Si vous allez à Yaoundé, au Cameroun, pour le étudier à l’étranger, vous devez visiter le monument de la reunification. il est un symbole important de l’histoire du Cameroun et une très belle œuvre d’art. il a été construite dans les années 1970 par Mpando Gédéon, Englebert Mveng et Armand Salomon pour commémorer le reunification du Cameroun en 1961. Avant 1961, il y avait deux Cameroun, un Cameroun francophone et un Cameroun anglophone. La raison de cette séparation est l’histoire du colonialism au Cameroun. Aujourd’hui, l’unité que représente le monument est menacée parce que le conflit entre les francophones et les anglophones. Dans ce blog je vais parler sur les différentes aspects artistic dans le monument, l’histoire coloniale du Cameroun, et le conflit courante entre les francophones et les anglophones.
Le monument a beaucoup des différents aspects artistiques. Il est composée d’une structure architecturale et d’une sculpture. La structure architecturale est comme un grand cône composé de béton. Le cône comprend deux spirales qui se rencontrant au sommet. Las spirales représentent la reunification de les deux Cameroun. Le cône a été dessiné par Englebert Mveng et Armand Saloman. A l’intérieur du cône il y a quatre piliers avec des reliefs qui représentent les cultures du Nord, du Sud, de l’Est et de l’Ouest du Cameroun. Les reliefs a été dessiné par Englebert Mveng.
Le autre partie du monument est la sculpture. Elle est composé d’un homme portant une torche et quatre enfants. Elle pèse 53 tonnes et mesure 7 mètres de haut. Elle représente l’unité de la nation. La sculpture a été dessiné par Mpando Gédéon. La structure architectural et la sculpture représentant l’appartenance à une nation qui est unie.
La raison il y a eu une reunification est l’histoire du colonialism au Cameroun. En 1884, le Cameroun devient une colonie allemande. Après la Première Guerre mondiale, le Cameroon est devisé entre les français et les anglais. Il y avait un Cameroon français et un Cameroon anglais. Après l’independence en 1960, les deux Cameroun sont été réunie. Aujourd’hui, il y a un conflit entre les camerounais francophones et les camerounais anglophones. Il est une cicatrice du colonialism.
Le conflit entre les francophones et les anglophones menace l’unité du Cameroun. La crise anglophone a commencé en 2017. Les régions anglophone veulent l’independence parce que la répression d’anglais par le gouvernement francophone. Ce conflit a causé plus de 4000 morts et plus de 712,000 réfugiés. Le conflit est une tragédie et un rappel que l’unité que représente le monument n’est pas parfaite.
Le monument de la reunification représente le croisement entre le local et le global. Il représente une collaboration entre des artistes camerounais et des artistes français. Il représente l’unité du Cameroun contre le colonialisme. Il représente les cicatrices du colonialisme avec le crise anglophone. En conclusion, je recommande que vous visiter le monument de la reunification si vous allez à Yaoundé pour le étudier à l’étranger. Il est un symbole très importante pour l’histoire et unité du Cameroun.
Dans les États-Unis, la plupart des gens pensent que la danse est frivole, pas très importante, et juste pour les gens spécifiques. En revanche, dans les autres pays, la danse est une activité très importante pour toute la communauté, un aspect essentiel de la vie, et c’est le cas pour le Cameroun. Il y a les danses spécifiques pour toutes les occasions, comme le mariage, la naissance et l’enterrement, et chaque région du Cameroun a une façon différente.
Par exemple, les gens bamiléké exécutent le « mangambeu, » où les femmes et les hommes dansent en rond, avec beaucoup de mouvements des hanches. Les hommes jouent les tambours et les autres instruments de percussion. Le mangambeu est pour les cérémonies festifs, comme les mariages.
Il y a aussi la danse qui s’appelle « ben skin », et ce vient des gens bagangte, de l’ouest du Cameroun. La plupart des danseurs sont les femmes, et elles sont pliées en deux. Elles aussi jouent les maracas et les tambours. Maintenant, la musique ben skin est commercialisée d’être populaire dans tout le monde. Toujours dans une société globale, les aspects de la culture sont changés pour les audiences internationales, en général d’être plus comme la culture européenne, qui sera discuté plus loin.
