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France: Toulouse

Le Présence d’occitan dans Toulouse en contexte de l’éducation

Quand on choit Toulouse pour l’étudie étrange, il est probablement car la proximité de la France propre. Mais ne pensez pas que Toulouse est la glace en vanille. Le sud de France est habité par quelques subcultures et dialectes. Une des « langues » est l’Occitan. L’histoire d’Occitan dans Toulouse est brouillant et un peu triste. Aux temps anciens, les juifs, les arabes, les berbères, et quelques espagnoles ont habité au sud de France. Mais quand le vieil ordre a élevé, des lois de « seulement français » étaient passé, et le gouvernement a essayé de tuer des cultures régionales. En résultat, de moins en moins des Toulousiens parlent la langue d’Oc. Mais, pour un morceau d’esprit, le dialecte rentre au 21ème siècle, et maintenant, il est présente dans la société et dans l’éducation.

En Toulouse, 74% de la population sentent qu’il est essentiel d’intégrer l’Occitan dans la vie publique, et ça devient un réalité jour par jour Les jeunes qui habitent en Toulouse le parlent en conversation avec chaque autre, et dans l’école. De la recherche était fait dans les élèves dans le sud-ouest de France, où ils ont enseigné le français et l’Occitan pour la première année de l’école, pendant la sixième année. Dans cette recherche, il y a beaucoup d’évidence qui indique que la langue d’Oc est dans les cerveaux des jeunes. Entre la 4ème, 5ème et 6ème année, les jeunes en Toulouse comprennent de plus en plus de l’Occitan. Ça peut traduire sûr les universités. En Toulouse, il est des divisions du Science Po, Polytech, et des autres, alors pleine des jeunes y iront à quelque temp. Il serait intéressant, quand ils ont l’âge d’adulte, s’ils retiennent l’Occitan et l’utilise.

Il y a quelques controverses en cette discussion, cependant. La régulation pour des langues en France, comme vous probablement déjà savez, est assez stricte. Depuis 2001, des panneaux – pour les rues, pour les édifices, même pour les salles dans les centres d’éducation – représentent le français et la langue d’oc. Bien qu’on puisse parler des autres langues librement, la récognition par le gouvernement français est très rare. Il y a 328 panneaux qui n’offrent pas des descripteurs pour les non-parlants de la langue d’Oc. Ça crée une différence de culture, qui disrupte l’autorité du français. Quelques scolaires ne sont pas d’accord avec ces changements de la société, parce qu’il diminue la culture française. Les panneaux représentent l’Oc au-dessous du français, mais ils ont plus de mots, qui est vu comme une divergence du nationalisme française.

Il y a évidemment un débat sur la prévalence de la langue d’Oc dans toulouse, mais il est présent à travers du tous, spécialement aux jeunes. Quand des Dickinsoniens voyagent en Toulouse, peut-être, en pratiquant leur français, on peut apprendre un peu d’Occitan.

 

 

Sources Citées

Martinot, Clara et Laurent, Angélique “Bilingualism and phonological awareness : the case of bilingual (french-occitanian) children.” Reading and Writing, March 10, 2010. https://research.ebsco.com/c/rd5flh/viewer/pdf/avr2rvs3ev. Accessed 7 May, 2025.

Amos, William H. “Regional language vitality in the linguistic landscape : hidden hierarchies on street signs in Toulouse.” International Journal of Multilinguism, May 2017. https://research.ebsco.com/c/rd5flh/viewer/pdf/u5imhvplzr. Accessed 7 May, 2025.

Ritchie, Elyse, “Multiculturalism from the inside out: Occitan and Toulouse.” Critical Multilingual Studies, August 27, 2017. https://cms.arizona.edu/index.php/multilingual/article/view/94/202. Accessed 3 May, 2025.

“Occitan” Wikipédia France. https://fr.wikipedia.org/wiki/Occitan. Accessed 8 May, 2025.

Garaboto, Carmen Alén, “Langues minoritaires en quête de dignité: le galicien en Espagne et l’occitan en France.” Zeitschrift für Romanische Philologie, November 2012. https://research.ebsco.com/c/rd5flh/viewer/pdf/ba3rwtidxn

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Le Cameroun: Yaoundé

Cuisine Camerounaise- insécurité alimentaire et huile de palme rouge

Au Cameroun, la cuisine joue un rôle essentiel dans l’unification de son paysage culturel diversifié et constitue un marqueur essentiel de l’identité nationale. Avec plus de 250 groupes ethniques, chacun possédant ses propres traditions culinaires selon la région, la cuisine offre un sentiment d’appartenance pour les gens Camerounais. La nourriture joue un rôle de représentation culturelle, non seulement pour ceux qui la visitent, mais constitue également un facteur qui a façonné et influencé ceux qui ont grandi dans les maisons camerounais.

Bien que nous puissions généraliser la cuisine camerounaise comme étant « cuisine camerounaise », mais il est important de reconnaître que la cuisine diffère selon les régions afin de ne pas invalider, stéréotyper et généraliser un pays entier.

Je vais explorer trois régions : la région centrale, la région occidentale et la région sud.

La région centrale est réputée pour sa cuisine typique des Bassaa et des Beti. Les Bassaa proposent un plat appelé Bongo’o tjobi, une sauce à l’ébène accompagnée de poisson, comme ici:

Un autre plat de la tribu Beti est préparé à partir de feuilles d’okok, une plante sauvage du centre et du sud. Les feuilles sont finement hachées et cuites à l’huile de palme.

Ensuite, la région occidentale prépare historiquement davantage de recettes de ragoût. L’un est un ragoût appelé Kondre, préparé à partir de plantain épicé non mûr avec de la chèvre, du bœuf ou du porc.

Kondre

Le Tapsi Banana est un autre plat- un ragoût à base de banane douce non mûre, de pâte d’arachide fraîche, d’huile de palme et de poisson fumé.

Le Tapsi Banana

Enfin, la région sud propose davantage de recettes à base de plantes. Le Sanga est une recette très populaire parmi les ethnies Bassa et Beti. Il est préparé à partir de feuilles de morelle ou de melon, cuisinées avec du jus de noix de palme, du maïs et parfois du piment.

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Sanga

Dans le sud, on prépare également un plat traditionnel appelé Okok, un plat à base de feuilles de “gnetum africanum,” de pâte d’arachide grillée et de jus de noix de palme.

