l’ébène accompagnée de poisson, comme ici:

Un autre plat de la tribu Beti est préparé à partir de feuilles d’okok, une plante sauvage du centre et du sud. Les feuilles sont finement hachées et cuites à l’huile de palme.

Ensuite, la région occidentale prépare historiquement davantage de recettes de ragoût. L’un est un ragoût appelé Kondre, préparé à partir de plantain épicé non mûr avec de la chèvre, du bœuf ou du porc.

Kondre

Le Tapsi Banana est un autre plat- un ragoût à base de banane douce non mûre, de pâte d’arachide fraîche, d’huile de palme et de poisson fumé.

Le Tapsi Banana

Enfin, la région sud propose davantage de recettes à base de plantes. Le Sanga est une recette très populaire parmi les ethnies Bassa et Beti. Il est préparé à partir de feuilles de morelle ou de melon, cuisinées avec du jus de noix de palme, du maïs et parfois du piment.

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Sanga

Dans le sud, on prépare également un plat traditionnel appelé Okok, un plat à base de feuilles de “gnetum africanum,” de pâte d’arachide grillée et de jus de noix de palme.

Okok

Toutes les recettes énumérées ci-dessus nécessitent de l’huile de palme rouge pour être cuites. Deux tiers des plats cités par les ménagères nécessitent de l’huile de palme rouge pour être cuits correctement et traditionnellement.

Le Cameroun actuellement et historiquement, depuis 2008, une insécurité alimentaire. Le coût élevé de la vie urbaine, les bas salaires, les prix élevés des denrées alimentaires et l’accès limité aux aliments sauvages sont les raisons qui expliquent cette insécurité alimentaire. Cela complique la situation.

Le coût élevé de la vie urbaine et les bas salaires déjà élevés rendent difficile pour les Camerounais de maintenir leur logement tout en maintenant un accès stable à l’alimentation et à la nutrition. De plus, une grande partie de leurs ingrédients sont des aliments sauvages cultivés et achetés dans leur pays. Or, comme le pays exporte la plupart de ses plantes, cultures et plantes sauvages, il ne reste plus grand-chose aux habitants, et encore moins assez pour qu’ils puissent continuer à cuisiner des plats traditionnels. Il est important de reconnaître que cette insécurité alimentaire entraîne la perte d’une culture.

huile de palme rouge

Comme mentionné précédemment, l’huile de palme rouge est essentielle à leur culture et à leur cuisine locale. Sans elle, de nombreuses recettes ne seraient pas cuisinées correctement ou n’auraient pas le même goût. L’insécurité alimentaire contribue à leur incapacité à y accéder. Mais un deuxième problème se pose : sa production est devenue de plus en plus difficile, car elle est désormais considérée comme nocive pour l’environnement, le processus étant trop énergivore. C’est pourquoi les Camerounais luttent actuellement pour conserver l’huile de palme rouge dans leur cuisine, malgré les réticences et leurs difficultés d’accès à la nourriture.

Il est important de reconnaître l’importance cruciale de ces recettes traditionnelles pour le Cameroun. Sans elles, le peuple perdrait une partie de sa culture; donc, il est essentiel d’apprécier le travail et la beauté de leurs plats.

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La lumière sur la réalité multilingue du Cameroun

Au Cameroun, la langue est plus qu’un moyen de communication – c’est un marqueur d’identité, une clé pour les opportunités et un reflet de l’histoire coloniale complexe du pays. Officiellement bilingue en anglais et en français, le Cameroun accueille plus de 300 tribus indigènes parlant des langues locales différentes, ce qui révèle un décalage saisissant entre la politique linguistique de l’État et la réalité linguistique vécue par ses citoyens. Cette tension souligne la difficulté pour le pays de trouver un équilibre entre l’héritage mondial de la colonisation et la diversité linguistique locale. Pour les étudiants qui se préparent à étudier au Cameroun, il est essentiel de comprendre la politique de la langue pour saisir comment le pouvoir, l’identité et les opportunités sont négociées à travers le pays. 

Voici une carte des groupes ethniques de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.

Cette situation complexe se manifeste dans la vie quotidienne. Comme l’explique Avigdor Farine, la politique de bilinguisme du Cameroun, qui doit apporter l’unité, fonctionne souvent de manière inégale. Le français est dominant, surtout dans les villes et les institutions gouvernementales, tandis que l’anglais est surtout parlé dans certaines régions de l’ouest. Parallèlement, les nombreuses langues indigènes parlées dans le pays sont rarement utilisées dans les écoles ou les lieux officiels. Cela crée une disparité entre ce que dit la loi et ce que les gens vivent réellement, ce qui force de nombreux Camerounais à passer d’une langue à l’autre en fonction de l’endroit où ils se trouvent et de la personnes à qui ils parlent.

