Une ville de la taille « humaine »

Description

Peu après m’être installée à Toulouse, je me suis inscrite pour un abonnement à VélôToulouse, un réseau des vélos communs avec plus de 250 stations éparpillées dans la ville. Ce service est certainement une grande faveur pour ce qui veulent faire de l’exercice au même temps de la navette. Un après-midi après mes cours à l’école, quand j’étais en train de faire du vélo pour rentrer chez moi, j’ai vu une bicyclette spéciale : une bicyclette de la poste. Je n’avais jamais vu une livraison à vélo auparavant dans ma vie !

Voilà le vélo du facteur en jaune et noir avec un panier à l’avant pour des lettres et des sacs à l’arrière pour des plus grands colis. Sous le siège, il y avait une boîte avec la couleur d’argent et je croyais qu’elle ait été une batterie. Alors, c’était un vélo électrique bien équipée pour le travail du facteur. Mais pourquoi utiliser le vélo pour la livraison ?

Interprétation

Au début, je croyais que l’utilisation du vélo pour la livraison ait été un acte écologique pour l’environnement. Mais, ce vélo était électrique, c’est-à-dire qu’il consommait de l’énergie électrique quand même. De plus, est-ce qu’il est vraiment efficace pour délivrer autant de colis ? Alors, pour trouver la vraie raison, j’avais une idée un peu ridicule que je dusse « chasser » un facteur et lui en demander. C’était une idée folle parce que les cyclistes étaient vraiment à la hauteur de la réputation du Tour de France. Néanmoins, avec une bonne chance incroyable, j’ai « coincé » une factrice à vélo quand nous nous arrêtions à côté du chemin de fer en attendant le train passer.

J’ai ouvert la conversation en expliquant qu’aux États-Unis, toutes les livraisons sont faites avec des camions de plusieurs tailles mais jamais avec des vélos. Elle était très étonnée parce que pour elle c’était toujours l’inverse : sauf pour le stockage des hypermarchés ou des boutiques, toutes les distributions de colis étaient en vélo ou rarement en moto. Elle m’a expliqué qu’il y avait au moins un bureau de poste dans chaque quartier et la proximité entre la poste et chacune maison permettait la livraison à vélo. C’était aussi plus confortable pour ne pas se garer chaque fois elle arrêtait. Elle pouvait facilement mettre son vélo sur le trottoir dans quelques minutes pour placer une lettre ou un colis dans une boîte de lettre. Avant de continuer son trajet, elle a conclu : « On utilise le vélo ici parce qu’il est pratique ».

Évaluation

Quand j’ai vu un homme qui faisait la livraison de UberEat à vélo à Toulouse, je souvenais soudainement des mots de Monsieur Créma, notre élégant guide touristique. Il m’a dit que la ville rose est une ville de la taille « humaine », c’est-à-dire qu’ici, on peut se bouger facilement avec son moyen naturel – ses pieds, ou ses jambes en faisant le vélo. En comparaison avec Carlisle, ou avec les États-Unis en générale, Toulouse est plus petite et chaque quartier est concentré avec beaucoup de marchés ou de boutiques. Cette caractéristique de Toulouse, en combinaison avec un réseau répandu de transportation publique, rend des voitures plus ou moins inutiles. Je me souvenais aussi la livraison à Hanoï, chez moi. La livraison là-bas sont souvent faites à moto, parce que les rues sont petites et empêtrées comme une toile d’araignée. La voiture est peut-être un avancement incroyable de l’être-humain mais pour les villes de la taille « humaine », on peut faire confiance à ses propres jambes.

 

Note du blog  : 16/20
Bonne correction Kat… je vais le partager avec M. Créma!
Un sujet fascinant et riche de vos propres recherches en conversation et en photo!

 

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