Les Bandes-Dessinés en France: Culottées par Pénélope Bagieu

Dans ce blog, j’analyse le BD Culottées: Des femmes qui ne font que ce qu’elles veulent. C’est une collection de BD très courtes sur les femmes historiques. Il y a un mélange des femmes très connues comme Joséphine Baker et Tove Jansson mais aussi des femmes moins connues comme Nzinga, Lozen, et Delia Akeley. Le BD a découvert les femmes d’origines diverses avec des histoires inspiratrices. C’était facile de comprendre les histoires et intéressant de trouver les nouvelles femmes de pouvoir dans l’histoire. Même pour les femmes que j’ai déjà connues, c’était fascinant de voir leurs vies dans un nouveau contexte. Il y avait les éléments d’amusement dans chaque BD mais en totale ils n’étaient pas très comiques. Souvent, c’est le dialogue plus simple avec les dessins dynamiques qui créent l’humeur. Par exemple, dans les histoires des Soeurs Mariposas (pg 34) il illustre un homme de la régime Trujillo qui apporte une invitation à la plage au Minerva et il est debout devant la porte avec ses lunettes et ses grandes armes avec la boîte de dialogue qui dit «Aucune pression.» Par ailleurs, les histoires sont moins comiques en montrant le patriarcat systémique et les barrières contre les femmes. Les histoires abordent les grands thèmes du patriarcat, les inégalités entre les femmes et les hommes, le racisme, le colonialisme, et les idées toxiques de la beauté féminin. J’ai fait réfléchir sur l’équilibre que l’auteur, Pénélope Bagieu, réalise quand elle présente les thèmes assez sérieux et en même temps elle présente les contes importants des femmes historiques avec un mélange d’humour et un ton d’inspiration.

Après avoir lu cette BD, j’ai appris que les BD en France ne sont pas exclusivement pour les jeunes et les ados. Ici, ce sont des contes importants pour tout le monde. En plus, il me semble qu’il y a moins de censure concernant les thèmes évocateurs. Il y a les discussions et les dépictions des gestes impolis, de la suicide, l’harcelement sexuelle, et le viol dans quelques histoires et il n’y pas les avertissements avant le début de la BD tandis qu’aux États-Unis c’est toujours les avertissements donc on est prévenu des thèmes comme ça.

Cette BD montre une appréciation pour les femmes multi-culturelles en donnant la parole aux femmes des pays différents, cultures différentes, et des époques différentes. C’est clair en lisant plusieurs de ces histoires que les femmes existent à l’extérieur des structures de pouvoir et l’état. Les femmes doivent casser les barrières pour accéder aux positions de pouvoir et même quand elles gagnent le pouvoir elles sont comparé aux hommes. Par exemple, dans le BD de Nzinga, Reine du Ndongo et du Matamba, elle n’était pas permis d’avoir une position de pouvoir politique. Mais après les morts de quelques figures importants, elle a l’opportunité d’être en pouvoir. Le structure de «l’état» n’était pas en d’accord avec une femme puissante donc elle était proclamé «un homme». En outre, pour Wu Zetian, avant qu’elle est devenue impératrice, la société des hommes l’a dit que le statut plus haut qu’elle peut gagner, ça serait celle d’une concubine d’empereur. On voit que ce lien entre les femmes et le pouvoir est évident entre beaucoup des territoires, des gouvernements, et des époques. Ces grands thèmes sont clairs même dans les médias mixtes comme les BD et ça veut dire que ces thèmes sont présents dans toutes les façons de la vie et la société.



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