En plus des célébrations, les danses sont aussi utilisées pour exprimer les sentiments, en particulier pour les femmes. Un style plus connu est le « bikutsi, » des gens betis. Les femmes betis font cette danse, où elles chantent et agitent des hochets. Le bikutsi est important pour les femmes comme un mode de communication pour leurs sentiments, souvent leur frustration. Les femmes forment un cercle, et une à la fois une femme vient au centre du cercle et dit sa peine, comme un monologue dans la forme d’une chanson. Les autres femmes donnent leur conseil à la femme au centre. Dans une société domine par les hommes, les femmes utilisent le bikutsi pour la libération de leurs sentiments, et c’est très important pour les jeunes mariées. Avec le temps et la modernisation, les autres influences ont changé bikutsi, particulièrement avec les instruments qui sont utilisé. Par exemple, la rumba congolaise a ajouté la guitare.
Pendant que la danse est une forme d’art expressif pour les gens camerounaises, c’était aussi un outil politique pour les colonisateurs, et maintenant pour le gouvernement. Le Cameroun a été colonisé par l’Allemagne, l’Angleterre et la France. Alors, il existe les influences sur le Cameroun par chaque pays. Les colonisateurs n’ont pas aimé les danses traditionnelles du Cameroun. Ils les ont utilisé comme la preuve que les Africains sont « barbares » et ont besoin de l’aide des Européens. De la même façon que les Européens ont vu l’art africain, telles que leurs petites figurines, comme « primitif, » ils ont pensé le pareil pour la danse. Ils n’ont pas reconnu la valeur parce que toutes les formes d’art ont été comparées à l’art européen comme la référence. Alors, ils ont pensé qui les gens camerounais étaient devenus civilisé quand les Européens ont arrêté les danses. De plus, les missionnaires ont pensé que les danses sont « sataniques » à cause des masques traditionnels, et aussi le manque des vêtements, le mouvement des hanches et la sexualité que les femmes peuvent exprimer. Donc, les costumes des danseurs, encore aujourd’hui, sont influencé par les colonisateurs.
Cependant, la danse aussi était une forme de la révolte contre les colonisateurs. Les gens d’un village ont pu être organisé et rester informé pendant eux. De plus, quelques danses ont préparé les gens pour la bataille, ou ont servi comme une alarme. Finalement, maintenant la chorégraphie est utilisé pour démonstrateur l’horreur qui était la colonisation du Cameroun.
Après l’indépendance, on aurait pensé que la danse va devenir libre pour les gens de faire tout ce qu’ils veulent faire. De plus, le président a créé le Ballet national, un grand geste de son soutien des arts au Cameroun. Mais, malheureusement, ça n’est pas le cas. Le Ballet national est devenu un outil politique pour le gouvernement. Toutes les chorégraphies doivent alignée avec les valeurs du gouvernement parce que le Ballet national est dans le contrôle du gouvernement. De plus, le Ballet national a mélangé beaucoup de styles de mouvement différentes de tout le pays afin de promouvoir le nationalisme. Les danses traditionnelles sont très spécifiques d’une région, mais avec le Ballet national, ils ont créé un seul style camerounais qui est compatible avec une audience internationale. Le gouvernement a amené les danseurs chinoises et américaines afin d’enseigner la danse « moderne, » et d’affiner le mouvement camerounais. De cette façon, les danseurs du Ballet nationale sont devenus des représentations physiques de l’intersection entre le local et le global. C’est la danse camerounaise en origine, mais c’est changé par les influences globales, et plus pour les audiences internationales et les aristocrates du Cameroun. Alors, le but originaire de la danse camerounaise n’est pas là – de rassembler la communauté et célébrer les occasions spéciales – dans le Ballet national. Mais, c’est bon aussi que les audiences internationales peuvent le voir, même si ce n’est pas vraiment authentique, pour qu’ils reconnaissent la valeur de la danse africaine tout seul, pas en comparaison des styles européens.
