L’Importance d’engagement du peuple

Depuis long temps, la politique est devenue une partie si essentielle de la vie des Français que la manifestation peut être normalisée comme une activité quoitidienne. C’ét-à-dire que les citoyens français participent activement dans la vie politique de leur pays, et je crois que cet engagement enthousiaste est un résultat d’un encouragement du gouvernement envers le peuple. Une preuve visible de cet encouragement est la section Le Parlement des Enfants.

Vignette thème 2019 2020
Le thèm pour le Parlement des Enfants en 2020

Dédié aux citoyens à l’avenir, Le Parlement des Enfants donne une opportunité aux élèves pour comprendre les étapes différentes cernant une loi avant qu’elle soit adoptée, et également une opportunité pour apprendre de travailler ensemble avec les camarades et les enseignants. Chaque année, l’Assemblée nationale choisit un thème et tous les classes CM2 des écoles publiques et privées peuvent soumettre leurs candidatures. Après avoir lu les applications, les directeurs académiques des services de l’éducation nationale choisissent un certain nombre des classes et celles sélectionnées commencent de rédiger une proposition de loi sur laquelle elles feront le débat. Le fruit de leur travail sera évalué par les jurys académiques locales et si la loi est assez bonne, elle sera envoyée au jury national. Les quatre finalistes parmi tous les participants auront l’honneur d’être invité à l’Assemblée nationale. Pour moi, ce program est une très bonne idée de capturer l’intérêt des enfants à la politique qui est souvent si complexe qu’on ne comprend pas complètement des projets proposés par les politiciens, comme le reforme de retraite. Donc, si on commence de s’engager dans la politique depuis sa jeunesse, pas nécessairement comme une profession mais comme une partie essentielle de sa vie, on gagnera la chance de devenir un citoyen mieux informé et en conséquence, plus responsable envers la société à l’avenir.

Un autre élément montré par le site de l’Assemblée nationale français est l’officialité et la transparence qui se manifestent dans l’émission en directe des séances des questions ou des conférences des commissions. Cette mesure est également adoptée par plusieurs assemblées des autres pays, mais sur le site web de celle de la France (française), l’émission en directe, accompagnée par un agenda détaillé, est la première chose qu’on voit, c’est-à-dire qu’elle est vraiment visible et notable. Au Vietnam, parce que la télévision est plus accessible à la majorité de la population, toutes les séances sont diffusées sur les chaînes nationales. En même temps, aux États-Unis, parce qu’il n’y a pas une chaîne officielle nationale, ce sont souvent les chaînes privées qui délivrent la nouvelle avec leurs propres commentaires. Sur le site web américain, une archive des conférences est disponible mais moins visible que celle de la France (française). Je crois que la visibilité et l’unité des nouvelles officielles aident beaucoup le public dans leur engagement dans le travail de l’Assemblée.

Note du blog : 15.5/20

Deux retours très pertinents sur les initiatives du fonctionnement du gouvernement en France.

Note moyenne des blogs : 15, 45

Où sommes-nous dans le défilé du temps?

Après avoir visité le site web du Centre Pompidou et avoir entendu à quelques vidéos sur leurs expositions, j’ai trouvé que l’exposition « Faire son temps » de l’artiste plasticien français Christian Boltanski m’intéresse le plus. Le thème général de ce projet est la conception de la vie de l’être-humain. L’artiste ne raconte pas l’histoire d’aucune personne spécifique dans une ordre chronologique, mais son œuvre ressemble plus un repas mélangé des présentations idiosyncrasiques. Particulièrement, la cité de boîte métal ancienne est le plus significatif pour moi. Des boîtes sont évidemment vieilles avec des taches de rouille, mais elles sont assez familières comme des boîtes de biscuits dans chaque maison française. Sur chaque boîte est une petite photo d’une personne arbitraire, peut-être pour donner une impression de leurs urnes, alors au même temps ces boîtes rappellent l’enfance et la morte. Leur arrangement est également spécial : le curateur les a empilés comme des gratte-ciels qui donne à cette œuvre une ambiance d’une cité rouillée. Pour moi, l’œuvre provoque chez moi un paradoxe : une cité moderne avec des gratte-ciels, un avancement de la technologie, mais rouillée comme une attraction historique ancienne ; une cité si peuplée avec mille de personne mais rien de vivacité. Peut-être cette œuvre représente notre futur. Nous pensons souvent que notre ère soit si avancé, si moderne, si florissante mais un jour, nous serons certainement les anciennes pour quelqu’un, si l’être-humain existe encore quand ce jour arrive. J’aime bien les deux juxtapositions montrées par cette cité de boîte aussi, entre l’enfance et la mort, et entre cette cité et la ville de Paris dehors de la salle d’expositions, toujours visible derrière de cette œuvre à travers de la vitrine claire. Les juxtapositions suscitent chez public un sentiment troublé : cette ville de boîte, c’est notre vie ou pas ? Serons-nous éventuellement oubliés dans le défilé de la vie? Si oui, comment devrions-nous vivre? Personne ne sait mais les questions persistent encore dans l’air.