Panneau d’entrée d’une école bilingue dans la région du sud-ouest du Cameroun.

Plus tard, des chercheurs comme George Echu et Humphrey Kum ont développé la conversation au sujet du bilinguisme officiel au Cameroun. Echu souligne que le bilinguisme en pratique renforce souvent l’inégalité plutôt que l’unité, car le français continue de dominer les institutions clés tandis que les anglophones sont confrontés à une marginalisation systémique. Kum explique que ce problème de bilinguisme n’est pas seulement politique, mais aussi profondément culturel : de nombreux citoyens considèrent le bilinguisme d’État comme une forme d’exclusion qui dévalue les identités locales et les langues parlées.

Les deux chercheurs soulignent que si la politique linguistique n’inclut pas et ne respecte pas les langues et les perspectives culturelles indigènes, elle continuera à créer des obstacles plutôt que des opportunités. Leurs travaux soulignent la nécessité d’adopter des approches plus inclusives et plus sensibles en matière de plan linguistique au Cameroun, une idée importante à retenir pour les étudiants qui cherchent à comprendre comment la langue est liée à l’identité, à l’accès et au pouvoir.

Festival des arts et de la culture du Cameroun.

Cependant, la situation linguistique au Cameroun n’est pas seulement une question d’injustice ou de difficulté, elle montre aussi à quel point les gens peuvent être créatifs et flexibles. Au lieu de considérer les nombreuses langues du pays comme un problème, Alobwede pense qu’elles peuvent en fait contribuer à la prospérité du pays. Les Camerounais mélangent souvent les langues, passent de l’une à l’autre et inventent de nouvelles façons de parler qui reflètent leur identité et leur mode de vie. Les gens ne se limitent pas aux lois sur les langues officielles, ils créent aussi des langues à leur manière. Cette idée contredit le point de vue habituel que les langues au Cameroun causent la division.

Pour les étudiants qui vont étudier dans ce pays, il est important de voir les deux côtés : les difficultés que les gens rencontrent à cause des politiques linguistiques, mais aussi les façons intelligentes et créatives que les gens utilisent tous les jours pour se connecter et s’exprimer.

Ouvrages Cités

Alobwede, C. E. (2021). Linguistic hybridity and developmental perspectives in Cameroon. International Journal of Research- GRANTHAALAYAH, 9(4), 501. https://www.granthaalayahpublication.org/journals/granthaalayah/article/view/3852 

Echu, G. (1999). Genèse et évolution du bilinguisme officiel au Cameroun. In Official Bilingualism and Linguistic Communication in Cameroon/Bilinguisme officiel et communication linguistique au Cameroun (pp. 3–13). Peter Lang Publishing Inc.

Echu, G. (1999). Le Bilinguisme officiel au Cameroun: Critique et perspectives. In Official Bilingualism and Linguistic Communication in Cameroon/Bilinguisme officiel et communication linguistique au Cameroun (pp. 189–201). 

Farine, A. (1968). Le Bilinguisme au Cameroun. Canadian Journal of African Studies, 2(1), 7-12. https://doi.org/10.2307/483994 

Kum, H. (2018). Language-Culture: Marginalization or Opportunity in Cameroon’s Official “State Bilingualism.” In D. Evans (Ed.), Language, Identity and Symbolic Culture, 105–134. Bloomsbury Academic. 

Liste de quelques langues indigènes du Cameroun: https://www.ethnologue.com/country/CM/ 

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L’état de la Santé au Cameroun

Les voyageurs qui ont l’intention de voyager à Cameroun sont fréquemment mis en garde des maladies et de la mal propreté de ce pays. Aussi, les voyageurs ont besoin de nombreux vaccins. Si vous prévoyez de voyager au Cameroun, il faut que vous compreniez l’état de la santé là.

Le système de santé au Cameroun a eu une histoire du manque de financement et la corruption, pendant que le Cameroun est situé dans un lieu avec beaucoup des maladies tropicales. Mais, ce pays est un bon exemple comment un stéréotype négatif peut-il être bénéfique pour un pays. Il y a plus des programmes gérés par des pays extérieurs pour contribuer à la santé publique et l’hygiène en Cameroun.

