Un contrat de la ville rose
L’auteure: Sara Jaklitsch
As-tu déjà signé un contrat? Bien sûr, nous le faisons tous, que ce soit pour un travail ou pour acheter une maison par exemple. Aujourd’hui, l’idée de signer un contrat est quelque chose d’habituel. Cependant, en France, en particulier, Toulouse, les contrats de mariage étaient en grande partie des événements marquants. Quel était le but de ces accords? On peut voir des similarités avec les lois et les droits romains, mais aussi avec les droits du sud des États-Unis. Ces contrats dans le sud de France donnent des opportunités pour observer les pratiques de la famille, par exemple, le gré des partis vus avec le notaire, les conditions du nouveau mariage, la dévolution du patrimoine. La signification des accords dans l’ancienne France était intéressante comme ils donnent l’opportunité de comprendre son histoire. Explorons ensemble le signifié de cette partie riche de l’histoire de France, le contrat de mariage.
Le document présente l’histoire de Toulouse et l’originalité du contrat de mariage. L’usage du contrat était une perspective « suivant la coutume de Toulouse ». Cette pratique est spécifique avec deux parties qui distinguent le régime toulousain. En premier, une des particularités est que le mari « gagne » la dot en cas de décès de sa femme. Deuxièmement, selon un livre de la fin de « la coutume de Toulouse » écrit par Germain Sicard, il a expliqué que les articles 114 et 115 ont dit que le mari a des pouvoirs les plus importants. Ce document donne les relations sociales d’une future famille au XVIIIe siècle. À Toulouse, cette pratique sociale était commune pour les ménages.
Selon une étude, Christine Dousset-Seiden, professeur à l’université de Toulouse, dans la ville Rose, en Haute-Garonne, a exploré les règles et les pratiques du concept. L’étude remonte très loin dans le temps entre 1780 et 1830. A l’époque, les femmes étaient considérées comme des propriétés et n’avaient pas les mêmes droits que les hommes. Selon les documents de la 1786 et 1831, il y a beaucoup de veuves et la prospérité du mari. Comme mentionné précédemment, le but du témoin était très important. Donc, dans l’article, sans témoins, la répartition de la propriété était difficile. Par exemple, les femmes n’ont pas leur surnom dans le document de l’accord et le concept du témoin est nécessaire. Le droit des femmes n’existe pas sans qu’un témoin ne soit présent. De plus, les contrats déterminent les classes sociales des familles. En fin de compte, l’inscription du nom des femmes permettra de résoudre des problèmes dans le futur.
Le but de cette perspective était une raison économique puisque ces papiers décidaient de la répartition de l’argent pour les ménages. Cependant, maintenant nous avons des réformes, des taxes, mais comme le contrat de mariage est une façon de vie, il reste intéressant de s’informer plus sur le sujet.
Donc, la copie originale de ce document offre aux spécialistes aujourd’hui l’opportunité de comprendre la valeur de ces documents. Le contrat est un symbole d’unification pour les deux époux, ce qui leur donne l’opportunité de célébrer un nouveau chapitre de la vie.
J’ai appris qu’il existe un système de dot qui est traditionnel pour les familles. Il y a une majeure partie de la société qui pensait que la femme se devait d’abandonner ses droits au profit de son mari et sa famille. Également, il est essentiel pour un contrat de choisir un témoin qui observe que les deux époux voudraient être mariés. Alors, dans un exemple des contrats de mariage de 1660, 1665 et 1670, en tout 1385 l’accord. Il y a 9,226 témoins et 1,611 étaient des femmes. Selon les études, le rôle des témoins donne un bon indicateur de la mobilité sociale et comme une place pour les femmes dans la société. Quand le premier témoin a été établi, il y avait trois groupes. Premièrement, les avocats, les marchands de vin et les gagne-deniers. Le but des représentatives révèle l’existence de modèles et spécifie l’aspect en Toulouse.
Enfin, la perspective est que tout au long de sa vie, l’époux a le “droit de la famille.” Les deux adoptent un régime dotal comme beaucoup de femmes doivent rester à la maison et s’occuper de leur famille. Essentiellement, l’idée est une feuille d’écriture, de l’argent et comment il est distribué dans toute la famille. La dot, qui est un aspect du contrat, explique le capital et propriété dans le clan. J’apprends que chaque feuille est spécifique avec les systèmes d’ordre pour le contexte de future génération. Quand j’ai recherché pour la première fois, je ne connaissais pas ce genre de choses.