Une autre œuvre qui capture mon attention s’appelle « Le Simulateur » par l’artiste française Dora Maar. Cette œuvre est une photo réalisée par arranger des images séparées et reprendre une photo d’elles. Parce que l’arrangement des images est bien fait, la photo semble complètement crédible, et ce caractère est exactement l’élément qui fait « Le Simulateur » effrayant. Je sais bien que cette œuvre appartient à la classe surréaliste mais le point de vue inverse, avec le contraire entre la

Exposure: in 2019 | Dora maar, Art, Surrealist photographers
Le Simulateur par Dora Maar

rectitude des colons et la courbure du plafond en bas de la photo est vraiment bizarre. Le seul personnage dans cette œuvre, le garçon avec le corps plié semble un peu comme possédé aussi et il ajoute plus d’horreur à la photo. Cela n’est pas nécessairement l’intention de l’artiste mais ce sentiment fait une marque certaine sur « Le Simulateur » comme quelque chose qu’on ne peut pas facilement oublier.

Note du blog : 15,5

Une excellente écrit sur vos impressions et ressenti par rapport aux oeuvres diverses.

Attention! Les Piétons!

Description

Chez Dickinson, tous les bâtiments académiques sont dans un rayon de 10 minutes de marche des résidences. Alors, quand je suis arrivée à Toulouse, la navette d’une demi-heure à l’école était un vrai défi pour moi au début du semestre. Une fois, j’ai mal calculé le trajet qui a engendré à me précipiter de l’arrêt du métro Compans Caffarelli. Au Compans, il y avait souvent beaucoup de voitures alors le feu de piétons était rouge plus souvent que vert. En me dépêchant, j’ai vu un feu rouge et je me suis dit : « Quelle malchance ! ». Il y avait peu de voiture à ce moment et je me suis arrêtée à côté du passage piéton. À ma grande surprise, à l’autre côté, une femme âgée a calmement traversé même que le feu piéton ait été rouge. Elle l’a fait si calmement, et personne n’a réagi à sa traversée que je me suis demandée si elle était impressionnante ou illégale.

Interprétation

La France, avec la longueur de son historique, a développé un système signifiant de loi officielle côte à côte avec un autre système moins visible de comportement. Ce jour-là, j’ai appris qu’il n’est pas nécessaire que les deux coïncident, ou au moins pour certains Français. Après cet incident, je prêtais plus d’attention aux autres au passage piéton, et j’ai observé beaucoup plus de personnes traversant quand le feu de piétons était rouge. On l’a fait seulement après avoir regardé attentivement qu’il n’y avait aucune voiture, alors ce n’est pas un acte dangereux. En tant qu’étudiante, je comprends bien le sentiment impétueux quand la vie est trop chargée. De plus, parce qu’il y a des autres qui font la même chose, bien qu’elle soit illégale, cette action devient normalisée et collectivement acceptée.

Une fois je suis sortie avec une amie toulousaine à la place du Capitol et nous avons rencontré une manifestation totalement par hasard. En réponse à ma surprise de la manifestation (c’était ma première fois de voir une manifestation tellement peuplée), elle m’a dit « Je suis désolée. Les Français ne sont pas les plus disciplinés. » Cette phrase m’a ramené aux leçons de l’histoire française qui est connue pour des révolutions et également pour des monarchies dont les règles ont enflammé la colère du peuple. La ligne entre le passage illicite des piétons et les révolutions est vraiment vague, mais je parle de cette petite expérience pour illustrer que respecter la loi n’est pas toujours priorité chez Français. (Mon amie toulousaine, elle traverse quand le feu est rouge aussi.)