Okok

Toutes les recettes énumérées ci-dessus nécessitent de l’huile de palme rouge pour être cuites. Deux tiers des plats cités par les ménagères nécessitent de l’huile de palme rouge pour être cuits correctement et traditionnellement.

Le Cameroun actuellement et historiquement, depuis 2008, une insécurité alimentaire. Le coût élevé de la vie urbaine, les bas salaires, les prix élevés des denrées alimentaires et l’accès limité aux aliments sauvages sont les raisons qui expliquent cette insécurité alimentaire. Cela complique la situation.

Le coût élevé de la vie urbaine et les bas salaires déjà élevés rendent difficile pour les Camerounais de maintenir leur logement tout en maintenant un accès stable à l’alimentation et à la nutrition. De plus, une grande partie de leurs ingrédients sont des aliments sauvages cultivés et achetés dans leur pays. Or, comme le pays exporte la plupart de ses plantes, cultures et plantes sauvages, il ne reste plus grand-chose aux habitants, et encore moins assez pour qu’ils puissent continuer à cuisiner des plats traditionnels. Il est important de reconnaître que cette insécurité alimentaire entraîne la perte d’une culture.

huile de palme rouge

Comme mentionné précédemment, l’huile de palme rouge est essentielle à leur culture et à leur cuisine locale. Sans elle, de nombreuses recettes ne seraient pas cuisinées correctement ou n’auraient pas le même goût. L’insécurité alimentaire contribue à leur incapacité à y accéder. Mais un deuxième problème se pose : sa production est devenue de plus en plus difficile, car elle est désormais considérée comme nocive pour l’environnement, le processus étant trop énergivore. C’est pourquoi les Camerounais luttent actuellement pour conserver l’huile de palme rouge dans leur cuisine, malgré les réticences et leurs difficultés d’accès à la nourriture.

Il est important de reconnaître l’importance cruciale de ces recettes traditionnelles pour le Cameroun. Sans elles, le peuple perdrait une partie de sa culture; donc, il est essentiel d’apprécier le travail et la beauté de leurs plats.

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Blog France: Toulouse

La langue d’occitan et sa répression en la culture de français

L’Histoire de la langue d’oc

L’Occitanie est une région en le sud de France où la langue d’oc est oral historiquement. La langue a tiré son origine apres la chute de l’Empire romain d’Occident. D’ici la XIII siècle la langue d’oc a été la langue de scientifique et les échanges commerciaux internationaux . En 2020 il croyais qu’il y avais 540,000 locuteurs de la langue d’oc, mais la ministère français de la culture a dit ça 1,670,000 des gens qui sont parleurs mais le nombre vraiment est inconnu. Dans le Moyens Âge, l’Occitan utilisait en la poésie que utilisait communiquer nouveau idées d’amour et de la galanterie. La langue de français imposait comme la langue officielle de France par l’Ordonnance de Villers-Cotterêts qui a décrété en 1539. Avec cet Ordonnance, la langue français s’est répandudans tout de France.

La région d’Occitanie en France

Trois siècle apres l’Ordonnance de Villers-Cotterêts, la lois Jules Ferry a adopté en les 1880s. Ces lois a fait les écoles gratuit, et laïque, mais a fait aussi la langue français la seulement langue quel a pu être appris en les écoles. Cet a forcé les écoles n’enseigner pas la langue occitan alors les générations suivant n’ont pas appris la langue. La diversité de les langues en France a vu à une menace à la unité à l’état de France, qu’est quoi la gouvernement a sevi contre les langues régoinal tous. C’est pas surprenant parce que la culture de français est nationaliste en termes de préserve leur langue depuis l’autre de les cultures. C’est voir en comment les Français ont contrôlé leur colonies par ont demandé ça les gens de la colonies parle français. Il peut aussi voir en comment apres la décolonisation, la gouvernemenet de français a prétendu ça la langue de français a été la langue de décolonisation et liberté pour les ex-colonies. Ce montre comment les Français veulent la langue de français rester comme la langue officielle dans ces pays. Comment la France a traité sa colonies a été similaire à comment il a traité l’Occitanie. La gouvernement de français a mis en oeuvre la langue français en les écoles, le système judicaire, et les administrations locales. En l’occitan il y a un terme pour la honte de la répression linguistique qu’est

 

Une carte de les langues différents parlaient en France

Comment est que la répression de la langue d’occitan entre en contact avec colonisation français

En Occitan il y a une terme pour la honte de répression linguistique 

 

qui est vergonha. Les gens qui veulent leur les langue et culture a pris depuis généralement pas honte sur il, mais aussi , les gens ne veulent pas généralement leur langue et culture a volé. Beaucoup de les gens qui habitent en les ex-colonies sentissent honte ça leur ne pouvait pas arrêt le Français depuis prend leur pays.

Comment est que la répression de la langue a affecté l’éducation de il

 

 

En l’éducation, il y a un grand disparité avec les ressources affectaient entre l’enseignement de l’occitan et les langues autres. Ce disparité présentent un défi pour le renouveau de la langue occitan parce que si les écoles n’ont pas les ressources enseigner la langue d’Occitan, alors les nouvelles générations ne vont pas apprendre la langue et la langue va s’énteindre. En le segment démographique de les parleurs, il y a deux groupes, les adultes plus vieux qui apprendent la langue d’occitan de leur familles. Le groupe autre est de les gens qui apprendent la langue en l’écoles de l’immersion. Ce présente un autre problème parce que si les parents de les jeunes ne parle pas occitan, alors les jeunes ne vont pas être motiver à utiliser la langue d’occitan en la maisonnée.

 

 

Comment est que la gouvernement français est répare la répression

Il y a les écoles de l’immersion appelé Calandreta qui sont les écoles où la langue d’occitan et la langue de français sont utilisé. Les universités offrent aussi les degrés de la langue d’occitan. Quelques des médias sont en la langue d’occitan comme une chaîne de télévision, OcTele, quelque stations de radio qui sont en la langue d’occitan et la langue de

 

français. Les médias sont trés important pour la transmission des langues parce que la plupart des gens utilisé les médias alors si ils veulent comprendre il faut qu’ils parlent le langue.

 

Ouvrages cités

“Occitan.” Wikipédia, 1 mai. 2025, https://fr.wikipedia.org/wiki/Occitan#Historique. Consulté 2 mai. 2025. 