Cependant, c’est différent dans les villages par opposition aux les villes. Les jeunes qui grandissent dans les villages apprennent les danses traditionnelles parce qu’ils les sont entourés. En revanche, les jeunes urbains, en général, sont moins familiers avec les traditions tribales, et les danses dans les villes sont plus changées par les influences globales.
Pour conclure, il existe beaucoup de façons de mouvement diffèrent au Cameroun, dépendent de la région et l’évent, et c’est très important pour la culture camerounaise. Mais, la danse traditionnelle a été changée par les colonisateurs et aussi par le gouvernement après l’indépendance, afin d’équilibrer le global et le local, et pour promouvoir le nationalisme. Peu à peu, la danse au Cameroun est devenue plus un spectacle qu’une cérémonie culturelle ; mais, dans les villages, la culture traditionnelle est protégée.
Le Cameroun est un pays avec une histoire énorme et beaucoup de diversité culturelle. Pendant des siècles, plus de 250 groupes ethniques avec des cultures riches ont habité au Cameroun, et ils ont développé les manières uniques des expressions de soi. Mais, après que les européens ont colonisé le Cameroun pendant le dix-neuvième siècle, la plupart des Camerounais étaient obligés d’assimiler. Donc, ils ont perdu tant d’aspects de leur culture, comme la religion et la mode. En plus, les missionnaires ont exposé les Camerounais aux vêtements que les européens ont donnés. Par conséquent, plusieurs de camerounais se sont arrêtés à porter les vêtements traditionnels en échange des vêtements occidentaux.
Mais, depuis que le pays a acquis son indépendance en 1960, la mode camerounaise a fait son grand retour. Pour ce projet, j’étais curieuse de savoir comment les Camerounais ont intégré les styles mondiaux et les styles locaux dans la mode. Particulièrement parce que Yaoundé est une ville urbaine et vivante, j’ai décidé de faire des recherches sur les vêtements à Yaoundé et dans tout le Cameroun. J’ai appris que ces dernières années, les Camerounais ont commencé à récupérer leurs styles culturels et intégrer les motifs traditionnels dans leurs vêtements. Auparavant, ils préféraient les vêtements occidentaux, mais maintenant, les styles camerounais sont les plus populaires. J’ai découvert aussi qu’ils mélangent les influences européennes et camerounaises dans leurs habillements populaires. La mode est une représentation très forte du croisement mondial et local dans la culture de Yaoundé.
Avant de discuter des vêtements qui sont portés au Cameroun, je dois souligner le fait qu’il n’existe pas seulement une définition des “vêtements camerounais traditionnels.” Le Cameroun a près de 300 groupes ethniques, chacun avec des cultures et des vêtements traditionnels différents. Un groupe du nord du Cameroun et un groupe du sud, ils ont des styles culturels très différents. Par exemple, le tissu tissé ndop vient d’ouest du pays, depuis l’obom est fait en écorce et il provient des gens Fang Beti dans le centre, sud et est de Cameroun. C’est important qu’on ne suppose pas que toutes les cultures camerounaises sont les mêmes. Plutôt, on doit reconnaître la diversité énorme des habits culturels au Cameroun.
Pour les Camerounais, quand ils portent des vêtements traditionnels, c’est une façon de récupérer leur culture et d’exprimer la libération. À cause de la colonisation, tant des Camerounais ont perdu les pièces de leurs cultures comme la mode parce qu’ils étaient forcés d’assimiler. Donc, les vêtements ont plus d’une nécessité pour les Camerounais. De plus, ils ont une représentation de sa culture et de ses valeurs. Surtout, les femmes et les jeunes portent plus de la mode camerounaise. Quand elles portent les vêtements traditionnels, les femmes disent qu’elles sentent un sentiment d’appartenance, d’identité et de confiance en soi.