Prêtz attention que le feu de piétons est rouge…
…et on traverse en vélo quand même.

 

 

 

 

 

 

 

Évaluation

Je souviens que chez Dickinson et à Carlisle, les piétons attendent toujours pour le feu vert, ou s’il n’y a pas de feu, on attend pour un signal du conducteur de voiture avant de traverser. À Hanoï, on traverse n’importe où mais on regarde et on adapte à la circulation quand on le fait, comme il y ait un accord non écrit entre les piétons et les conducteurs de tous les véhicules. Ce n’est pas pour dire que les Toulousains ou les Hanoïens sont indisciplinés, mais il montre que chaque région a sa propre bizarrerie dans le système de comportement. Je crois qu’il y a une motivation de l’aspect pratique dans cette histoire de traversée de piétons aussi. Aux États-Unis, les voitures sont les plus présentes dans la circulation, et on conduit très vite alors les piétons s’arrêtent pour se protéger. Selon un Américain parmi mes amis, les piétons respectent la loi aussi pour gagner sa faveur en cas d’un accident.  En France, les piétons et les bicyclettes sont la majorité. Les piétons vietnamiens sont pareils : ils ne pensent jamais si loin en avant au cas d’un accident parce qu’ils évitent déjà cette possibilité en traversent seulement quand il n’y a aucune voiture. Cette flexibilité dans le comportent est surtout pratique. Avant d’arriver en France, j’avais une attente que la France ressemblerait les États-Unis plus que mon pays parce qu’ils partagent des valeurs politiques. Mais en termes de la culture, je suis contente que je peux me comporter plus comme chez moi ici à Toulouse.

Note finale : 16,5/20

Excellente immersion dans les trois cultures et ce phénomène de coexistence harmonieuse entre la ‘loi’ et les tolérances locales.

Une ville de la taille « humaine »

Description

Peu après m’être installée à Toulouse, je me suis inscrite pour un abonnement à VélôToulouse, un réseau des vélos communs avec plus de 250 stations éparpillées dans la ville. Ce service est certainement une grande faveur pour ce qui veulent faire de l’exercice au même temps de la navette. Un après-midi après mes cours à l’école, quand j’étais en train de faire du vélo pour rentrer chez moi, j’ai vu une bicyclette spéciale : une bicyclette de la poste. Je n’avais jamais vu une livraison à vélo auparavant dans ma vie !

Voilà le vélo du facteur en jaune et noir avec un panier à l’avant pour des lettres et des sacs à l’arrière pour des plus grands colis. Sous le siège, il y avait une boîte avec la couleur d’argent et je croyais qu’elle ait été une batterie. Alors, c’était un vélo électrique bien équipée pour le travail du facteur. Mais pourquoi utiliser le vélo pour la livraison ?

Interprétation

Au début, je croyais que l’utilisation du vélo pour la livraison ait été un acte écologique pour l’environnement. Mais, ce vélo était électrique, c’est-à-dire qu’il consommait de l’énergie électrique quand même. De plus, est-ce qu’il est vraiment efficace pour délivrer autant de colis ? Alors, pour trouver la vraie raison, j’avais une idée un peu ridicule que je dusse « chasser » un facteur et lui en demander. C’était une idée folle parce que les cyclistes étaient vraiment à la hauteur de la réputation du Tour de France. Néanmoins, avec une bonne chance incroyable, j’ai « coincé » une factrice à vélo quand nous nous arrêtions à côté du chemin de fer en attendant le train passer.

J’ai ouvert la conversation en expliquant qu’aux États-Unis, toutes les livraisons sont faites avec des camions de plusieurs tailles mais jamais avec des vélos. Elle était très étonnée parce que pour elle c’était toujours l’inverse : sauf pour le stockage des hypermarchés ou des boutiques, toutes les distributions de colis étaient en vélo ou rarement en moto. Elle m’a expliqué qu’il y avait au moins un bureau de poste dans chaque quartier et la proximité entre la poste et chacune maison permettait la livraison à vélo. C’était aussi plus confortable pour ne pas se garer chaque fois elle arrêtait. Elle pouvait facilement mettre son vélo sur le trottoir dans quelques minutes pour placer une lettre ou un colis dans une boîte de lettre. Avant de continuer son trajet, elle a conclu : « On utilise le vélo ici parce qu’il est pratique ».