Une image d’une travailleur de la santé à Douala, Cameroun.

Pourquoi le Cameroun est dans cette situation?

Le Cameroun est géographique un lieu avec beaucoup des catastrophes naturelles. Mais aussi, il y a l’instabilité politique. Récemment, il y avait une crise sociopolitique qui a causé plus des problèmes dans l’économie et l’accès aux services sociaux. Maintenant, il y a trois crises humanitaires:

  • la crise de lac Tchad
  • la crise anglophone
  • la crise des réfugiés

Ces crises aggravent les problèmes déjà présents dans le système de santé. Aussi, il y a corruption persistante dans le système santé (World Justice Project, 2024). Les citoyens camerounais ont dû payer pour les services qui auraient dû être gratuits. Cela a laissé beaucoup des gens sin les services de santé de base.

Maladies Tropicales

Et si les tensions politiques ne sont pas assez, parce que le climat, il y a plus des maladies tropiques qui affectent les gens Camerounais. Ces maladies sont appelées Maladies Tropicales Négligées (MTNs), Ce sont:

  • l’Onchocercose
  • la Filariose lymphatique
  • la Schistosomiase
  • les Helminthiases Intestinales
  • la Lèpre
  • la Trachome
  • le Pian

Et donc, ces maladies peuvent être prévenues et soignées par les traitements pharmaceutiques et des médicaments, si les gens peuvent y avoir accès. Mais à cause de l’absence d’un système de sante solide, plus des gens qui ont besoin de ces traitements n’y ont pas accès, et la maladie se propage de plus en plus.

Des Projets pour Aider

Une image d’une célébration de la ONG Alternative Santé, le centre d’information d’éducation pour la prévention des maladies de l’enfants.

Mais, il y a de l’espoir pour la crise. Ce peut aussi conduire les organisations extérieures pour aider plus dans les crises. Le Cameroun participe en les projets SDG 6 avec l’ONU, le SWA (Sanitation and water for all), le WPP (Water Partnership Program) avec le groupe de banque mondiale, et beaucoup des autres. Ces projets aident le gouvernement Camerounais en fournir l’eau propre et les installations sanitaires. Si vous voulez contribuer à la resolution des problèmes évoqués dans cette blogue, vous pouvez rechercher comment vous porter volontaire pour l’un des projets.

 

-Julia Buchanan

 

Ouvrage Cites

“ Maladies Tropicales Négligées Le Cameroun Doté d’un Plan Stratégique Pour l’Elimination de l’Onchocercose.” Ministère de La Santé Publique, 2023, www.minsante.cm/site/?q=fr%2Fcontent%2Fmaladies-tropicales-n%C3%A9glig%C3%A9es-le-cameroun-dot%C3%A9-dun-plan-strat%C3%A9gique-pour-lelimination-de.

2023, Posted on 21 July. “Cameroon: Crisis Causes Health-Care Challenges.” Front Page, www.unocha.org/news/cameroon-crisis-causes-health-care-challenges. Accessed 10 Dec. 2024.

“Cameroon Healthcare Access Program.” World Justice Project, worldjusticeproject.org/our-work/programs/cameroon-healthcare-access-program. Accessed 10 Dec. 2024.

Nadir, et al. “Lutter Contre La Pauvreté Au Cameroun: Ong Care France.” Care, 9 Jan. 2024, www.carefrance.org/pays/aide-humanitaire-cameroun/.

“Neglected Tropical Diseases: Cameroon.” U.S. Agency for International Development, 22 Mar. 2024, www.usaid.gov/cameroon/health/neglected-tropical-diseases.

 

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La Signification Culturelle de la Nourriture au Cameroun : Un Voyage à Travers les Saveurs

La Signification Culturelle de la Nourriture au Cameroun : Un Voyage à Travers les Saveurs

Le Cameroun, souvent surnommé « l’Afrique en miniature » en raison de sa grande diversité géographique, linguistique et culturelle, possède également un paysage culinaire vibrant qui reflète cette diversité. La nourriture au Cameroun est bien plus qu’un simple moyen de subsistance ; elle joue un rôle clé dans les pratiques sociales, culturelles et spirituelles. Des repas copieux partagés en famille aux mets de rue savourés au coin des rues animées, la nourriture est un symbole de communauté, de tradition et d’identité.