Cependant, je comprends que l’accord entre les deux était fort dans le passé. La perspective du contrat de mariage a créé une famille préparée pour n’importe quelle situation. Quand les gens se marient, ils ont une vision pour l’avenir de commencer un nouveau chapitre de la vie. J’ai remarqué qu’un aspect traditionnel est respecté pour toute la famille. En effet, on voit beaucoup de respect pour les ancêtres d’une famille, d’un clan. L’époux et l’épouse se marient avec une forme de respect et de responsabilité pour le clan et l’accord de mariage signifie cette idée.
Relatif au concept de respect et responsabilité de la famille, j’ai vu un aspect local. Bien que toutes les personnes aux États-Unis aient les mêmes droits d’égalité, il y a bien étendu du respect pour le futur de la famille. Quand les deux personnes sont mariées, ces contrats se penchent aussi sur la notion de testament. Le but de la partie légale est pour établir un programme s’il y a un désastre ou muerte dans la famille. Pour ma famille, mes parents ont créé un plan avec de l’argent et des maisons pour que les enfants vivent si les deux meurent. L’accord local est essentiel parce que les deux gens ont besoin d’être d’accord pour le programme. Cependant, il est un bon exemple de respect parce qu’il est donné au reste de la famille et les membres de la famille peuvent négocier selon leurs propres intérêts.
Toutefois, depuis longtemps, il y a un débat avec le modèle du code civil. Quelques perspectives pensent que du régime dotal ne répondait pas l’usage parce qu’il ne se préoccupait pas de protéger son idée principale, ce qui le rendait dangereux. Depuis que le contrat était écrit, les personnes utilisent les mots comme partie d’un disputé que l’accord était dangereux. Le conflit commence dans le vingtième siècle après que cette pratique soit devenue un mode de vie typique. J’utilise une revue scolaire de 1906 pour capturer les sentiments des personnes. Les opposants au régime dotal disent que la méthode était mal utilisée. Néanmoins, chaque personne a l’habileté d’avoir son opinion, plus c’est important et je sais et vous savez que l’accord était une partie significative de la vie à Toulouse.
Bien qu’ il y a débat concernant l’usage du contrat de mariage, il est important de le comprendre pour l’histoire. Donc, à Toulouse l’idée de l’accord est une signification de l’impact social sur la société. Cette conception construit les perspectives et pratiques traditionnelles. Juste comme chaque ville ou pays avait leur version d’événement, nous avons besoin de connaître l’aspect traditionnel des modes de vie. Dans le passé, je ne connaissais pas beaucoup d’informations sur Toulouse. Je sais que la ville est située dans le sud de France, mais comme je veux étudier là-bas, je dois connaître plus d’informations. Comment pourrais-je assister à l’école de Toulouse pour un programme scolaire si je ne connais pas son histoire? Maintenant, j’ai une nouvelle vue sur les pratiques traditionnelles de Toulouse. Dans deux ans, je saurai encore plus d’informations et vivrai encore plus d’expérience quand je serai dans le sud de la France.
Ouvrages cités
De Saint-Genis, Flour. “Le Contrats De Mariage En France.” Journal De La Société Statistique De Paris, vol. 43, 1902, pp. 195–208. www.numdam.org/item/JSFS_1902__43__195_0.pdf.
Dousset-Seiden, Christine. “The French Civil Code, Women and Inheritance in Southern France.” Hal Open Science, XVIth, July 2012, pp. 1–7. shs.hal.science/halshs-00973872/file/The_French_Civil_Code_Women_and_Inheritance_in_southern_France.pdf.
Figeac, Michel. “Le Contrat De Mariage À Toulouse Et En Toulousain : Sicard (Germain) (Sous La Direction De), Notaires, Mariages, Fortunes Dans Le Midi Toulousain, Toulouse, Presses De L’Université Des Sciences Sociales De Toulouse, 1997.” https://www.persee.fr/disciplines, 1998, pp. 110–224. www.persee.fr/doc/anami_0003-4398_1998_num_110_224_2604_t1_0536_0000_2.
Garaude, Pauline. Voici Pourquoi Vous Ne Devez Surtout Pas NÉGliger Votre Contrat De Mariage. 19 Oct. 2022, www.journaldunet.com/patrimoine/finances-personnelles/1515007-voici-pourquoi-vous-ne-devez-surtout-pas-negliger-votre-contrat-de-mariage
“Les Liens Sociaux À Paris Au XVII Siècle: Une Analyse Des Contrats De Mariage De 1660, 1665 Et 1670.” www.jstor.org. JSTOR, www.jstor.org/stable/pdf/23612687.pdf.
Sicard, Germain. “La Fin De La Coutume De Toulouse.” https://books.openedition.org/putc, 2000, pp. 441–53. https://doi.org/10.4000/books.putc.12267.
Traité Du Contrat De Mariage Et Des Droits Respectifs Des Époux […] | Tolosana. tolosana.univ-toulouse.fr/fr/notice/022814698.