Évaluation

Quand j’ai vu un homme qui faisait la livraison de UberEat à vélo à Toulouse, je souvenais soudainement des mots de Monsieur Créma, notre élégant guide touristique. Il m’a dit que la ville rose est une ville de la taille « humaine », c’est-à-dire qu’ici, on peut se bouger facilement avec son moyen naturel – ses pieds, ou ses jambes en faisant le vélo. En comparaison avec Carlisle, ou avec les États-Unis en générale, Toulouse est plus petite et chaque quartier est concentré avec beaucoup de marchés ou de boutiques. Cette caractéristique de Toulouse, en combinaison avec un réseau répandu de transportation publique, rend des voitures plus ou moins inutiles. Je me souvenais aussi la livraison à Hanoï, chez moi. La livraison là-bas sont souvent faites à moto, parce que les rues sont petites et empêtrées comme une toile d’araignée. La voiture est peut-être un avancement incroyable de l’être-humain mais pour les villes de la taille « humaine », on peut faire confiance à ses propres jambes.

 

Note du blog  : 16/20
Bonne correction Kat… je vais le partager avec M. Créma!
Un sujet fascinant et riche de vos propres recherches en conversation et en photo!

 

Avec un menton levé

« La tête dans son téléphone,
Sans écouteurs, on la crorait folle » _ Défiler, Stormae
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Quand est-la dernière fois que vous avez vu le ciel? Peut-être juste hier soir quand vous avez cherché pour les étoiles. Mais quand est-la dernière fois que votre regard a croisé un balcon où des petites fleurs tournent vers le soleil, la fenêtre demi-ouverte? J’espère qu’il ne vous coûtera pas beaucoup de temps pour trouver cette image du balcon arbitraire, parce que si non, vous avez seulement cherché mais vous n’avez point regardé.

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Quand j’étais à l’école primaire, tous les élèves faisaient une sieste dans la salle de classe. Ma place était à côté la fenêtre, et quand le sommeil n’est pas encore arrivé, mon regard a été fixé sur les arbres à la cour de l’école. Dans mes yeux, des feuilles vertes vivaient leurs propres vies, dansant dans le vent et le soleil du midi. Parfois, parmi milliers de feuilles, j’ai trouvé l’image d’un éléphant; d’autres fois, un chat, une maison, une chaussure et milliers plus de choses. Maintenant quand je fais une sieste, le sommeil arrive bientôt: peut-être il sait que des petites gouttes d’énergie que j’essaie de saisir sont si cruciales pour l’après-midi à venir. Des feuilles dansent encore à midi, mais sans mon regard.
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La visite à l’exposition « Nous Ne Savions Pas Ce Que Vos Yeux Regardaient » m’a touché au cœur, comme si des années de mon enfance défilaient avant moi. Marchant pas à pas dans cette exposition, je m’e suis démandée encore et encore « Est-ce que je regarde vraiment la vie avec mes yeux? Ou est-ce que je seulement cherche pour ce que je veux? La petite fille qui regardait des feuilles, où est-elle allée?». Je m’e suis trouvée dans ce tableau dans lequel le seul être-humain ne voit que son portable, même que le ciel bleu, la forêt verte, les rochers gros et la rivière vive, tous sont là devant son nez. Comme lui, j’ai marché sur les trottoirs de Toulouse avec mon portable qui me dirige le plus court chemin pour rentrer chez moi ou pour aller à l’école. Encore pire, je prenais souvent le métro, entrant un monde des insects qui ne connaissent pas du soleil! Entre les deux endroits, j’ai facilement dépassé milliers de petites merveilles sans voir. Comme ça, j’ai vu presque à rien de la vraie Toulouse, la version d’elle que les touristes connaissent pas, une version plus simple que la Basilique Saint-Sernin ou la Place du Capitol. Je n’ai pas vraiment vu la Toulouse de la vie quotidienne, dont la grandeur ne manifeste pas seulement dans les briques rouges éclatants dans le soleil, mais aussi dans les détails sophistiqués des balcons qui accompagnent des briques.
Et depuis, j’ai commencé à lever mon menton.
Note ; 16/20
Bravo, Kat pour ce chef d’oeuvre! Est-ce vous serez d’accord que puisse le partager avec les collègues du département?