Un Creuset Culinaire

La cuisine camerounaise reflète la diversité culturelle impressionnante du pays. Avec plus de 250 groupes ethniques et de nombreuses langues parlées, la nourriture au Cameroun est aussi variée que son peuple. Chaque région possède ses plats uniques, influencés par la géographie, le climat et les traditions culturelles.

Dans les régions côtières, où les fruits de mer sont abondants, des plats comme la soupe de poisson épicée et le ngondo sont des favoris locaux. En se dirigeant vers l’intérieur du pays, dans les hautes terres occidentales, vous trouverez des plats comme le kwacoco et le fufu, des aliments de base pour le peuple Bamiléké. Les régions du nord, où le climat est plus chaud et sec, privilégient les céréales comme le mil et le sorgho, accompagnées de viandes comme la chèvre, le poulet et le bœuf. Le riz Jollof, un plat apprécié de l’Afrique de l’Ouest, est couramment consommé à travers le pays, souvent servi avec des ragoûts épicés ou des viandes grillées.

Ce qui unit toutes ces saveurs diverses, c’est l’accent mis sur des ingrédients frais et locaux. L’huile de palme, le manioc, les plantains, les ignames et des épices comme le piment et le gingembre sont des éléments essentiels de la cuisine camerounaise. L’utilisation de sauces riches et savoureuses—souvent à base de tomates, d’oignons et d’épices—apporte de la profondeur aux plats, transformant chaque repas en une expérience sensorielle vibrante.

Plats traditionnels servis à Ebogo dans la région du Centre

La Nourriture comme Pont Culturel

La nourriture est au cœur de la vie sociale camerounaise, jouant un rôle important tant dans les interactions quotidiennes que lors des occasions spéciales. C’est un moyen de rassembler les gens, de tisser des liens et d’honorer les traditions.

Partager un repas est considéré comme un symbole d’hospitalité et d’unité. Lors d’une visite à domicile ou d’un événement communautaire, il est courant que l’hôte offre à ses invités de la nourriture, car cela est perçu comme un moyen de créer de la confiance et de renforcer les relations. Lors de cérémonies traditionnelles comme les mariages, les funérailles et les fêtes de récolte, la nourriture est au centre des célébrations. De grands festins sont souvent préparés pour célébrer des événements marquants ou honorer les ancêtres. La préparation et le service de la nourriture sont des activités communautaires, et chacun dans la communauté peut participer à la cuisine, de la sélection des ingrédients à la présentation finale. Ces repas communautaires sont bien plus qu’un simple moyen de se nourrir ; ils sont une expression de l’identité culturelle, de la solidarité et de la tradition.

La Nourriture de Rue : Un Goût du Cameroun Quotidien

L’un des aspects les plus excitants de la culture culinaire du Cameroun est sa scène animée de nourriture de rue. Que ce soit dans la capitale Yaoundé ou dans les marchés animés de Douala, vous trouverez une multitude de vendeurs de rue servant des en-cas chauds, délicieux et souvent épicés. Ces petites bouchées sont abordables, savoureuses et un excellent moyen de goûter à l’essence de la cuisine camerounaise. Des marchés urbains animés aux villages ruraux, les vendeurs de rue proposent des plats rapides et savoureux qui reflètent l’amour du pays pour les épices et les saveurs audacieuses. Les plats populaires de rue incluent le suya, le bami, l’achu, et le puff-puff. La nourriture de rue est un moyen accessible et abordable de découvrir la diversité culinaire du pays, et c’est une façon pratique d’explorer les saveurs locales sur le pouce.

Ces en-cas sont plus que de simples repas ; ils représentent le côté rapide et social de la vie camerounaise, où les gens se retrouvent pour partager un repas rapide et une conversation.

La NOURRITURE de la rue du Cameroun

La Nourriture comme Identité

La nourriture au Cameroun est profondément liée à l’identité personnelle et collective. Les ingrédients utilisés, les méthodes de préparation et la manière dont les repas sont servis reflètent les pratiques culturelles transmises de génération en génération. L’accent mis sur des produits locaux comme le manioc, les plantains, les ignames et l’huile de palme témoigne du patrimoine agricole du pays et de sa dépendance aux produits cultivés sur place.

Pour les Camerounais, l’acte de préparer et de manger de la nourriture est également un moyen d’honorer la tradition. Par exemple, certains plats sont associés à des rituels spécifiques, comme le riz de noix de coco souvent servi lors des cérémonies de baptême ou les brochettes de bœuf lors des célébrations publiques. Même la manière de manger—souvent à la main ou partagée en commun—renforce les valeurs de convivialité et de respect pour les bienfaits de la nature.