“Ethnic Origins of Occitan People and the Impact of the Occitan Language on Modern French.” LanguageXS, 28 Aug. 2024, languagexs.com/occitan-people-southern-france-linguistic-legacy/. Accessed 5 May, 2025.

Rickman, Catherine. “The Lost Languages of France.” Frenchly, 13 Mar. 2024, frenchly.us/the-lost-languages-of-france/. Accessed 5 May, 2025.

Rowan, Joe. “Falling into the Abyss: The Tragic Decline of Occitan.” The Cambridge Language Collective, The Cambridge Language Collective, 11 Sept. 2021, www.thecambridgelanguagecollective.com/europe/falling-into-the-abyss-the-tragic-decline-of-occitan#:~:text=The%20decline%20of%20Occitan%20can,in%20France%20at%20the%20time. Accessed 6 Mai 2025.

Marie-Jeanne Verny. Langue et culture occitane : l’état d’urgence permanent : entre perte de la langue et actions de transmission. Langues régionales, d’Outre-mer et minorisées : quelles urgences linguistiques ?, Dylis. Université de Rouen, Oct 2024, Rouen (Université de Rouen Normandie), France. ⟨hal-04897110⟩,  https://hal.science/hal-04897110/. Accessed 7 mai. 2025.

Laborie-Fulchic, Jules. “Le décline de l’occitan : Échec des initiatives culturelles ou échec de l’État?” Observatoire Européen du Plurilinguisme, 19 Juillet 2019, https://www.observatoireplurilinguisme.eu/dossiers-thematiques/culture-et-industries-culturelles/177778427-langues-autochtones-et-langues-en-danger/17401-le-d%C3%A9clin-de-l%E2%80%99occitan-%C3%A9chec-des-initiatives-culturelles-ou-%C3%A9chec-de-l-%C3%A9tat. Consulté 9 mai. 2025

 

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Le Maroc: Rabat

Perceptions de la Musique du Maroc

Maroc est situé au carrefours du Moyen-Orient et du Maghreb (un autre nom pour l’Afrique du Nord). Il est un de trois pays qui bordent la mer Méditerranée et l’océan Atlantique les deux, avec l’Espagne et le Portugal. Il est séparé de l’Espagne seulement par une distance de huit miles, une étendue d’eau connue sous le nom du détroit de Gibraltar.

Par conséquent de son emplacement stratégique, durant son histoire, la culture du Maroc a été influencée par de nombreuses conquêtes, la colonisation et l’immigration. Ce fait est évident particulièrement dans la musique du Maroc, avec toutes ses traditions diverses et styles variés.

La musique arabo-andalouse est née d’Al-Andalus, la région d’Espagne et du Portugal dirigée par des musulmans au Moyen Âge, et s’est répandue dans tout le Maghreb. Ce style est caractérisé par ses vocaux chantant et ses instruments traditionnels, comme l’oud (lute), le violon, et le qanûn (cithare). Il est souvent considéré comme de la musique marocaine “classique” et “nationale.” Rabat, la capitale, à un héritage fort andalouse.

La musique Gnawa a ses racines en Afrique de l’Ouest, et le mot “Gnawa” se traduit par “gens noirs.” Ce style de musique a pour origine des Africains qui sont venus au Maroc, volontairement ou comme des esclaves. Il mélange des influences arabe et berbère, avec thèmes religieux ou spirituels et un accent sur les instruments de percussions, tels que des castagnettes.

Des autres genres de musique marocaine incluent la chaâbi, ou musique pop, la musique sépharade, et la musique de Sufi, pour n’en citer que ceux-là. Je voudrais me concentrer sur les deux susmentionnés et comment ils sont perçus dans le discours marocaine et occidental.

Dans l’occident, nous avons tendance à mystifier le Moyen-Orient, à l’idéaliser et en même temps à le séparer de l’Occident “civilisé.” Nous rêvons des chameliers qui chantent dans les déserts nuits et des charmeurs de serpents qui jouent de la flûte. Leur fonction est exclusivement de divertir, comme l’Européen Christopher Wanklyn a écrit quand il a visité le Maroc en 1966. Nous voyons ce que nous voulons voir ; nous entendons ce que nous voulons entendre.

File:COLLECTIE TROPENMUSEUM Dansgroep uit het Atlasgebergte TMnr 10028647.jpgNotre perceptions sont souvent et noir et blanc

Je dois noter que de telles attitudes existent au Maroc aussi, se propagent par le des persistant impacts de colonialisme. Le Français a développé le concept du Islam noir et Islam maure, qui ont distingué par la race. Ils croyaient que l’Islam maure était supérieur à l’Islam noir. Par conséquent, ils attribuaient une origine étrangère aux Marocains noirs pour leurs inscrire dans ce paradigme.

De la même façon, quand le Maroc a obtenu son indépendance en 1956, la musique andalouse a été promue comme la musique nationale. Il est préféré pour ses associations avec l’Espagne et l’Europe.

Ainsi, le cadre colonial produit deux conclusions incompatibles. Le premier favorise la culture andalouse et maure pour leurs proximités à la blancheur. Le deuxième idolâtre et exagère “l’exotisme” et la “simplicité” de musique Gnawa, conçoit un stéréotype contraignant et erroné. 

Le résultat est la stigmatisation des artistes folk, pas seulement du Gnawa. Par exemple, les chanteurs de l’Aïata, une type de poésie chantée, se retrouvent souvent confrontés à l’hypersexualisation et à la marginalisation.

La musique marocaine contemporaine a trouvé des façons de contester ce statu quo. Le groupe marocain Hoba Hoba Spirit mélange la musique Gnawa et rock avec des influences de rai, un style originaire en Algérie qui s’occupe des sujets controversés. Ils se moquent des Américaines pour leur ignorance présumée dans la chanson “El Mirikane.” Dans la chanson, ils parodient une Américaine femme qui pose la question « Where are you from ? ». Quand le chanteur répond avec « Casablanca », la “femme” s’exclame « Oh! I know, it’s close to Cuba! // I love Reggae, I love Samba ». Hoba Hoba Spirit souligne l’ironie de tout cela. Nous l’enlevons de son identité et unicité, et concevons une autre image, une autre réalité, à sa place.


