Démolies le binaire de genre en France

Description:

Le 8 mars, le monde a célébré le jour des droits de la femme. En France et plusieurs pays autour du monde, c’était un jour de célébration des femmes mais aussi un jour pour manifester contre la discrimination et la patriarchie généralisée. En Toulouse il y avait une marche pour les droits de la femme qui a commencé à Jolimont et elle a fini en centre-ville. Au début de la marche, il y avait une section réservé pour les personnes «non-hommes cis», ça veut dire que la marche et représenté au début par les gens qui ne sont pas les hommes cis-genre. Ce catégorie inclu les femmes-cis, les femmes trans, les hommes-trans, les personnes non-binaire et plus. Avant la manifestation, j’ai rencontré quelqu’un qui est non-binaire. J’étais curieuse comment ça marche d’être non-binaire avec une langue ou presque toutes est genrés. Aux États-Unis il existe un pronom «they» pour les personnes non-binaires. Mon ami m’a dit qu’en France le pronom non-genré est «iel», une combinaison de «il» et «elle». Iel m’a dit que tout le monde au Mirail est très ouvert d’utiliser ce pronom et l’idée d’être non-binaire mais c’est «absolument un cauchemar» avec la langue française.

 

Interprétation:

Après toutes mes intéractions avec les étudiants de Jean-Jaurès et mes observations, j’imagine que les gens sont en général plus à gauche donc ce n’est pas étonnant que cet individu trouve qu’ ils sont plus tolérants.  Mais aussi je crois que c’est trop compliqué avec tous les adjectifs genrés. J’étiat énnervé de savoir que c’était si difficile pour les gens non-binaire à cause d’une chose assez répendu que les adjectifs. Il me semble que la langue française est très «officielle» et elle change lentement. J’ai parlé avec une autre étudiante à Jean-Jaurès et elle m’a dit que «c’est toujours comme ça en France». Elle a dit que la France était le dernier à donner le vote aux femmes, à légaliser les drogues, donc ce n’est pas étonnant qu’on soit le dernier à mettre à jour la langue.

 

Evaluation:

C’était une source d’inspiration de voir tous ces jeunes en assemblant pour la marche à Jolimont mais au même temps j’étais déçue de trouver qu’il y a beaucoup d’obstacles pour les jeunes non-binaire en France et les personnes qui n’accepte pas l’«iel» comme un pronom neutre. La langue française est vraiment une institution. Il existe l’Académie Française, une institution avec le rôle de perfectionner, fixer et régler la langue française. L’Académie a une histoire d’avoir l’intérêt de garder la langue des changements radicaux. Il y a plein de gens qui sont contre les changements progressifs concernant la langue. Par exemple, le Ministre de l’Éducation en France Jean-Michel Blanquer a dit le 16 novembre 2021 que «L’écriture inclusive n’est pas l’avenir de la langue française» en référence à l’inclusion de «iel» dans un dictionnaire français en ligne. Malgré les idées de certaines figures politiques, la langue française change petit à petit chaque jour. Elle change comme toutes les langues avec les discours quotidiens. Il y a plus en plus de jeunes qui utilisent et acceptent le pronom «iel» et ça c’est une bonne étape pour le futur d’égalité entre les genres.



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