Conclusion

La nourriture au Cameroun est un miroir de la culture vibrante, diversifiée et profondément enracinée du pays. Elle célèbre la communauté, l’identité et la tradition. Pour toute personne visitant ou étudiant au Cameroun, comprendre la signification de la nourriture offre une fenêtre sur l’âme du pays. Des festins communautaires aux en-cas de rue, chaque bouchée raconte une histoire—celle d’une histoire partagée, d’une culture et d’une solidarité qui font de la nourriture au Cameroun une expérience inoubliable.

 

Ouvrages Cités

Pele, Dr.J. (1976) L’alimentation au Cameroun, Horizon IRD. Disponible à: https://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_5/b_fdi_14-15/20464.pdf (Accédé: 2024).

Cuisine camerounaise (2024) Wikipedia. Disponible à: https://fr.wikipedia.org/wiki/Cuisine_camerounaise (Accédé: 2024).

Eric Jazet Kengap, Pierre Djou, Claude Tchamda, Pauline Martin, Nicolas Bricas. L’évolution de la consommation alimentaire au Cameroun de 2001 à 2007. L’Afrique à la conquête de son marché alimentaire intérieur. Enseignements de dix ans d’enquêtes auprès des ménages d’Afrique de l’Ouest, au Cameroun et du Tchad, Agence Française de Développement, 2016. (Accédé: 2024).

Batibonak, S. and Defo, C. (2015) Diversité alimentaire et prééminence du riz dans les habitudes de consommation au Cameroun, VertigO – la revue électronique en sciences de l’environnement. Disponible à: https://journals.openedition.org/vertigo/15980?lang=en (Accédé: 2024).

Plats Camerounais : Toutes les recettes immanquables (2024) Cuisine AZ. Disponible à: https://www.cuisineaz.com/cuisine-du-monde/cameroun-p268 (Accédé: 2024).

Découverte de la cuisine camerounais (2021) Découvrir le Cameroun. Disponible à: https://discover-cameroon.com/aliments-et-boissons/ (Accédé: 2024).

Charly, O. (2024) Recette du met de pistaches ‘Mukon Mwa Ngondo’ Façon Grand Mère Sawa, Le Tamtam du Mboa. Disponible à: https://tamtamdumboa.com/recette-du-met-de-pistache-mukon-mwa-ngondo-facon-grand-mere-sawa/ (Accédé: 2024).

Camerdish (2023) Kwacoco Bible, Camerdish. Disponible à: https://www.camerdish.com/recipes/kwacoco-bible/ (Accédé: 2024).

Mon Foufou (express) et sa sauce arachide! (2020) Les Gourmandises De Karelle. Disponible à: https://lesgourmandisesdekarelle.com/recettes-lgdk/recettes-africaines/foufou-express-sauce-arachide/ (Accédé: 2024).

Baileys, D. (2023) la meilleure recette de Soya/Choukouya de Bœuf/Cameroonian Soya très facile et rapide, YouTube. Disponible à: https://www.youtube.com/watch?v=kRTW8rrzwJQ (Accédé: 2024).

TCHAC (2023) Réaliser des frites de banane plantain avec le chef Anto Cocagne, YouTube. Disponible à: https://www.youtube.com/watch?v=d0k-rGChLDY (Accédé: 2024).

viliane27 (2023) La Meilleur Recette sauce jaune/Achu Soup cameroun, Kelianfood. Disponible à: https://kelianfood.com/sauce-jaune-achu-soup/ (Accédé: 2024).

Puff-puff (pâte frite) ou Beignets Camerounais (2022) Afrosmartshop. Disponible à: https://www.afrosmartshop.com/fr/recettes/puff-puff-pate-frite-ou-beignets-camerounais/ (Accédé: 2024).

Sophie. (2016). Riz jollof (Cameroun), Recettes végétales. Disponible à: https://www.recettesvegetales.com/riz-jollof-cameroun/ (Accédé: 2024).

Loicebode (2016) Cameroonian cuisine, Wikipedia. Disponible à: https://en.wikipedia.org/wiki/Cameroonian_cuisine#/media/File:Plats_traditionnels_lors_d’une_c%C3%A9r%C3%A9monie.jpg (Accédé: 2024).

Administrator (2024) Discover the enchanting world of cameroon foods: A culinary adventure, Tuscan Wolf Pizzeria. Disponible à: https://tuscanwolfpizzeria.ca/blog/37594 (Accédé: 2024).