Ouvrages Cités

AfricaNews. “Maroc : L’Aïta, Une Musique Traditionnelle Qui Transcende Les Barrières.” Africanews, 8 Feb. 2025, fr.africanews.com/2025/02/08/maroc-laita-une-musique-traditionnelle-qui-transcende-les-barrieres.

“Afropop Worldwide | Gnawa Music of Morocco.” Afropop Worldwide, afropop.org/articles/feature-gnawa-music-of-morocco#:~:text=Some%20of%20the%20best%20known,migration%2C%20both%20voluntary%20and%20forced.

Aidi, Hisham. “Gnawa Mirror: Race, Music, and the ‘Imperialism of Categories.’” International Journal Middle East Studies, vol. 55, no. 3, Aug. 2023, pp. 556–77. https://doi.org/10.1017/s0020743823001010.

Decolonizing Gnawa Music. www.soufflesmonde.com/posts/decolonizing-gnawa-music.

Eyre, Banning. “Afropop Worldwide | Gnawa Music of Morocco.” Afropop Worldwide, afropop.org/articles/feature-gnawa-music-of-morocco.

“File:COLLECTIE TROPENMUSEUM Dansgroep Uit Het Atlasgebergte TMnr 10028647.jpg – Wikimedia Commons.” commons.wikimedia.org/wiki/File:COLLECTIE_TROPENMUSEUM_Dansgroep_uit_het_Atlasgebergte_TMnr_10028647.jpg. Consulté en mai 2025.

“File:المغرب التقليدي.Jpg – Wikimedia Commons.” commons.wikimedia.org/wiki/File:%D8%A7%D9%84%D9%85%D8%BA%D8%B1%D8%A8_%D8%A7%D9%84%D8%AA%D9%82%D9%84%D9%8A%D8%AF%D9%8A.jpg. Consulté en mai 2025.

Karl, Brian. “The Coming of Americans: Moroccan Popular Music, Modernity, and Mimetic Encounters.” The Journal of North African Studies, vol. 19, no. 3, Mar. 2014, pp. 358–75. https://doi.org/10.1080/13629387.2014.884365.

Hoba Hoba Spirit. “El Mirikane.” Hoba Hoba Spirit, 2002. Youtube. https://www.youtube.com/watch?v=4s8kzW42OhQ.

Locmarrakech. “La Musique Marocaine : Un Voyage Au Cœur Des Sons Et Des Cultures.” Guide De Voyage Marrakech Maroc, 25 June 2024, www.locmarrakech.com/tourisme/la-musique-marocaine-un-voyage-au-coeur-des-sons-et-des-cultures.htm.

Morocco.com. “Music From Morocco | Morocco.com.” Morocco.com, 17 Jan. 2020, www.morocco.com/culture/music.

Reimer, Mark. “Music for One World: Moroccan Musical Experience of Diversity, Fusion, Happiness, Healing, and Peace.” Journal of Global Awareness, Aug. 2020, pp. 1–10. https://doi.org/10.24073/jga/1/01/04.

Shannon, Jonathan Holt. “Performing al-Andalus, Remembering al-Andalus: Mediterranean Soundings From Mashriq to Maghrib.” Journal of American Folklore, vol. 120, no. 477, June 2007, pp. 308–34. https://doi.org/10.1353/jaf.2007.0060.

Wanklyn, Christopher. Music of Morocco, Folkway Records, 1966. https://search.alexanderstreet.com/view/work/bibliographic_entity%7Crecorded_cd%7C71764?utm_campaign=AlexanderStreet&utm_medium=MARC&utm_source=aspresolver.

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Le Maroc: Rabat

Le street art à Rabat : une nouvelle image du Maroc

By: Ellis Columber

 

Quand on pense au Maroc, on imagine souvent les mosquées, les marchés et une culture ancienne. Mais à Rabat, la capitale, il y a aussi du street art. Ce sont de grandes images sur les murs. Ces dessins montrent un autre Maroc : un pays jeune, moderne et créatif.

Le festival Jidar
Depuis 2015, il y a un grand festival à Rabat. Il s’appelle le festival Jidar. Chaque année, des artistes du Maroc et d’autres pays viennent pour peindre des grands dessins sur les murs. On peut les voir dans les rues de la ville.

Les artistes viennent de pays comme la France, le Brésil, l’Égypte ou la Tunisie. Ils dessinent des femmes marocaines, des signes amazighs, ou des scènes de tous les jours. Les couleurs sont fortes et les dessins sont très jolis.

Des jeunes artistes marocains participent aussi. Le festival leur donne une chance de montrer leurs idées et leur façon de voir le monde. C’est aussi un moment pour échanger avec des artistes étrangers.

Un moyen de s’exprimer
Au Maroc, ce n’est pas toujours simple de parler de tout. Mais avec le street art, les jeunes peuvent montrer leurs idées sur les murs. Parfois, les dessins parlent de liberté, de problèmes sociaux ou de la vie des jeunes.

Un chercheur marocain dit que ces murs “parlent quand la parole est bloquée”. C’est une façon calme, mais forte, de dire des choses importantes.

Par exemple, certains artistes parlent des problèmes de la société : la pauvreté, la pollution ou la politique. Mais ils n’utilisent pas de mots. Ils dessinent avec des couleurs, des formes et des symboles.

Une liberté avec des règles
Même si le street art est à la mode, il y a des règles. Les artistes doivent souvent demander une autorisation pour peindre sur les murs. Par exemple, la politique ou la religion sont parfois interdites.

Alors, les artistes doivent être intelligents. Ils utilisent des symboles ou des images poétiques pour dire ce qu’ils pensent sans avoir de problèmes.

Une ville qui change

Avec toutes ces peintures, la ville de Rabat change. Les murs ne sont plus gris ou sales. Ils deviennent belles œuvres d’art. Des gens viennent visiter les quartiers juste pour voir le street art. Il y a même des écoles qui font des visites pour apprendre aux enfants à regarder l’art.

Le festival Jidar Urban Art organise aussi des ateliers pour les jeunes. Ils peuvent apprendre à peindre, à réfléchir, et à travailler en groupe. C’est éducatif et artistique à la fois.

Pourquoi c’est important pour toi

Si vous allez au Maroc, vous verrez ces fresques partout dans la ville. Elles sont belles, mais elles ont aussi un message. Elles montrent le Maroc d’aujourd’hui : un pays entre tradition et modernité, entre silence et expression.