Les Camerounais mélangent les styles nationaux et mondiaux et obtiennent ces sentiments de plusieurs façons. Quelques gens portent les vêtements qui ressemblent les chemises et les jeans aux États-Unis, pendant les autres portent les tenues camerounaises totalement. Toutefois, la plupart des tenues sont entre les deux, avec quelques éléments camerounais et quelques éléments occidentaux. Par exemple, les styles qui utilisent le tissu camerounais et des coupes traditionnelles et modernes sont très populaires. Autrement, les gens peuvent porter une chemise européenne et une jupe camerounaise, donc les influences mondiales sont situées dans des endroits différents sur leurs corps. Les Camerounais peuvent exprimer leur créativité par la mode, donc ils choisissent de nombreuses façons pour intégrer les styles variés.
Depuis que les stylistes camerounais ont commencé à intégrer les traditions multiculturelles sur leurs vêtements, des tendances nouvelles ont émergé. Par exemple, un style qui est nommé “afritude” a été développé. Afritude, c’est un hybride de tant de styles traditionnels et modernes, des modes camerounais et européens. Un autre exemple est le mot camfranglais “tchombe,” qui décrit un nouveau genre de style urbain, qui fusionne la mode camerounaise et la mode de l’ouest. Le tchombe et l’afritude font plus d’amalgame Cameroun avec le reste du monde. Par ailleurs, ils mélangent les styles de tous les pays mutuellement.
Notamment, les stylistes ont récupéré l’atoghu tissu dans la mode moderne. Le tissu atoghu, il tire son origine du Nord-Ouest du Cameroun. Traditionnellement, les notables portaient l’atoghu pour des grandes fêtes, mais maintenant, il devient chic pour la vie quotidienne à Yaoundé. Les stylistes ont modernisé atoghu pour être plus pratique. Par exemple, ils ont remplacé le velours avec des tissus plus légers et ils utilisent des tenues stylées à la place des grandes tuniques. La camerounaise Kibonen Nfi confectionne des vêtements avec atoghu pour un prix abordable. Ses styles utilisent le tissu camerounais et des coupes traditionnelles et modernes. Elle a des boutiques dans tant de villes, y compris Yaoundé et London. Claude Fashion Traditional Designs est une autre boutique populaire à Yaoundé qui vend des vêtements atoghu aux modèles et aux jeunes chics.
En plus d’apporter la monde au Cameroun avec la mode, les stylistes prennent le Cameroun au reste du monde aussi. Imane Ayissi est un homme camerounais et le premier styliste d’Afrique inscrit au calendrier officiel de la haute couture. Dans ses stylismes, il utilise des images et des couleurs vives comme la mode panafricaine et les coupes plus européennes. D’ailleurs, en hommage à son patrimoine, il donne les titres de Cameroun sur ses collections. Dans une interview, il a exprimé qu’avec sa mode, “j’aspire à montrer la pluralité et la richesse des savoir-faire textiles africains, tout en créditant leur origine, dans une démarche de partage.” Ayissi montre les cultures camerounaises à l’Europe avec le tchombe et la haute couture. Les autres stylistes répandent les styles camerounais au niveau international pareillement: ces dernières années, le couple Obama et Stevie Wonder portent les styles Atoghu.
Si vous visitez ou étudiez au Cameroun, vous pouvez aussi porter la mode camerounaise. Essayez les styles du Cameroun et les styles de votre pays. Avez-vous l’esprit ouvert avec les vêtements, et vous obtiendrez une reconnaissance meilleure de la culture et l’histoire du Cameroun.
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Dansoko Touré, Katia. “Les Ambassadeurs Du Style – Cameroun: Kibonen Nfi, La Marque Du Toghu.” Jeune Afrique, 5 Jan. 2018, www.jeuneafrique.com/mag/502390/culture/les-ambassadeurs-du-style-cameroun-kibonen-nfi-la-marque-du-toghu/.
