Le pastoralisme

Un beau samedi, j’ai voyagé une heure par train à la ville de Foix, au sud de Toulouse. Le château de Foix était magnifique à voir, mais la raison principale pour mon déplacement était pour faire une randonnée. Une de mes activités préférées, c’est difficile de vivre dans une ville avec l’espace vert assez limité. Le chemin de randonnée départ jusqu’à côté de la gare, directement au haut d’une montagne. Bien préparée avec les barres de protéines pour m’alimenter, j’ai commencé la marche. La vue était incroyable, l’air était frais et j’ai vu seulement une poignée des autres randonneurs. En conséquence un son mystérieux m’a pris par surprise dans la distance. Le son était comme s’il y a eu une foule bruyante (mais muette !) des randonneurs sur le chemin. J’ai tourné le coin—il y a un groupe de moutons et de chèvres devant moi ! J’ai arrêté pendant une minute, pensant si c’était une bonne idée à passer vers le groupe. Un coup d’œil un peu méchante d’une chèvre m’a convaincu de passer dans la forêt autour des animaux. Plus tard, au point le plus haut du chemin, j’ai entendu le son des cloches de vache. Mais en lieu d’une vache, il y a eu deux grands chevaux bruns, qui n’étaient pas enfermés par une clôture. Ils étaient magnifiques et très calmes.

Mon interprétation de mon expérience sur le chemin de Foix est qu’il y a une tradition assez ancienne dans les régions avec les montagnes en France de l’élevage des animaux dans cette manière. Je me souviens que sur le premier voyage aux Pyrénées avec la cohorte de Dickinson que nous avons vu un placard qui affirme qu’il y a une chance de rencontrer les animaux non enfermés. Notre guide nous enseignons que c’est une tradition de la région, ainsi que la construction des terrasses plates sur la pente.

En évaluant cet élément culturel, j’ai fait un peu de recherche. Selon un point de vue environnemental, j’ai vu que les plantes autour du chemin étaient bien mangées par les moutons. Par ailleurs, pour éviter les animaux, je n’ai pas le choix sauf de passer vers les arbres, n’utilisant pas le chemin. La recherche a corroboré mes observations. La flore des montagnes sont fragiles. Il y a donc une danse entre l’élevage, la tradition et l’environnement, quoique ce soit sur une montagne isolée. Je suis certain que les moutons et les chevaux ont une vie assez calme et reposant dans la nature, mais je trouve que c’est intéressant le débat du pastoralisme est un sujet d’actualité.



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