Le street art te permet de mieux comprendre les jeunes Marocains, leurs problèmes, leurs idées, et leurs rêves. C’est un très bon exemple de culture contemporaine.

 

Ouvrages Cités

Association EAC-L’Boulvart. Festival Jidar – Toiles de Rue. Jidar.ma, https://www.jidar.ma/.

Bentahar, Ziad. “L’art de rue au Maroc : entre expression sociale et contrôle politique.” Mecam Papers, no. 1, 2022, https://opendata.uni-halle.de/bitstream/1981185920/88200/1/Mecam_Papers_2022-01-French_A.pdf.

Benabdallah, Soukaina. “Le street art marocain ou l’art d’habiller les murs.” ILCEA, no. 36, 2019, https://journals.openedition.org/ilcea/7538#tocto1n2.

Hines, Cameron. The Revolution Will Be Painted: Murals, Street Art, and Cultural Production in Morocco. School for International Training, Fall 2019, https://digitalcollections.sit.edu/isp_collection/3707/.

Owolabi, Ifeanyi. “Street Art in Morocco: A Form of Protest or a Tool for the State?” The Sole Adventurer, 20 septembre 2021, https://thesoleadventurer.com/street-art-in-morocco-a-form-of-protest-or-a-tool-for-the-state/.

 

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Le Maroc: Rabat

Le Rôle de la Religion dans la Culture Marocaine

Morocco

Le Maroc est un pays d’Afrique du Nord culturellement riche et diversifié. Sa population est majoritairement musulmane et l’islam occupe une place centrale dans la vie quotidienne, tant publique que privée. L’appel à la prière résonne dans les villes cinq fois par jour, et les mosquées sont importantes pour les musulmans pratiquants. L’islam sunnite est la religion la plus pratiquée, mais le Maroc est également connu pour sa tolérance historique, avec d’autres religions pratiquantes comme le judaïsme, le christianisme et le berbère. Les fêtes religieuses comme le ramadan sont profondément ancrées dans la culture marocaine, influençant tout, des horaires de travail à la cuisine. Les étudiants de Dickinson ont l’occasion idéale de s’immerger dans les pratiques culturelles et religieuses du Maroc.

The Best Things to Do in Rabat, Morocco's Understated Coastal Capital |  Condé Nast TravelerSergio Formoso/Getty Images (lien)

Qu’est-ce que l’islam sunnite ?

L’islam sunnite est la branche la plus importante de l’islam. Il prône les enseignements du prophète Mahomet tels qu’ils sont consignés dans le Coran et la Sunna. Les sunnites considèrent les quatre premiers califes comme les successeurs légitimes de Mahomet, contrairement aux chiites qui croient que Mahomet a désigné un autre successeur. Au Maroc, l’islam sunnite est la religion officielle et dominante. Cette structure contribue à maintenir l’unité religieuse et promeut une interprétation modérée de l’islam.

Ramadan au Maroc

Au Maroc, le rôle de la religion a beaucoup évolué au fil du temps. Au début des années 1960, la religion était en déclin chez les jeunes de villes comme Casablanca et Fès. Les idéologies socialistes et nationalistes étaient dominantes, le pays privilégiant la restructuration politique. Cependant, à partir des années 1980, le Maroc a connu un regain religieux. Les mouvements islamistes ont commencé à revendiquer l’islam comme référence centrale de la vie publique et politique, remettant en cause la domination des différentes idéologies.

Image d’un marché au Maroc (lien)

Le Ramadan au Maroc montre comment la religion continue de structurer la vie quotidienne à travers des pratiques communautaires et spirituelles. La vie quotidienne du pays tout entier évolue pour s’adapter au jeûne, les villes se vidant avant l’iftar (le repas de rupture du jeûne). Même les membres d’autres religions, qui ne jeûnent pas habituellement, le font souvent, par respect des normes sociales. Le Ramadan reflète la dévotion religieuse et l’unité culturelle partagée. Il mêle spiritualité, vie familiale et traditions publiques au sein d’une expérience sociale unifiée.

Autres Religions au Maroc

Au Maroc, la Constitution garantit la liberté de religion, mais elle est limitée à l’islam sunnite et au judaïsme, les deux seules religions officiellement reconnues. Le gouvernement soutient le judaïsme en restaurant les synagogues et en enseignant l’histoire à l’école. Malheureusement, d’autres groupes religieux, comme les chrétiens et les chiites, ne sont pas officiellement reconnus et se voient imposer des restrictions en matière de culte public et de distribution de matériel religieux.

Ouvrages Cités

Ward Vloeberghs, Ellen van de Bovenkamp. Sacré ramadan: centralité d’une expérience religieuse collective. Fondation du Roi Abdul Aziz Al Saoud. Le Maroc au présent: d’une époque à l’autre, une société en mutation, , pp.773-781, 2015, 978-9954-0-3620-4. ffhalshs-01300844f

Ostergaard Jacobsen, Kate. “Ramadan in Morocco – an Analysis of the Interaction of Formal and Local Traditions.” Temenos, vol. 32, 1996, pp. 113–135. ATLAS. Accessed 3 May 2025.

Rachik, Hassan. “Espace Public et Croyances Religieuses Au Maroc.” Le Maroc Au Présent, by Baudouin Dupret et al., Casablanca, Centre Jacques-Berque, 21 Nov. 2016, pp. 705–734, books.openedition.org/cjb/1107?lang=en. Accessed 3 May 2025.

Wikipedia Contributors. “Sunni Islam.” Wikipedia, Wikimedia Foundation, 4 Mar. 2019, en.wikipedia.org/wiki/Sunni_Islam.

Wikipedia Contributors. “Freedom of Religion in Morocco.” Wikipedia, Wikimedia Foundation, 4 Mar. 2025.

  1. “USDOS – US Department of State (Author): “2021 Report on International Religious Freedom: Morocco”, Document #2074006 – Ecoi.net.” Ecoi.net, 2021, www.ecoi.net/en/document/2074006.html?utm_source=chatgpt.com. Accessed 9 May 2025.

(Photo) Moroccotravel. “Traveling during Ramadan in Morocco – Travel to Morocco: Luxury & Private Morocco Tours: The Best of Morocco: Www.Morocco.” Travel.Com, 21 May 2019, morocco-travel.com/traveling-during-ramadan-in-morocco/.