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LA DIVERSITÉ DE LA RELIGION AU CAMEROUN : UN MÉLANGE DU GLOBAL ET DU LOCAL
Georgia Mantione
LA RÉPARTITION DES RELIGIONS AU CAMEROUN
Pour combattre les stéréotypes sur la religion, il faut que nous discutions de la répartition des religions au Cameroun au moment présent. Cette répartition réflète une histoire de colonialisme parce qu’il y a deux religions principales au Cameroun, le christianisme et l’islam. 70 % de la population est chrétien.ne. Le christianisme est séparé dans deux groupes dominants, les catholiques romains (38 ,4 %) et les protestants (26, 3%). Ces formes de christianisme sont le résultat de la présence des Français au Cameroun. Les chrétiens sont concentrés dans les régions du sud et de l’ouest. C’est parce que les forces françaises et britanniques ont contrôlé le sud du Cameroun quand ils ont colonisé le pays. L’islam est présent dans le nord du Cameroun et 21 % de la population est musulmane. 27% des musulmanes s’identifient comme sunnites et 3% s’identifient comme chiites. Le reste des musulmans au Cameroun ne s’identifient pas avec un groupe.
L’HISTOIRE DE LA RELIGION
Pour comprendre la situation de l’église au Cameroun on doit avoir un contexte historique. Avant que Cameroun soit une colonie, la situation religieuse était vraiment diffèrente de maintenant. Il n’y avait pas de religion dominante, plutôt il y avait les religions locales des tribus du Cameroun. Le Cameroun fut colonisé par l’Allemagne jusqu’à la première guerre mondiale, puis il est devenu une colonie de la France et du Royaume-Uni. C’est l’origine du christianisme au Cameroun. Quand les forces sont entrées, elles ont pris le contrôle du sud et de l’ouest. En plus des forces militaire et politique, il y a les forces religieuses qui sont les missionnaires et qui ont introduit le christianisme aux Camerounais.es. La conversion au christianisme était un résultat de ces missionnaires et d’une prise de pouvoir. Les Camerounais reconnaissaient que s’ils étaient associés avec les religions européennes, ils acquerraient à la reconnaissance par les colonisateurs. Donc la majorité des Camerounais du sud se sont convertis au christianisme. Les origines de l’islam sont un résultat des voies soudano-sahéliennes du Nord qui étaient employées pour le commerce. Quand les marchands ambulants ont voyagé au Cameroun, ils ont aussi introduit l’islam au Nord.
LES ATTITUDES DES RELIGIONS:
Les Camerounais ont beaucoup d’attitudes envers la conversion des religions dans leur pays. A cause du fait que l’islam existait depuis plus longtemps au Cameroun que le christianisme, il y avait une tension entre les Camerounais musulmans et chrétiens. Cette tension est moins forte maintenant mais elle demeure. En 1855, après que les Allemands ont colonisé le Cameroun, les chrétiens, qui étaient devenus très courants, ont affronté l’ostracisme de la société. Les musulmans n’ont pas voulu la présence des chrétiens dans leur pays. La tension aujourd’hui n’est pas plus sérieuse mais le pays est encore divisé entre l’islam dans le nord et le christianisme dans le sud. Yaoundé est devenu un centre de missions chrétiennes. Les jeunes Camerounais sont les plus impliqués avec le christianisme et donc à Yaoundé il y a beaucoup de jeunes qui essayent de convertir leurs familles au christianisme. Aujourd’hui les attitudes sont plus inclusives pour la diversité de religion au Cameroun mais il reste un peu de tension qui a commencé avec le colonialisme.
UN MÉLANGE DES RELIGIONS:
Maintenant il est important de discuter de l’inclusion de la religion dans la vie des Camerounais. La religion au Cameroun aujourd’hui n’est pas juste le christianisme et l’islam. Après la fin du colonialisme, les Camerounais ont tenté de mélanger leur nouvelle religion globale avec leur religion locale et païenne. C’est une perspective qui défie l’idée que la religion au Cameroun est juste les religions d’influence étrangère. En réalité, la religion au Cameroun est un mélange de beaucoup de religions. A cause de cela, la religion est très variée. Quelques chrétiens pratiquent les rituels païens comme l’exorcisme qui représente la spiritualité native des tribus du Cameroun. Si vous choisissez d’étudier à Yaoundé, vous ressentirez le christianisme camerounais. Ils sont un élément global qui reflète la culture locale du Cameroun et montre une histoire imprégnée du colonialisme.