Mon réveil du week-end: le recyclage de verre à Toulouse

Description

La première semaine à Toulouse, après de nombreuses orientations et expérimentations des cours, j’avais vraiment d’attente pour une grasse matinée sur le week-end. Néanmoins, le samedi matin envers 8h, j’ai été réveillée par le bruit des verres cassés. Toute de suite, j’avais peur que mon hôtesse ait laissé tomber un verre et se soit blessée. Je suis rapidement descendue à la salle de cuisine et je n’ai trouvé personne. Le bruit des verres cassés continuait, et après avoir entendu plus attentivement, je croyais qu’il vînt à l’extérieure de la maison. Alors, j’ai suivi le bruit jusqu’au coin de ma rue, et là, j’ai trouvé une image si bizarre: une dame âgée en train de jeter plusieurs bouteilles du vin dans un contenant gris plus grand que ma penderie! Après qu’elle est partie, je me suis approché au contenant. À la tête de ce contenant, il y a une petite fiche avec des catégories des choses permises au-dedans et avec l’instruction de les déposer. J’ai complètement « sacrifié » pour apprendre une chose si nouvelle pour moi: le recyclage de verre à Toulouse!
(Dépôt des verres au marché Victor Hugo avec des petits contenants)

Inteprétation

Pendant mes trois ans au Dickinson, avec l’enthousiaasme de l’école pour la protection de l’environnement j’ai bien appris la catégorisation et le recyclage des déchets. Mais au Dickinson, et à Carlisle en général, on jette toutes sortes des déchets recycables, y compris des verres, ensemble dans une boîte verte en plastique, et on la met devant sa maison. Les déchets sont donc collectés dans la nuit ou tôt le matin par un camion. Mais dans mon quartier à Toulouse, les verres sont déposés dans des contenants spécifiques et d’autres déchets recyclables sont collectés des poubelles de chaque maison. « Pourquoi est-ce que le verre est séparé parmi des déchets recyclable? », ai-je démandé à mon hôtesse pendant un dîner. D’abord, elle m’a répondu qu’elle ne savait pas donc j’ai essayé de deviner une raison qui nous a bien rigolé: parce que les Français boivent beaucoup de vin! Curieuse encore, j’ai commencé de payer plus d’attention du recyclage à Toulouse pour trouver la vraie raison. Il s’avère qu’il y a également un recyclage séparé pour les emballages et les papiers avec son propre contenant en gris et bleu, mais les contenants en gris et vert sont plus dominants. Pendant mon voyage à Málaga en Espagne, j’ai vu au moins 4 contenants différents pour des déchets recyclables, y compris un pour le verre, un pour le plastique, un pour le papier et un pour de l’huile utilisée! Après, j’ai discuté le phénomène avec un étudiant qui vient d’Allemagne, le pays réputé pour son excellente valorisation des gaspillages. Finalement, il m’a donné un aperçu raisonnable: c’est pour garantir un travail sécuritaire et pour accélérer le processus au tri des déchets. C’est-à-dire que des ouvriers aux installations de recyclage ne doivent ni reclasser des gaspillages ni affronter le risque du verre cassé, qui peut causer des entailles graves.

Évaluation

Dans mon opinion, ce système français de valorisation des déchets exige beaucoup d’effort collectif des habitants et de l’administration locale quand-même. L’administration locale fournit un service de recyclage gratuit avec des contenants spécipiques et elle fait confiance aux citoyens de classer proprement leur déchets. À l’autre côté, des habitants doivent prendre du temps pour aller aux contenants et déposer leurs verres en croyant que l’installation des gaspillages fait son travail correctement et protéger l’environnement des habitants. C’est différent qu’aux États-Unis, où un tel service est payant et fourni par les entreprises privées qui retiennent l’attention des habitants – les « Dieus » – en promettant la convenance de la collection des déchets recyclable à la porte de la maison. En général, je crois que le système français est meilleure pour encourager le recyclage et alors, la conscience de l’environnement. Mais, si on s’écarte de ce système, qui est basé sur la confiance des deux côtés, ou on consomme plus à cause de ce système, il fera plus de dommage à la Terre que d’avantage. Néanmoins, ce système est un symbole positif de la conscience des Français, ou des Européens en général, envers l’environnement. Le seule désavantage est le bruit, mais c’est un petit prix pour un grand profit collectif.