(Photo) Nast, Condé. “Where to Eat, Stay, and Play in Rabat, Morocco’s Understated Coastal Capital.” Condé Nast Traveler, 29 Feb. 2024, www.cntraveler.com/story/eat-stay-play-rabat-morocco.

 

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France: Toulouse

La Cusine De Toulouse

Toulouse, dans la région Occitanie du sud de la France, est une ville où le passé gastronomique est présent dans la vie de tous les jours. En qualité d’étudiant de Dickinson cherchant à étudier à l’étranger à Toulouse, il est important d’observer comment les traditions culinaires locales reflètent l’identité culturelle de la ville et comment elles reflètent également les tendances et les échanges internationaux. La cuisine toulousaine, et plus particulièrement ses ingrédients symboliques et sa culture de marché, est une fenêtre sur la gastronomie locale en sa qualité d’objet culturel et d’outil de connexion avec le reste du monde.

Le point central de l’identité culinaire de Toulouse est sa fameuse cuisine locale, marquée par une nature fertile et une histoire riche. Le site Internet de Toulouse Gourmet Tours répertorie dix recettes traditionnelles qui font la réputation de la cuisine locale, par exemple le cassoulet qui est une (ragoût de haricots et de viande), la saucisse de Toulouse qui est épicée, ou encore le confit de canard. Ces plats traditionnels montrent la tradition de la région, qui dépend principalement des conserves de viande et de légumes, issues des pratiques de l’agriculture traditionnelle. La cuisine toulousaine est née des méthodes de durabilité avant les tendances les plus actuelles : la cuisine lente, la conservation et la charcuterie. Ces traditions locales sont toutefois loin d’être des reliques. Au contraire, elles sont aujourd’hui en harmonie avec le tourisme culinaire global, les clients voyageant le monde pour découvrir des expériences et des saveurs « authentiques ».

Le Marché Victor Hugo est un site essentiel qui symbolise cette fusion entre le local et le mondial. Comme le rapporte le blog The French Life, ce marché n’est pas uniquement une place de marché pour les produits locaux et les spécialités artisanales, mais aussi un endroit où les chefs cuisiniers, les touristes et les habitants convergent. Sa dynamique reflète de manière exemplaire le concept de terroir français, à savoir que la géographie, le climat et les habitudes culinaires influent sur les produits alimentaires. Mais le Marché Victor Hugo montre aussi comment l’identité régionale est maintenant représentée devant un public mondial. Les vendeurs font référence à une clientèle internationale tout en étant résolument régionaux dans leurs produits, démontrant ainsi que la fierté culinaire locale peut coexister avec les tendances alimentaires mondiales.

L’article JSTOR intitulé « Food and the Politics of Representation in France » (L’alimentation et la politique de représentation en France) examine de façon plus détaillée cette même dynamique de tradition et de globalisation. L’article critique la manière utilisée pour présenter les cuisines régionales comme des produits figés et « authentiques », alors même que ces cuisines ont évolué pour répondre à la demande mondiale. Il évoque comment et pourquoi le concept de patrimoine alimentaire peut être marchandisé, avec des aliments produits et vendus à des étrangers, souvent au prix de l’effacement du mouvement et de la diversité des pratiques qui en sont à l’origine. L’image de la cuisine toulousaine comme traditionnellement authentique est ainsi plus difficile à défendre. Ce qui pourrait sembler être un produit culturel stable, comme le cassoulet, est un symbole capable de s’adapter aux différents économies, au tourisme et à l’image de marque de la ville.

Ainsi, pour les étudiants résidant à Toulouse, la nourriture est un formidable outil d’accès à la culture locale. Participer à la culture culinaire de la ville, visiter les différents marchés, parler avec les vendeurs, manger des produits de la région, nous permet de vivre les habitudes et les traditions de la France du Sud. Toutefois, cela encourage également la critique de les produits culturels comme la cuisine peuvent être influencés par des facteurs globaux plus vastes. Le Toulouse que nous mangeons entre étudiants et touristes, est ce que c’est le même que celui des habitants de la ville ? Qu’est-ce qu’on avait oublie et qu’est-ce qu’on ne peut pas oublier ?

À Toulouse, la nourriture est plus que la nécessité ou le plaisir : c’est un message culturel. La nourriture est le langage d’un pays qui défend son identité avec détermination et qui participe à la culture mondiale de la nourriture. Les étudiants et les touristes utilisent ce langage dans le contexte de la culture toulousaine et de l’histoire de l’Europe.

Tarr, E. (2009). French regional food culture: A case study of Toulouse. Anthropology of Food, (6). https://www.jstor.org/stable/20528424

The French Life. (2018, May 2). Marché Victor Hugo: An epicurean dream. http://www.thefrenchlife.org/2018/05/02/marche-victor-hugo-epicurean-dream/

Toulouse Gourmet Tours. (n.d.). The 10 local dishes you have to try when you’re in Toulouse. https://www.toulousegourmettours.com/blog/the-10-local-dishes-you-have-to-try-when-youre-in-toulouse

JRE-Jeunes Restaurateurs. (n.d.). La culture alimentaire en France. https://jre.eu/fr/la-culture-alimentaire-en-france

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France: Toulouse

Histoire – Le Canal du Midi: un voyage entre passé et présent

Quinn Leary


Toulouse, aussi appelée Ville Rose, est une ville avec une longue histoire. Au centre de cette histoire se trouve un canal très important: le canal du Midi. Ce canal, construit au 17ème siècle, démontre comment un projet local peut avoir une grande importance pour la France et même pour le monde.

FranceComfort – Toulouse

Un projet ancien et important
Le canal du Midi a été construit pendant le règne de Louis XIV. Cette idée est à un homme nommé Pierre-Paul Riquet. Le canal relier Toulouse à la mer Méditerranée sur une distance de 240 kilomètres. Il passe par des ponts, des écluses, qui sont des portes que permettant bateaux d’entrer et de sortir, et même un tunnel.
À l’époque, il était très difficile de transporter des marchandises par la mer. Le canal était un excellent moyen de éviter l’océan Atlantique, qui était très dangereux pour les bateaux. Le projet était aussi un moyen pour le roi de démontrer son pouvoir et de mieux contrôler le sud de la France.

Un instrument pour le commerce et la région
Au 18ème siècle, le canal du Midi était très important pour le commerce. La région de Toulouse produit beaucoup de grains, comme le blé. Grâce à l’aide de la canal, ces produits ont pu être exportés dans d’autres régions, comme Montpellier, ou même en Italie.

Le canal aidé l’économie à développer. Il a aussi permis de renforcer les contacts entre les régions. Toulouse est devenue un important lieu de transport, de marché et de commerce. C’est un bon exemple de lien entre la campagne et la ville.

Le canal aujourd’hui: entre tourisme et problèmes
Le canal du Midi est un site inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1996. Il est donc protégé parce que important pour l’histoire du monde. Aujourd’hui, le canal n’est utilisé pas pour le transport de marchandises. Mais il est très populaire pour les cyclistes, les canotages et les randonneurs.

Toutefois, il y a aussi des problèmes. Par exemple, certains arbres autour de canal sont morts. Et dans les années 1970, les projets de modernisation du canal n’est pas bien faire. Trois régions françaises (Aquitaine, Midi-Pyrénées, Languedoc-Roussillon) voulu améliorer le canal, mais il était difficile de travailler ensemble. C’est un groupe privé, appelé Consortium, qui a aidé le projet à avancer.

Petit Futé / Adobe Stock

Un symbole local et un symbole mondial
Le canal du Midi est spécial parce que c’est un symbole local et un symbole mondial. Pour les habitants de Toulouse, il est un symbole de fierté. Il représente le passé et les compétences de la ville. Mais le canal est aussi connu des touristes mondial.
Il montre que même un projet vieux peut être toujours utilisé. C’est un pont entre l’histoire et le présent, entre la France et les autres pays.

En résumé, si tu fais un échange à Toulouse, le Canal du Midi est à voir absolument. Ce n’est pas juste un beau canal: c’est un fragment de l’histoire. C’est un lieu où vous pouvez passer du temps à marcher, courir, ou simplement vous asseyez et regarder la beauté naturelle qui existe. C’était un lieu d’échange, mais maintenant un lieu pour se relaxer et réfléchir sur la vie. C’est aussi un exemple de l’impact que une idée locale peut avoir. On dit que les gens sont à l’origine de la ville, mais à mon avis, le canal du midi fait de la ville. Grâce à canal du midi, nous pouvons comprendre l’importance de l’histoire dans développement de la beauté, mais aussi l’importance des échanges entre les régions et le monde.


Ouvrages cités

“Canal du Midi.” Wikipedia, en.wikipedia.org/wiki/Canal_du_Midi.

Dandrey, Patrick. “Le théâtre et ses paradoxes dans les Mémoires de Saint-Simon.” Revue d’Histoire Littéraire de la France, vol. 103, no. 4, 2003, pp. 937–956. www.jstor.org/stable/40773797.

Grenet, Jean-Pierre. “Jean-François de La Harpe et les enjeux d’un théâtre national.” Revue d’Histoire littéraire de la France, vol. 111, no. 1, 2011, pp. 131–149. www.jstor.org/stable/24079185.

Petit de Julleville, Ludovic. “Théâtre religieux au moyen âge.” La Civilisation Française, vol. 1, 1911, pp. 64–82. www.jstor.org/stable/jj.17207102.8.

Citation de l’image:

“Canal du Midi.” Petit Futé / Adobe Stock, www.petitfute.com/medias/mag/38376/1800_1200/AdobeStock_14548426-1024×680.jpeg.

“Toulouse.” FranceComfort, www.francecomfort.com/en/sights/383/Toulouse.

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Le Cameroun: Yaoundé

La lumière sur la réalité multilingue du Cameroun

Au Cameroun, la langue est plus qu’un moyen de communication – c’est un marqueur d’identité, une clé pour les opportunités et un reflet de l’histoire coloniale complexe du pays. Officiellement bilingue en anglais et en français, le Cameroun accueille plus de 300 tribus indigènes parlant des langues locales différentes, ce qui révèle un décalage saisissant entre la politique linguistique de l’État et la réalité linguistique vécue par ses citoyens. Cette tension souligne la difficulté pour le pays de trouver un équilibre entre l’héritage mondial de la colonisation et la diversité linguistique locale. Pour les étudiants qui se préparent à étudier au Cameroun, il est essentiel de comprendre la politique de la langue pour saisir comment le pouvoir, l’identité et les opportunités sont négociées à travers le pays. 

Voici une carte des groupes ethniques de la région de l’Extrême-Nord du Cameroun.

Cette situation complexe se manifeste dans la vie quotidienne. Comme l’explique Avigdor Farine, la politique de bilinguisme du Cameroun, qui doit apporter l’unité, fonctionne souvent de manière inégale. Le français est dominant, surtout dans les villes et les institutions gouvernementales, tandis que l’anglais est surtout parlé dans certaines régions de l’ouest. Parallèlement, les nombreuses langues indigènes parlées dans le pays sont rarement utilisées dans les écoles ou les lieux officiels. Cela crée une disparité entre ce que dit la loi et ce que les gens vivent réellement, ce qui force de nombreux Camerounais à passer d’une langue à l’autre en fonction de l’endroit où ils se trouvent et de la personnes à qui ils parlent.

Panneau d’entrée d’une école bilingue dans la région du sud-ouest du Cameroun.

Plus tard, des chercheurs comme George Echu et Humphrey Kum ont développé la conversation au sujet du bilinguisme officiel au Cameroun. Echu souligne que le bilinguisme en pratique renforce souvent l’inégalité plutôt que l’unité, car le français continue de dominer les institutions clés tandis que les anglophones sont confrontés à une marginalisation systémique. Kum explique que ce problème de bilinguisme n’est pas seulement politique, mais aussi profondément culturel : de nombreux citoyens considèrent le bilinguisme d’État comme une forme d’exclusion qui dévalue les identités locales et les langues parlées.

Les deux chercheurs soulignent que si la politique linguistique n’inclut pas et ne respecte pas les langues et les perspectives culturelles indigènes, elle continuera à créer des obstacles plutôt que des opportunités. Leurs travaux soulignent la nécessité d’adopter des approches plus inclusives et plus sensibles en matière de plan linguistique au Cameroun, une idée importante à retenir pour les étudiants qui cherchent à comprendre comment la langue est liée à l’identité, à l’accès et au pouvoir.

Festival des arts et de la culture du Cameroun.