Note avant la correction : 15,5/20

Un très bon sujet, bien recherché et avec de l’humour! Saviez vous qu’il est interdit de faire le recyclage trop tôt le matin? La vidéo est aussi bien efficace pour illustrer votre sujet.

 

On goûte: L’expérience au cinéma français

Description

Je n’étais jamais une cinéphile avant d’arriver à Toulouse, mais pour améliorer mon français, particulièrement en écoutant la langue, j’ai décidé d’explorer la culture française par le septième art. Avec la suggestion de mon hôtesse, je suis allée au cinéma qui s’appelle ABC situé à proximité à l’arrêt du métro Jean d’Arc. Après que j’ai acheté mon premier billet, le guichetier ne m’a pas demandé quel siège je préférais, et j’ai aussi oublié de lui le questionner. Le jour de la séance, quand j’y suis arrivée, il y avais déjà 40 ou 50 personnes dans la salle d’attente au rez-des-chaussée du cinéma. À peu près 5 minutes avant la séance, le guichetier a retiré la colonne à l’entrée de l’escalier et nous nous sommes écoulés toute de suite à la salle. À la fin de la queue, en entrant la salle, j’ai trouvé que la plupart des sièges déjà occupés. Je me suis dépêchée à l’arrière et me suis assise rapidement à un siège vide alors que la lumière était éteinte. Pendant les 100 minutes suivantes, je suis restée curieuse sur ce jeu de la disposition des places au cinéma français. 

Interprétation

À la fin du film, j’ai réfléchi sur cette petite expérience étonnante pendant le générique du film. La lumière était encore éteinte, et personne n’est sorti alors j’avais quelques minutes pour démêler cette « mystère ». Pourquoi est-ce que le guichetier ne m’avait pas demandé de choisir un siège? S’il m’avait démandé, j’aurais peut-être eu un meilleur angle de vue. Une explication possible est la taille du cinéma. Parce que la salle est petite de même que le cinéma, c’est-à-dire qu’il n’y a pas beaucoup de gens qui travaillent ici, cela ne vaut pas la peine d’organiser des placements avant la séance. De plus, pourquoi est-ce que tout le public doit attendre ensemble au pied à l’escalier? Dans des cinémas américains, on peut toujours entrer la salle, individuellement, avant la séance avec son billet et attendre pour le film là-bas. Pour cette question, je n’en avais aucune idée. Plus tôt, j’ai posé des questions au guichetier. Il m’a expliqué que le cinéma suit le principe « premier arrivé, premier servi », c’est-à-dire que l’avantage des choix appartient à ceux qui arrivent le plus tôt au cinéma, pas ceux qui achètent les billets le plus tôt. De plus, la période de l’attente permet au public de voir des fiches pour des autres films ou des activités culturelles à Toulouse sur le comptoir. Quand j’ai raconté cette histoire à mon hôtesse, elle m’a dit qu’également, plus on attend pour le film, mieux on l’apprécie.

Évaluation

Quand mon hôtesse m’a introduit ce cinéma la première fois, elle m’a averti qu’il est un peu spécial et le public qu’il accueille est également différent de ceux qui vont aux grands cinémas. Au cinéma ABC, chaque film est considéré comme une œuvre d’art, ou dans mon opinion, comme un plat raffiné au restaurant. Avant que le plat est servi, la faim grandi. Dans la période d’attente, on se vide l’esprit pour tirer le meilleur d’art, et dans la connaissance d’une expérience partagée, on respect les autres cinéphiles en attendant patiemment. Dans la salle, on ne consomme pas le film – on goûte. À cause de cette attitude, on ne mange pas du tout pendant le film – pourquoi consommer autre chose que l’œuvre devant nous? Pour la même raison, on reste attentive jusqu’à la fin du générique en tant qu’un symbole d’appréciation du travail de l’équipe du film. Cette expérience du cinéma m’a montré qu’il y a un art de savourer le septième art, caché et réservé aux petits cinémas comme ABC.
Note du blog :  15,5/20