Cependant, la situation linguistique au Cameroun n’est pas seulement une question d’injustice ou de difficulté, elle montre aussi à quel point les gens peuvent être créatifs et flexibles. Au lieu de considérer les nombreuses langues du pays comme un problème, Alobwede pense qu’elles peuvent en fait contribuer à la prospérité du pays. Les Camerounais mélangent souvent les langues, passent de l’une à l’autre et inventent de nouvelles façons de parler qui reflètent leur identité et leur mode de vie. Les gens ne se limitent pas aux lois sur les langues officielles, ils créent aussi des langues à leur manière. Cette idée contredit le point de vue habituel que les langues au Cameroun causent la division.

Pour les étudiants qui vont étudier dans ce pays, il est important de voir les deux côtés : les difficultés que les gens rencontrent à cause des politiques linguistiques, mais aussi les façons intelligentes et créatives que les gens utilisent tous les jours pour se connecter et s’exprimer.

Ouvrages Cités

Alobwede, C. E. (2021). Linguistic hybridity and developmental perspectives in Cameroon. International Journal of Research- GRANTHAALAYAH, 9(4), 501. https://www.granthaalayahpublication.org/journals/granthaalayah/article/view/3852 

Echu, G. (1999). Genèse et évolution du bilinguisme officiel au Cameroun. In Official Bilingualism and Linguistic Communication in Cameroon/Bilinguisme officiel et communication linguistique au Cameroun (pp. 3–13). Peter Lang Publishing Inc.

Echu, G. (1999). Le Bilinguisme officiel au Cameroun: Critique et perspectives. In Official Bilingualism and Linguistic Communication in Cameroon/Bilinguisme officiel et communication linguistique au Cameroun (pp. 189–201). 

Farine, A. (1968). Le Bilinguisme au Cameroun. Canadian Journal of African Studies, 2(1), 7-12. https://doi.org/10.2307/483994 

Kum, H. (2018). Language-Culture: Marginalization or Opportunity in Cameroon’s Official “State Bilingualism.” In D. Evans (Ed.), Language, Identity and Symbolic Culture, 105–134. Bloomsbury Academic. 

Liste de quelques langues indigènes du Cameroun: https://www.ethnologue.com/country/CM/ 

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Blog Le Cameroun: Yaoundé

L’état de la Santé au Cameroun

Les voyageurs qui ont l’intention de voyager à Cameroun sont fréquemment mis en garde des maladies et de la mal propreté de ce pays. Aussi, les voyageurs ont besoin de nombreux vaccins. Si vous prévoyez de voyager au Cameroun, il faut que vous compreniez l’état de la santé là.

Le système de santé au Cameroun a eu une histoire du manque de financement et la corruption, pendant que le Cameroun est situé dans un lieu avec beaucoup des maladies tropicales. Mais, ce pays est un bon exemple comment un stéréotype négatif peut-il être bénéfique pour un pays. Il y a plus des programmes gérés par des pays extérieurs pour contribuer à la santé publique et l’hygiène en Cameroun.

Une image d’une travailleur de la santé à Douala, Cameroun.

Pourquoi le Cameroun est dans cette situation?

Le Cameroun est géographique un lieu avec beaucoup des catastrophes naturelles. Mais aussi, il y a l’instabilité politique. Récemment, il y avait une crise sociopolitique qui a causé plus des problèmes dans l’économie et l’accès aux services sociaux. Maintenant, il y a trois crises humanitaires:

  • la crise de lac Tchad
  • la crise anglophone
  • la crise des réfugiés

Ces crises aggravent les problèmes déjà présents dans le système de santé. Aussi, il y a corruption persistante dans le système santé (World Justice Project, 2024). Les citoyens camerounais ont dû payer pour les services qui auraient dû être gratuits. Cela a laissé beaucoup des gens sin les services de santé de base.

Maladies Tropicales

Et si les tensions politiques ne sont pas assez, parce que le climat, il y a plus des maladies tropiques qui affectent les gens Camerounais. Ces maladies sont appelées Maladies Tropicales Négligées (MTNs), Ce sont:

  • l’Onchocercose
  • la Filariose lymphatique
  • la Schistosomiase
  • les Helminthiases Intestinales
  • la Lèpre
  • la Trachome
  • le Pian

Et donc, ces maladies peuvent être prévenues et soignées par les traitements pharmaceutiques et des médicaments, si les gens peuvent y avoir accès. Mais à cause de l’absence d’un système de sante solide, plus des gens qui ont besoin de ces traitements n’y ont pas accès, et la maladie se propage de plus en plus.

Des Projets pour Aider

Une image d’une célébration de la ONG Alternative Santé, le centre d’information d’éducation pour la prévention des maladies de l’enfants.

Mais, il y a de l’espoir pour la crise. Ce peut aussi conduire les organisations extérieures pour aider plus dans les crises. Le Cameroun participe en les projets SDG 6 avec l’ONU, le SWA (Sanitation and water for all), le WPP (Water Partnership Program) avec le groupe de banque mondiale, et beaucoup des autres. Ces projets aident le gouvernement Camerounais en fournir l’eau propre et les installations sanitaires. Si vous voulez contribuer à la resolution des problèmes évoqués dans cette blogue, vous pouvez rechercher comment vous porter volontaire pour l’un des projets.

 

-Julia Buchanan

 

Ouvrage Cites

“ Maladies Tropicales Négligées Le Cameroun Doté d’un Plan Stratégique Pour l’Elimination de l’Onchocercose.” Ministère de La Santé Publique, 2023, www.minsante.cm/site/?q=fr%2Fcontent%2Fmaladies-tropicales-n%C3%A9glig%C3%A9es-le-cameroun-dot%C3%A9-dun-plan-strat%C3%A9gique-pour-lelimination-de.

2023, Posted on 21 July. “Cameroon: Crisis Causes Health-Care Challenges.” Front Page, www.unocha.org/news/cameroon-crisis-causes-health-care-challenges. Accessed 10 Dec. 2024.

“Cameroon Healthcare Access Program.” World Justice Project, worldjusticeproject.org/our-work/programs/cameroon-healthcare-access-program. Accessed 10 Dec. 2024.

Nadir, et al. “Lutter Contre La Pauvreté Au Cameroun: Ong Care France.” Care, 9 Jan. 2024, www.carefrance.org/pays/aide-humanitaire-cameroun/.

“Neglected Tropical Diseases: Cameroon.” U.S. Agency for International Development, 22 Mar. 2024, www.usaid.gov/cameroon/health/neglected-tropical-diseases.